Le diplomate algérien et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi, aurait déclaré forfait pour la mission dont il a été chargé. Selon certaines sources, ce diplomate aurait rencontré des obstacles qui rendraient sa tâche impossible. Ces blocages l’auraient contraint à renoncer à son poste.
Il y a à peine une semaine, Lakhdar Brahimi était fier d’annoncer au peuple algérien qu’il a été choisi par Bouteflika pour trouver une issue pacifique et sans danger à la crise que traverse l’Algérie.
À peine quelques jours après cette annonce, Lakhdar Brahimi se serait aperçu de l’ambigüité de sa mission. Le diplomate, qui se disait « optimiste » quant à la situation politique du pays, aurait été contraint d’annoncer une démission à cause d’un blocage – probablement gouvernemental – qui l’aurait empêché d’exercer.
Lakhdar Brahimi était prêt à faire des concessions et à négocier avec le peuple algérien. Lors de sa première déclaration officielle, il avait annoncé que « la voix du peuple, notamment les jeunes, a été entendue et les prémices d’une nouvelle ère constructive se pointent déjà à l’horizon pour apporter des solutions à nos problèmes », appelant ainsi l’exécutif à « continuer à interagir avec autant de responsabilité et de respect mutuel pour faire de cette crise une halte de construction et d’édification ».
Pour rappel, le dernier poste occupé par Lakhdar Brahimi est celui d’envoyé des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie. Il a démissionné en mai 2014 et est actuellement membre du Groupe des Sages de l’Union africaine, et membre du Comité des sages, qui a été institué par Nelson Mandela.
ObserverAlgérie
Il y a à peine une semaine, Lakhdar Brahimi était fier d’annoncer au peuple algérien qu’il a été choisi par Bouteflika pour trouver une issue pacifique et sans danger à la crise que traverse l’Algérie.
À peine quelques jours après cette annonce, Lakhdar Brahimi se serait aperçu de l’ambigüité de sa mission. Le diplomate, qui se disait « optimiste » quant à la situation politique du pays, aurait été contraint d’annoncer une démission à cause d’un blocage – probablement gouvernemental – qui l’aurait empêché d’exercer.
Lakhdar Brahimi était prêt à faire des concessions et à négocier avec le peuple algérien. Lors de sa première déclaration officielle, il avait annoncé que « la voix du peuple, notamment les jeunes, a été entendue et les prémices d’une nouvelle ère constructive se pointent déjà à l’horizon pour apporter des solutions à nos problèmes », appelant ainsi l’exécutif à « continuer à interagir avec autant de responsabilité et de respect mutuel pour faire de cette crise une halte de construction et d’édification ».
Pour rappel, le dernier poste occupé par Lakhdar Brahimi est celui d’envoyé des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie. Il a démissionné en mai 2014 et est actuellement membre du Groupe des Sages de l’Union africaine, et membre du Comité des sages, qui a été institué par Nelson Mandela.
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