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Un plan de destruction de l’Algérie est entré en action à partir du Maroc

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  • Un plan de destruction de l’Algérie est entré en action à partir du Maroc

    Un plan de destruction de l’Algérie est entré en action à partir du Maroc
    mars 13, 2019 -
    Par Youcef Benzatat

    Une source de renseignements spécialisée dans l’analyse des mouvements populaires dans le monde, citée par l’analyste iranien Mohammed Sadeg Al-Hosseini, a révélé l’existence d’une base au Maroc pour dévier les manifestations en cours pour la destruction de l’Algérie.

    Un centre des opérations a été créé dans la ville marocaine de Rabat pour gérer la «révolution» en Algérie. Y participent quatre agents de renseignement américains et six agents de renseignement marocains, ainsi que douze «experts en subversion» de nationalité serbe et des membres de l’organisation serbe Otpor, financée par plusieurs agences américaines, fondée dans les années 1990 à l’université de Belgrade et dont l’objectif était de renverser le régime du président Slobodan Milosevic. Ce qui fut fait en 2001.

    Huit Algériens de tendance islamiste, formés pendant six mois par des experts d’Otpor au second semestre 2018 et sous la supervision d’agents de renseignement américains au Maroc, participent également à la gestion de ce centre, dont la mission est de coordonner toutes les actuelles ou futures opérations de planification, de financement et d’approvisionnement de certaines parties participant actuellement au mouvement algérien et en relation avec ce centre, dans le but de provoquer le chaos et d’engager des confrontations avec les forces de sécurité algériennes, afin de créer les conditions favorables à la transformation du mouvement pacifique en affrontements armés, soit modifier le cours des événements et définir une nouvelle trajectoire à l’action et ses visées, pour atteindre cet objectif précité.

    Deux salles d’opérations avancées ont été mises en place pour exécuter les plans de la salle centrale. La première est à Oujda, dans le nord-est du Maroc, près de la frontière algérienne, dirigée par onze officiers d’opérations américains, marocains et serbes, ainsi que trois Algériens. La deuxième est dans la ville d’Errachidia, à environ 80 km de la frontière algérienne, et est dirigée par huit officiers des nationalités susmentionnées, ainsi que deux officiers du renseignement militaire français.

    La formation militaire est dispensée dans trois camps de base, spécialement établis à cet effet, dont deux au Maroc.

    Le premier camp est situé à 28 km à l’est de la ville occupée de Laâyoune, sur la côte atlantique, et compte actuellement 362 combattants, pour la plupart des Algériens, et 28 instructeurs et administrateurs.

    Alors que le deuxième camp d’entraînement est situé au nord-est de la ville occupée de Semara, à 54 km de la ville, au sud-est du Maroc et à proximité du triangle frontalier algérien, marocain et mauritanien. Le camp compte actuellement 284 combattants et 18 instructeurs et administrateurs.

    Le troisième camp est situé sur le territoire mauritanien, à 34 km au sud-ouest du village de Bir Moghreïn, près de la frontière avec le Maroc au nord-ouest de la Mauritanie. Le camp compte 340 combattants et 46 instructeurs et administrateurs.

    La source a également souligné l’existence d’une coopération étroite dans les domaines de l’approvisionnement logistique, comme certains l’ont spécifiquement appelé, avec le mouvement Ennahdha en Tunisie. Dans ce contexte, des groupes algériens liés à certaines organisations islamistes en Algérie, ont établi leurs bases en Tunisie. La première est proche de la ville du Kef, au nord-ouest de Tunis, près de la frontière avec l’Algérie. La seconde est au sud de la ville frontalière tunisienne de Jendouba, au nord-ouest de Tunis, à environ 50 kilomètres de la frontière algérienne.

    Tous ces dispositifs n’ont pas été déclenchés depuis le début des manifestations algériennes, mais toutes les mesures évoquées ci-dessus ont été prises depuis environ un an. En d’autres termes, l’alliance américano-sioniste planifiait et se préparait à exploiter tous les mouvements populaires en Algérie, quels que soit leur caractère et la nature des forces qui les soutiennent et les provoquent, pour y bondir et dévier leur cours vers une voie de confrontation qui répandrait le chaos et la destruction en Algérie. Cela est confirmé par la participation de Steve Bannon, le conseiller de Trump pendant la campagne électorale, puis son conseiller stratégique lorsqu’il est devenu président, qui a ouvert il y a quelques mois un bureau à Bruxelles pour organiser des révolutions colorées en Europe. Nos informations confirmées indiquent également que le célèbre milliardaire américain George Soros participe au financement de toutes les opérations susmentionnées, y compris l’achat d’armes à fournir aux éléments déjà cités.

    Un plan similaire a été mis en place à la veille du quatrième mandat, en 2014, à travers le mouvement Barakat, pour déstabiliser l’Algérie et semer le chaos. Ce plan a été piloté à partir de la Tunisie au siège de l’ONG Freedom House, financée par le milliardaire Soros pour le compte de la CIA et dont l’un des principaux animateurs était un ministre dans le gouvernement provisoire du MAK. Un plan qui a été mis en échec par une très grande conscience patriotique de la population algérienne qui a refusé de les suivre et éviter de tomber dans leur piège. Contrairement à celui-ci, qui avait instrumentalisé les séparatistes du MAK, celui d’aujourd’hui a choisi la carte des islamistes, bien qu’on ignore à ce jour si les séparatistes du MAK ne font pas partie d’un plan parallèle pour le même objectif.

    Des signes laissent présager que ce plan de destruction de l’Algérie est déjà entré en action. Lors des manifestations du 8 mars, il y a eu un lâcher de casseurs pour vandaliser un musée et attaquer des policiers, pour casser la nature pacifique des manifestations et semer la violence. D’emblée, on ne peut attribuer ces comportements au mouvement de contestation du peuple, car il se présente en contradiction avec sa démarche qui est explicitement pacifique et assumée. Le pouvoir non plus n’a pas intérêt à recourir à de tels procédés de manipulation, source de propagation de la violence et par conséquence de répression. Ce serait donner le bâton aux ennemis de l’Algérie que de recourir à la répression des manifestants. Ce sont là des comportements à dénoncer et à neutraliser.

    Il faut également dénoncer activement tous ceux qui appellent à suivre le mot d’ordre de la grève générale, dont le but est d’exacerber le peuple pour le diviser et semer le chaos, dont l’origine reste inconnue. Cependant, des soupçons assez crédibles attribuent cet appel à la grève à la chaîne de télévision El-Magharibiya basée à Paris et dont le fondateur n’est autre que le fils d’Abassi Madani, premier responsable du FIS, parti islamiste dissous qui était à l’origine de l’irruption du terrorisme pendant la décennie 1990. Si la grève est un moyen de pression sur le pouvoir, il ne faut pas que cela contribue à l’implosion de l’unité du peuple, notamment en encourageant les secteurs vitaux à observer cette grève, tels que les hôpitaux, les secours, le transport, le commerce, etc. De même, pour l’encouragement de la désobéissance civile anarchique et précoce, vecteur de la potentialité de l’effondrement de l’Etat. Comme le font certains intellectuels égarés sur les plateaux de télévision des ennemis de l’Algérie où d’industriels aigris, par la fermeture de leurs unités de production et de distribution de produits de première nécessité, en provoquant des pénuries dangereuses, comme au Venezuela.

    Même si la cohésion du peuple algérien est aujourd’hui assez importante, elle reste néanmoins suffisamment fragile et vulnérable devant toute tentative en vue de son implosion. Les clivages au sein du peuple sont une réalité anthropologique assez profonde pour les prendre à la légère. Les militants actifs, que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur le terrain, doivent redoubler de vigilance et s’investir dans une sensibilisation permanente de la population pour éviter toute tentative de déviation du mouvement populaire en cours. Le processus de transition démocratique risque de durer plus longtemps que le souhaiterai le peuple et il faut s’armer de patience et de persévérance et surtout de vigilance pour que les ennemis de l’Algérie ne réussissent pas à le détourner vers le chaos et la destruction du pays, comme cela fut le cas en Syrie et ailleurs.

    Le bras de fer engagé entre le pouvoir et le peuple algérien pour une transition démocratique doit rester une affaire algéro-algérienne et il est vital pour la pérennité de la nation et la préservation de la souveraineté nationale et la paix civile de faire barrage à toute tentative d’ingérence internationale pour réussir cette transition.

    Y. B.
    AP


    == MODERATION ==
    Il est recommandé de ne poster que des infos avérées et de ne pas poster des textes qui relèvent de l'intox.

  • #2
    c'est une insulte pour les algériens ce genre d'articles....

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    • #3
      dommage que le ridicule ne tue pas on se serai passé de revolution

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      • #4
        LE BUT DE CET ARTICLE :

        Casser le mouvement et la solidarité populaire !

        Dernière modification par Pomaria, 13 mars 2019, 12h22.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          je savais pas que les iranien 3andhoum eux aussi el cachir ??
          tu tombe je tombe car mane e mane
          après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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          • #6
            Ils ont déjà tout les détails, quelle bande de parano

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            • #7
              overcloker
              c'est une insulte pour les algériens ce genre d'articles....
              Et tu veux quel genre d'articles pour les Algeriens?

              Commentaire


              • #8
                C'est clair que nos voisins de l'ouest ne nous veulent que du bien...

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                • #9
                  Notre diplomatie et notre état qui sont actuellement trop absents, devront prendre les mesures qui s'imposent pour parer à toute éventualité face à un tel voisin inconséquent et instable.
                  __________________

                  Commentaire


                  • #10
                    j'espere que c'est pas la 2eme etape du plan machiavélique de bouteflika.

                    si à la suite de ce genre d'articles il déclare l'etat de guerre maintenant, toutes les actions anticonstitutionnelles imposés jusqu'ici deviennent légalement justifiés.

                    Prologation compris

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                    • #11
                      Et tu veux quel genre d'articles pour les Algeriens?
                      .

                      Les articles " MAP " , Medi/1 , ya bi la dy ..le 360.ma ??
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #12
                        Et tu veux quel genre d'articles pour les Algeriens?

                        les ingrédients pour faire un bon cachir
                        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                        Commentaire


                        • #13
                          yaw fa9o , makayen la maroc wella houm ya7zanoun , ces vieilles recettes ne marchent plus , il ya un combat entre une bande qui s est emparée du pouvoir en Algerie et un peuple debout qui en a marre

                          Commentaire


                          • #14
                            Alliane khrajlou el cachir men nifou !

                            excusez-le

                            Commentaire


                            • #15
                              Y a pas de fumée sans feu

                              LA GUERRE SECRÈTE DE ‘’CANVAS’’ A VISAGE DE1MOCRATIQUE : La piste de la CIA se précise en Algérie



                              Devant le vent de révolution qui secoue l’Algérie, il est impérativement nécessaire de s’interroger sur la main cachée qui dirige ces manifestations qui ont ébloui même les pays les plus démocratiques par leurs bonnes organisations .

                              A l’heure du printemps arabe qui a chassé Hosni Moubarak en Egypte, lynché Kadhafi en Libye, délogé Benali en Tunisie et noyé la Syrie dans le sang, sous le slogan de la « la révolution non violente », l’Algérie, n’est pas un cas isolé. Ce mouvement qui a fait tomber le président serbe en 2000 et Moubarak en 2011, n’était pas une simple coïncidence : décryptage

                              Cette action “non-violence” est l’œuvre du fameux ‘’ CANVAS ‘’ un organisme de la CIA fabriquée pour déloger les gouvernements arabes qui ne partagent pas les mêmes intérêts géopolitiques et économiques avec les USA et l’UE.

                              Une stratégie pour actionner des « Etats de siège », affaiblir les pays et parachuter de nouveaux leaders élus grâce à des processus frauduleux, politiquement téléguidés qui défendent les intérêts étrangers.

                              En effet, des spécialistes internationaux révèlent que de nombreux activistes du monde arabe ont été formés par des organisations étrangères et américaines, CANVAS (Center for Applied Non Violent Action and Stratégies) qui n’est autre que l’exhalaison du mouvement serbe OTPOR, une insurrection fabriquée aux USA. La “non-violence” :

                              une stratégie d'action violente et militaire opérationnelle d'ingérence. En 2011, le logo de CANVAS est brandi par les étudiants égyptiens du mouvement du 6 avril qui ont manifesté dans les rues du Caire. Mohamed Adel, ce blogueur égyptien, incarcéré, il reconnaît avoir effectué un stage auprès de cette organisation durant l’été 2009.

                              Il est connu chez les experts que la “non violence” ou le coup d’Etat à ‘’visage démocratique’’ est une stratégie d’action violente et militaire opérationnelle d’ingérence et de mise en déroute de gouvernements constitutionnels. De la Serbie à la Géorgie en passant par l’Ukraine, le Kirghizstan, l’Egypte, la Libye, le Honduras, le Mexique, le Guatemala, la Colombie et actuellement l’Algérie.

                              Son inventeur M. Gene Sharp affirme que cette “non violence” est une stratégie d’action violente et militaire opérationnelle d’ingérence et de mise en déroute de gouvernements constitutionnels qui sont d’une quelconque manière, en contradiction avec les intérêts géopolitiques et économiques des États-Unis et de l’UE.

                              Une stratégie fonctionnelle et utile pour produire des « Coups d’État » qui conduisent à la remise de l’« État failli» ou de l’« État démembré » entre les mains de « gouvernements de transition », ou élus grâce à des processus frauduleux, politiquement contrôlés par leurs forces armées qui à leur tour répondent devant le Commando Combatiente (COCOM) correspondant du Pentagone nord-américain et de l’OTAN (ce qui n’est pas identique mais c’est pareil), afin de les livrer économiquement à la voracité du Fond Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale (BM).

                              Devant le vent de révolution qui secoua le monde arabe, il est difficile de ne pas s’interroger.

                              La question est de décrypter dans quelle mesure cette concomitance des évènements dans différents pays peut être la résultante d’une opération concertée. Ce qu’on est autorisé à penser sachant que des cadres du mouvement du 6 avril, qui a permis de chasser du pouvoir Hosni Moubarak, ont été formés à ce qu’il convient d’appeler « la révolution non violente ».

                              Et il ne s’agirait pas d’un cas isolé. Il se trouve que de nombreux activistes de pays de l’Est, mais également du monde arabe et même d’Amérique du Sud, ont participé à des séminaires organisés en Serbie par CANVAS.

                              Des médias français influents comme Médiapart ont été infiltrés par des membres de l’organisation mise en place en Serbie par les services secrets américains dans le cadre d’un vaste plan de déstabilisation qui vise un certain nombre de pays, dont l’Algérie.

                              Peu connu du grand public, le Centre pour l’action et les stratégies appliquées non violentes (Canvas, Otpor en serbe) a joué un rôle prépondérant dans les soulèvements qui ont eu lieu au Maghreb et au Moyen-Orient, des soulèvements destructeurs auxquels il a été donné l’appellation commune de «printemps arabe».

                              Médiapart multiplie, étrangement, depuis quelques jours les tribunes dont le contenu tend à montrer une Algérie au bord de l’explosion et apporte son soutien insidieusement aux extrémistes du FIS, instrumentalisés par des ONG étrangères hostiles à l’Algérie, dont plusieurs sont directement liées au Makhzen marocain.

                              Le dernier article en date est signé Rachida El-Azzouzi, une recrue de Canvas qui affirme elle-même avoir pris part à la «révolution» en Egypte après douze ans passés dans la presse quotidienne régionale (française ou égyptienne ?) avant de rejoindre Médiapart

                              . Dans un article cosigné avec le transfuge du Nouvel Observateur René Backmann, cette militante brosse un tableau noir de la situation en Algérie, affirmant que «l’horizon s’assombrit un peu plus pour l’Algérie.

                              Réflexion/Journal
                              .
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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