Un peu à l'instar des Gilets jaunes en France qui obligent le gouvernement à organiser des débats citoyens.
L'idée serait d'élaborer un site afin que chacun puisse faire part proposition et faire parvenir les résultats au gouvernement algérien.
Qu'en pensez-vous?
Intro:
Dorénavant,nous ne céderont plus jamais!...Barakat!(ça suffit!).
https://www.youtube.com/watch?v=kYYs16zvXys
(…).
Le Président est tout sauf naïf. Il sait que l’APN fut mal élue et qu’elle est complètement discréditée. Il ne saurait donc pas plaider en dithyrambe de l’APN sans annoncer sa dissolution et des élections législatives anticipées. Or, il n’a pour l’instant aucun intérêt à cela.
L’annonce d’une révision constitutionnelle reporte naturellement la résolution de ce problème –et problème il y a. Il en est de même pour le mandat présidentiel. Il ne saurait, en conséquence, pas décemment se désavouer du vicelors la révision de la Constitution qu’il avait fait voter- en 2012- à la hussarde, pour instituer une espèce de mandats présidentiels à vie.
Autrement dit, il se pourrait être fort que- dans l’hypothèse- d’une nouvelle Constitution celle-ci limitera à seul mandat de sept (7 ) ans , mais pour un autre Président que lui. Au demeurant, une telle éventualité ne souffrirait d’aucune carence et bien, au contraire.
Nonobstant et autrement plus grave, une crainte est grande qu’une nouvelle Constitution abroge la teneur de l’article 42 Cst. qui stipule- entre autes :
(…).
Dans le respect des dispositions de la présente Constitution, les partis politiques ne peuvent être fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexe, corporatiste ou régionale » en ressuscitant- en la sorte- les « années de ténébre » vécues par le peuple algérien au temps du début de 1990.
Concernant les événements qui ont secoué le monde « arabe », pourquoi voulez-vous qu’un Président qui clame, et qui fait clamer par sa troupe rapprochée- sorte de garde prétorienne-, que les problèmes que vit le pays actuellement ainsi que la rébellion populaire soudaine n’ont rien de politique mais d’ordre socialet fasse référence à des événements ailleursrécents-(« arabes » notamment)- qui, eux, sont éminemment politiques. Détrompez-vous, les revendications des Algérien.ne.s sont pas uniquement sociales.
Et quand bien même, devrions-nous « succomber » à cette l’esbroufe du Gouvernement et du Président, l’Algérie a (avait?) les moyens financiers de faire face à ces revendications sociales! Pourquoi alors n’a telle entrepris aucune mesure concrète que des « placébos » afin de soulager de la misère son peuple ?
Donc, faire une référence claire à ce qui se passe ailleurs- implicitement dit- dans le monde « arabe », est une reconnaissance indirecte que les problématiques sont identiques. Et, ce n’est pas un pur hasard,
Si le Président et ses dévots n’ont traité le problème des événements qui secouent le monde « arabe » que sous l’angle de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui. Une manière de dire à l’opinion publique internationale que l’Algérie verrait d’un très mauvais œil qu’elle s’occupe de ce qui se passe chez elle, comme elle s’est « occupée» des cas de la Libye, de la Syrie ou du Yémen?
L'idée serait d'élaborer un site afin que chacun puisse faire part proposition et faire parvenir les résultats au gouvernement algérien.
Qu'en pensez-vous?
Intro:
Dorénavant,nous ne céderont plus jamais!...Barakat!(ça suffit!).
https://www.youtube.com/watch?v=kYYs16zvXys
(…).
Le Président est tout sauf naïf. Il sait que l’APN fut mal élue et qu’elle est complètement discréditée. Il ne saurait donc pas plaider en dithyrambe de l’APN sans annoncer sa dissolution et des élections législatives anticipées. Or, il n’a pour l’instant aucun intérêt à cela.
L’annonce d’une révision constitutionnelle reporte naturellement la résolution de ce problème –et problème il y a. Il en est de même pour le mandat présidentiel. Il ne saurait, en conséquence, pas décemment se désavouer du vicelors la révision de la Constitution qu’il avait fait voter- en 2012- à la hussarde, pour instituer une espèce de mandats présidentiels à vie.
Autrement dit, il se pourrait être fort que- dans l’hypothèse- d’une nouvelle Constitution celle-ci limitera à seul mandat de sept (7 ) ans , mais pour un autre Président que lui. Au demeurant, une telle éventualité ne souffrirait d’aucune carence et bien, au contraire.
Nonobstant et autrement plus grave, une crainte est grande qu’une nouvelle Constitution abroge la teneur de l’article 42 Cst. qui stipule- entre autes :
(…).
Dans le respect des dispositions de la présente Constitution, les partis politiques ne peuvent être fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexe, corporatiste ou régionale » en ressuscitant- en la sorte- les « années de ténébre » vécues par le peuple algérien au temps du début de 1990.
Concernant les événements qui ont secoué le monde « arabe », pourquoi voulez-vous qu’un Président qui clame, et qui fait clamer par sa troupe rapprochée- sorte de garde prétorienne-, que les problèmes que vit le pays actuellement ainsi que la rébellion populaire soudaine n’ont rien de politique mais d’ordre socialet fasse référence à des événements ailleursrécents-(« arabes » notamment)- qui, eux, sont éminemment politiques. Détrompez-vous, les revendications des Algérien.ne.s sont pas uniquement sociales.
Et quand bien même, devrions-nous « succomber » à cette l’esbroufe du Gouvernement et du Président, l’Algérie a (avait?) les moyens financiers de faire face à ces revendications sociales! Pourquoi alors n’a telle entrepris aucune mesure concrète que des « placébos » afin de soulager de la misère son peuple ?
Donc, faire une référence claire à ce qui se passe ailleurs- implicitement dit- dans le monde « arabe », est une reconnaissance indirecte que les problématiques sont identiques. Et, ce n’est pas un pur hasard,
Si le Président et ses dévots n’ont traité le problème des événements qui secouent le monde « arabe » que sous l’angle de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui. Une manière de dire à l’opinion publique internationale que l’Algérie verrait d’un très mauvais œil qu’elle s’occupe de ce qui se passe chez elle, comme elle s’est « occupée» des cas de la Libye, de la Syrie ou du Yémen?
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