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Lakhdar Brahimi alias Caoutchouc

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  • Lakhdar Brahimi alias Caoutchouc

    L’ancien diplomate, respecté par les Algériens et écouté par les chefs d’Etat des plus grandes puissances du monde, devrait conduire une période de transition qui déboucherait sur des élections présidentielles une fois les conditions de la tenue de celles-ci seraient réunies. Une transition qui verra un changement radical de la scène politique nationale, suite à la demande persistante des citoyens qui ont réclamé la disparition totale des acteurs politiques actuels au profit d’une nouvelle dynamique qui sera portée par une nouvelle classe politique «vierge», qui marquera un tournant et ouvrira la voie devant la deuxième République souhaitée par tous.

    Aux côtés de Ramtane Lamamra, qui pourrait lui aussi être sollicité pour concourir à «réconcilier» le peuple avec ses institutions, Lakhdar Brahimi a à son actif sa longue expérience d’homme de dialogue aux compétences duquel l’ONU a toujours fait appel pour régler des crises profondes de par le monde, sa probité, son éloignement de la «chose» politique salie par la corruption, la prévarication et la rapine et sa côte de popularité auprès des Algériens qu’il a honorés durant son long parcours professionnel international.

    «Les prochains jours seront porteurs de grands espoirs», croient savoir des sources généralement bien informées, qui soulignent que «le président de la République a entendu le cri du peuple et y a adhéré dès la première manifestation». Le retour de Bouteflika en Algérie ce dimanche devrait être suivi d’importantes annonces dans les heures et les jours à venir. Dont une qui devrait concerner la présidentielle elle-même.

  • #2
    Les communiquants leur ont donné les éléments de langage.

    Les grabataires répètent tous la même chose en ce moment.
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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    • #3
      - L’ancien diplomate, respecté par les Algériens et écouté par les chefs d’Etat des plus grandes puissances du monde, devrait conduire une période de transition qui déboucherait sur des élections présidentielles une fois les conditions de la tenue de celles-ci seraient réunies."

      Ce scénario était prévu déjà en cas de décès de Boutef. Mais la solution n'est démocratique à mon avis.

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      • #4
        L’ancien diplomate, respecté par les Algériens
        Je ne pense pas une seule seconde qu'il soit respecté par les Algériens.
        Toutes ces vieilles biques ayant déjà participé au pouvoir sont, selon moi, exclus par le peuple. Le peuple veut le changement en profondeur, veut une autre république. Ces têtes qu'on voit depuis plus d'un demi siècle ainsi que toutes les têtes qui l'ont appuyé, le peuple en a ras-le-bol.

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        • #5
          exact, aucun nom qui a fricoté avec la mafia actuelle

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          • #6
            Pas de confiance en Lakhdar Brahimi, c'est lui qui venait à chaque fois en rescousse à Bouteflika sur son état de santé. Pour rappel, voilà ce que disait Lakhdar Brahimi, il y a juste quelques mois :

            Lakhdar Brahimi : «En Algérie, personne ne conteste le président Bouteflika !»

            Par R. Mahmoudi – Dans une longue interview au magazine français Jeune Afrique, parue cette semaine, l’ex-ministre des Affaires étrangères Lakhdar Brahimi, réputé proche du président Bouteflika, couvre d’éloges le président de la République, en rappelant les bienfaits de son bilan et en le présentant tacitement comme irremplaçable. Ce qui peut être interprété comme un encouragement pour briguer un cinquième mandat.

            D’entrée, le diplomate ne croit pas que l’Algérie soit en crise à quatre mois de l’élection présidentielle, tout en disant ignorer si le Président sortant va briguer ou non un autre mandat.

            A contre-courant, donc, de tous les commentaires pessimistes qui prédisent des scénarios alarmistes pour l’Algérie, le diplomate ne voit aucun signe de «crise majeure» d’ici 2019, jusqu’à 2020.

            Evoquant ses relations avec le président de la République, Lakhdar Brahimi avoue ne l’avoir pas rencontré depuis une année, et ne rien savoir sur ses intentions au sujet des prochaines élections. «Je n’ai pas d’avis sur cette question, surtout pas maintenant», lâche-t-il. Cela ne l’empêche pas d’affirmer, avec une certaine assurance, qu’«en Algérie, personne ne conteste vraiment le président Bouteflika».

            Brahimi se dit convaincu que le chef de l’Etat ne fait face à «aucune adversité sérieuse» dans le pays, ni de la part de la classe politique ni de la population. Il va même jusqu’à affirmer qu’à l’occasion d’un déplacement qu’il a effectué récemment dans l’arrière-pays, il est revenu avec le sentiment que «l’Algérie se portait plutôt bien». «Les gens sont très reconnaissants pour le rétablissement de la paix après la décennie noire et pour la reconstruction des infrastructures, telles que les routes dans les zones reculées, le gaz et l’électricité», a encore déclaré Brahimi.

            Algérie Patriotique
            11 décembre 2018
            R. M.
            Dernière modification par shadok, 10 mars 2019, 19h55.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              Lakhdar Brahimi n'est pas la bonne personne pour mener quoi que ce soit ... d'ailleurs on cherche pas une personne ou un sauveur ...
              Il y a une initiative qui avance la théorie que ce mouvement sera représenté par les étudiants à travers leur organisations ... ni fodil boumala, ni autres ...

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              • #8
                les étudiants ? rab7et

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                • #9
                  C un d chefs de fil des panarabistes..
                  A marié sa fille au frère du roi de jordanie, après l'avoir placée chez cnn..

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                  • #10
                    Son frère miloud brahimi cofondateur de la ligue des droits de l'homme côté pouvoir. Il a été évincé qd il a pris position pour le sahara..

                    Son père était caid ou bachagha un truc du genre

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                    • #11
                      C un d chefs de fil des panarabistes..
                      une autre raison pour le rejeter.
                      Tous ces chefs, Les Saddam, les Assad, les Khaddafi, les les Boumédiene, ont démontré combien ils étaient nuls.



                      A marié sa fille au frère du roi de jordanie,

                      une autre encore de raison pour ne pas lui faire confiance.

                      Ce type sera pire que Bouteflika

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                      • #12
                        Peggy
                        tu leur fais pas confiance ? , t inquiète ils sont conscients car proches des enseignants ...
                        un étudiant on peut pas l'atteindre ...contrairement à d'autres personnes qu'on peut corrompre ...

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                        • #13
                          Souvenez-vous de l'épisode Belaid ABRIKA

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                          • #14
                            Le plan pour evincé l'empire "cachir"

                            mandat de six mois , une constituante pour un regime parlementaire et des elections presidentielles puis legislatives sous l'egide des etudiants et non de l'administration; et le bouquet finale separations des pouvoirs et ordonné un etat des lieux economique a la cour des comptes et mise a contribution des aparatchiks ayant ete biberonné par les projets d'etat

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                            • #15
                              " Lakhdar Brahimi : « En Algérie, personne ne conteste vraiment Bouteflika »

                              Sur Jeune Afrique, l'article consacré à M. Lakhdar Brahimi est autrement plus intéressant plus complet.
                              Et notamment ce passage:

                              " Moi, par principe, je n’aime pas beaucoup les sanctions. L’affaire Khashoggi me rappelle un peu l’affaire Ben Barka en 1965. Khashoggi n’a pas été enlevé, il a été invité mais n’est jamais ressorti… Ben Barka a été enlevé à Paris devant la brasserie Lipp, et, jusqu’à présent, on ne sait pas ce qui lui est arrivé exactement.

                              J’ai assisté au cinquantenaire de la disparition de Ben Barka à Rabat. J’y ai participé parce que Ben Barka était un ami. Et la question qu’on a tous posée là-bas [aux autorités marocaines], c’est : « Maintenant, c’est fini. Dites-nous un petit peu ce qui est arrivé, qui a fait quoi, pour que nous puissions faire notre deuil, pleurer un bon coup et passer à autre chose. » Et c’est en ces termes que le problème se pose à nos amis saoudiens.

                              Jeune Afrique, le 09 décembre 2018 à 18h15
                              Dernière modification par rago, 10 mars 2019, 18h14.

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