Algérie – Bouteflika va dissoudre l’APN dans quelques jours. C’est ce qu’a appris ObservAlgérie de sources proches du groupe parlementaire du parti au pouvoir, le Rassemblement national démocratique (RND).
En effet, le jeudi 14 mars serait la date de l’annonce de Abdelaziz Bouteflika de la dissolution de l’Assemblée populaire nationale (APN). Cette information sème la panique parmi les députés de la majorité.
Ainsi, la chambre basse du parlement devrait être le prochain bouc émissaire pour garder Abdelaziz Bouteflika au pouvoir. Après Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia, ce sont les députés qui devraient quitter leurs postes. Si la contestation populaire continue, le Sénat et le Conseil constitutionnel devraient eux aussi servir de fusibles.
Bouteflika veut gagner du temps
Selon les mêmes sources, « Abdelaziz Bouteflika veut gagner du temps, mais aussi sacrifier toutes les institutions de l’État, à l’exception de la Présidence, qu’il va présenter comme la seule garante de la survie de l’État ».
Les députés paniquent
Les députés des partis de l’allégeance au pouvoir paniquent. Ils risquent de voir leurs sièges, leurs prestiges et leur immunité parlementaire se volatiliser ; des privilèges gagnés grâce à un système électoral corrompu dans lequel ils ont dépensé des fortunes. Nos sources nous ont fait part d’un climat de psychose au sein même de l’APN. Les députés se voient désormais comme le maillon faible du régime, prêts à être sacrifiés.
ObserverAlgérie
En effet, le jeudi 14 mars serait la date de l’annonce de Abdelaziz Bouteflika de la dissolution de l’Assemblée populaire nationale (APN). Cette information sème la panique parmi les députés de la majorité.
Ainsi, la chambre basse du parlement devrait être le prochain bouc émissaire pour garder Abdelaziz Bouteflika au pouvoir. Après Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia, ce sont les députés qui devraient quitter leurs postes. Si la contestation populaire continue, le Sénat et le Conseil constitutionnel devraient eux aussi servir de fusibles.
Bouteflika veut gagner du temps
Selon les mêmes sources, « Abdelaziz Bouteflika veut gagner du temps, mais aussi sacrifier toutes les institutions de l’État, à l’exception de la Présidence, qu’il va présenter comme la seule garante de la survie de l’État ».
Les députés paniquent
Les députés des partis de l’allégeance au pouvoir paniquent. Ils risquent de voir leurs sièges, leurs prestiges et leur immunité parlementaire se volatiliser ; des privilèges gagnés grâce à un système électoral corrompu dans lequel ils ont dépensé des fortunes. Nos sources nous ont fait part d’un climat de psychose au sein même de l’APN. Les députés se voient désormais comme le maillon faible du régime, prêts à être sacrifiés.
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