Pour une approche légaliste et une sortie de crise par le haut.
Partant du principe que lorsque on n'arrive pas à résoudre un problème c'est que le problème est mal posé ou mal défini.
Il faut donc redéfinir le problème et le découper en étapes simples et successives. Le peuple algérien est sorti car il en a marre de l'injustice sous toutes ses formes et en a marre de l’impunité. Le peuple algérien veut la justice et que les lois soient respectées.
Le concept de justice est un concept large, limitons nous dans un premier temps à la forme simple de l’injustice: respecter ou non une loi.
Nous avons un système existant de lois, travaillons avec.
Maintenant:
qui peut dire ce qui est en respect de la loi et ce qui est ne l'est pas ?
qui doit faire respecter la loi?
Je propose une solution:
Le corps des juges et des avocats forment après consultations entre eux une cours constitutionnelle.
Cette cours a comme rôle de se prononcer sur les questions qui lui sont posées.
Les corps des policiers et gendarmes doivent appliquer ces décisions.
Le 28 avril 2019, cette cours constate que le mandat du président en exercice est terminé.
Les policiers patriotes en respect de la loi exécutent cette décision judiciaire en délogeant cet usurpateur du siège de la présidence.
Le peuple par des manifestions pacifiques montre son soutient à cette démarche.
Le peuple organise la transition sous l'autorité de cette cours, tous les corps constitués incluant l'institution militaire doivent obéir aux décisions et avis de cette cours.
Cette approche permettrait de sortir par le haut de cette crise et de manière simple, elle permet en particulier de faire naître par la pratique un début d'un état de droit.
On peut changer la constitution et les lois voire choisir les meilleurs normes de lois connues, si ces lois sont bafouées on n'est pas dans un état de droit.
Cet acte si il est mené à bien serait ainsi l'acte fondateur de la deuxième république, un acte pacifique et sans démantèlement de l'état mais un acte fondé sur un changement de pratiques.
Evidemment ce président autoproclamé se défendra devant cette autorité judiciaire.
Partant du principe que lorsque on n'arrive pas à résoudre un problème c'est que le problème est mal posé ou mal défini.
Il faut donc redéfinir le problème et le découper en étapes simples et successives. Le peuple algérien est sorti car il en a marre de l'injustice sous toutes ses formes et en a marre de l’impunité. Le peuple algérien veut la justice et que les lois soient respectées.
Le concept de justice est un concept large, limitons nous dans un premier temps à la forme simple de l’injustice: respecter ou non une loi.
Nous avons un système existant de lois, travaillons avec.
Maintenant:
qui peut dire ce qui est en respect de la loi et ce qui est ne l'est pas ?
qui doit faire respecter la loi?
Je propose une solution:
Le corps des juges et des avocats forment après consultations entre eux une cours constitutionnelle.
Cette cours a comme rôle de se prononcer sur les questions qui lui sont posées.
Les corps des policiers et gendarmes doivent appliquer ces décisions.
Le 28 avril 2019, cette cours constate que le mandat du président en exercice est terminé.
Les policiers patriotes en respect de la loi exécutent cette décision judiciaire en délogeant cet usurpateur du siège de la présidence.
Le peuple par des manifestions pacifiques montre son soutient à cette démarche.
Le peuple organise la transition sous l'autorité de cette cours, tous les corps constitués incluant l'institution militaire doivent obéir aux décisions et avis de cette cours.
Cette approche permettrait de sortir par le haut de cette crise et de manière simple, elle permet en particulier de faire naître par la pratique un début d'un état de droit.
On peut changer la constitution et les lois voire choisir les meilleurs normes de lois connues, si ces lois sont bafouées on n'est pas dans un état de droit.
Cet acte si il est mené à bien serait ainsi l'acte fondateur de la deuxième république, un acte pacifique et sans démantèlement de l'état mais un acte fondé sur un changement de pratiques.
Evidemment ce président autoproclamé se défendra devant cette autorité judiciaire.
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