Algérie – Maître Mustapha Bouchachi, avocat et ancien président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH), ne laisse pas indifférent depuis le déclenchement du mouvement de dissidence citoyenne le 22 février dernier.
Mustapha Bouchachi a commencé à attirer l’attention depuis sa démission de l’Assemblée nationale, une année à peine après son élection en 2012, et en attire davantage depuis le début du soulèvement populaire, qui l’a propulsé au-devant de la scène.
En bon un orateur, Mustapha Bouchachi a su séduire le peuple algérien en mouvement. Au point où il s’attire les foudres du « système » et de ses partisans, ainsi que de certains politiques se présentant comme soutiens des manifestations populaires, d’autant que des voix ont proposé son nom pour représenter les manifestants.
En l’occurrence, l’ex-député Tahar Missoum s’est attaqué à Maître Bouchachi de façon virulente en l’accusant d’avoir rejoint l’opposition en démissionnant de l’APN parce qu’il n’a pas eu le poste de ministre qu’il convoitait.
Par ailleurs, le nom de Mustapha Bouchachi a été inséré dans une liste de personnes ayant prétendument signé une plateforme pour la création d’une Coordination nationale du Changement. L’ancien président de la LADDH a apporté un démenti, affirmant qu’il n’avait jamais donné son approbation pour être inclus dans une telle liste.
C’est après ces deux incidents intervenus dans la même semaine que les observateurs s’interrogent sur les visées réelles de ces attaques ciblant un homme qui dit lui-même qu’il ne veut pas être le chef d’un quelconque mouvement.
observalgerie
Mustapha Bouchachi a commencé à attirer l’attention depuis sa démission de l’Assemblée nationale, une année à peine après son élection en 2012, et en attire davantage depuis le début du soulèvement populaire, qui l’a propulsé au-devant de la scène.
En bon un orateur, Mustapha Bouchachi a su séduire le peuple algérien en mouvement. Au point où il s’attire les foudres du « système » et de ses partisans, ainsi que de certains politiques se présentant comme soutiens des manifestations populaires, d’autant que des voix ont proposé son nom pour représenter les manifestants.
En l’occurrence, l’ex-député Tahar Missoum s’est attaqué à Maître Bouchachi de façon virulente en l’accusant d’avoir rejoint l’opposition en démissionnant de l’APN parce qu’il n’a pas eu le poste de ministre qu’il convoitait.
Par ailleurs, le nom de Mustapha Bouchachi a été inséré dans une liste de personnes ayant prétendument signé une plateforme pour la création d’une Coordination nationale du Changement. L’ancien président de la LADDH a apporté un démenti, affirmant qu’il n’avait jamais donné son approbation pour être inclus dans une telle liste.
C’est après ces deux incidents intervenus dans la même semaine que les observateurs s’interrogent sur les visées réelles de ces attaques ciblant un homme qui dit lui-même qu’il ne veut pas être le chef d’un quelconque mouvement.
observalgerie
Commentaire