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Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé mercredi que «le président Bouteflika a annulé l’élection présidentielle du 18 avril 2019 pour préserver la stabilité et la cohésion nationale ».
«Cette échéance aurait pu mener notre pays vers une situation compliquée et le Président y a mis fin pour sauvegarder la nation », a-t-il précisé sur les ondes de la radio nationale.
Concernant l’assise juridique sur laquelle serait basée la feuille de route du chef de l’Etat, Lamamra a fait observer que « le développement sur la scène politique exige de nous tous de la créativité ».
« Lorsque l’ancien président de la république, Liamine Zeroual avait décidé de raccourcir son mandat, car il pensait à l’époque qu’il n’a pas été élu démocratiquement en 1995 vu le contexte de l’époque, n’a pas suivi à la lettre la Constitution. Mais il a mis l’intérêt suprême de la nation sur toute autre considération. Garantir la stabilité et l’unité de la nation est notre objectif à tous », a rappelé Lamamra, pour qui le moment est venu pour donner la parole au peuple. « Il est impératif de faire le changement dans la sérénité nationale et la stabilité régionale. Tous les yeux sont braqués sur l’Algérie qui doit être à la hauteur de sa position géostratégique », a-t-il soutenu.
Pour le vice-premier ministre, la jeunesse qui est sortie pacifiquement dans la rue en faisant preuve d’un haut degré de civisme est en quelque sorte le fruit de la politique du président Bouteflika « qui a réussi dans l’émergence de ces jeunes ». « C’est le capital précieux de la nation », a-t-il relevé.
Maintenir les institutions
Par ailleurs, M. Lamamra a affirmé que le Parlement ne sera pas dissout et que toutes les institutions continueront à fonctionner normalement jusqu'à l'élection du prochain président de la République. «Il n’y aura pas de vide à aucun niveau et toutes les institutions continueront à fonctionner normalement, y compris le Parlement », a-t-il insisté.
S’agissant du nouveau staff gouvernemental, il a indiqué que la participation de l'opposition et de la société civile était souhaitable. « Les portes du gouvernement sont ouvertes. Le président de la
République l’a si bien exprimé, un renouvellement substantiel de l'Exécutif avec de nouveaux visages, de nouvelles compétences notamment des femmes et des jeunes », a-t-il soutenu.
13 mars 2019.....sud horizons.dz
«Cette échéance aurait pu mener notre pays vers une situation compliquée et le Président y a mis fin pour sauvegarder la nation », a-t-il précisé sur les ondes de la radio nationale.
Concernant l’assise juridique sur laquelle serait basée la feuille de route du chef de l’Etat, Lamamra a fait observer que « le développement sur la scène politique exige de nous tous de la créativité ».
« Lorsque l’ancien président de la république, Liamine Zeroual avait décidé de raccourcir son mandat, car il pensait à l’époque qu’il n’a pas été élu démocratiquement en 1995 vu le contexte de l’époque, n’a pas suivi à la lettre la Constitution. Mais il a mis l’intérêt suprême de la nation sur toute autre considération. Garantir la stabilité et l’unité de la nation est notre objectif à tous », a rappelé Lamamra, pour qui le moment est venu pour donner la parole au peuple. « Il est impératif de faire le changement dans la sérénité nationale et la stabilité régionale. Tous les yeux sont braqués sur l’Algérie qui doit être à la hauteur de sa position géostratégique », a-t-il soutenu.
Pour le vice-premier ministre, la jeunesse qui est sortie pacifiquement dans la rue en faisant preuve d’un haut degré de civisme est en quelque sorte le fruit de la politique du président Bouteflika « qui a réussi dans l’émergence de ces jeunes ». « C’est le capital précieux de la nation », a-t-il relevé.
Maintenir les institutions
Par ailleurs, M. Lamamra a affirmé que le Parlement ne sera pas dissout et que toutes les institutions continueront à fonctionner normalement jusqu'à l'élection du prochain président de la République. «Il n’y aura pas de vide à aucun niveau et toutes les institutions continueront à fonctionner normalement, y compris le Parlement », a-t-il insisté.
S’agissant du nouveau staff gouvernemental, il a indiqué que la participation de l'opposition et de la société civile était souhaitable. « Les portes du gouvernement sont ouvertes. Le président de la
République l’a si bien exprimé, un renouvellement substantiel de l'Exécutif avec de nouveaux visages, de nouvelles compétences notamment des femmes et des jeunes », a-t-il soutenu.
13 mars 2019.....sud horizons.dz