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Le FBI enquête à Alger sur le vol d’antiquités : vraie mission ou fausse couverture ?
Une équipe d’enquêteurs de la célèbre police fédérale américaine, le FBI, est en Algérie depuis plusieurs jours, sans que rien d’officiel n’ait été communiqué sur l’objet de cette présence sur le territoire national. L’ambassade des Etats-Unis à Alger a, enfin, tenté de s’en expliquer.
L’ambassade a publié hier un communiqué de presse dans lequel elle indique qu’il s’agit «d’un atelier sur les enquêtes et les poursuites relatives au vol et à la vente illicite d’antiquités, notamment la vente de biens culturels pour financer des activités terroristes».
Cette équipe est venue pour faire profiter l’Algérie, à travers des représentants des ministères de la Culture et de la Justice, «de l’expérience US en la matière» ajoute le communiqué, faisant état de la « continuité de l’intérêt que montrent les États-Unis pour les bâtiments anciens et historiques et pour les sites archéologiques», ajoute le communiqué.
L’ambassade rappelle en outre depuis 2001, elle « soutient la préservation du patrimoine algérien par le biais de dix subventions estimées à 436 727 dollars et qui ont permis de soutenir la restauration et la protection de plusieurs monuments», avant d’exprimer le souhait de voir se conclure prochainement un accord bilatéral entre les USA et l’Algérie «sur la protection du patrimoine culturel, conformément à la convention de l’UNESCO de 1970 sur les biens culturels».
Organiser une activité aussi pointue à l’intérêt très relatif dans un contexte de très fortes tensions dans le pays est pour le moins surprenant lorsqu’on connaît le pragmatisme légendaire des Américains. A quoi rime donc cette mission et quels en seraient les objectifs véritables ?
M.A.B. Algérie monde infos
L’ambassade a publié hier un communiqué de presse dans lequel elle indique qu’il s’agit «d’un atelier sur les enquêtes et les poursuites relatives au vol et à la vente illicite d’antiquités, notamment la vente de biens culturels pour financer des activités terroristes».
Cette équipe est venue pour faire profiter l’Algérie, à travers des représentants des ministères de la Culture et de la Justice, «de l’expérience US en la matière» ajoute le communiqué, faisant état de la « continuité de l’intérêt que montrent les États-Unis pour les bâtiments anciens et historiques et pour les sites archéologiques», ajoute le communiqué.
L’ambassade rappelle en outre depuis 2001, elle « soutient la préservation du patrimoine algérien par le biais de dix subventions estimées à 436 727 dollars et qui ont permis de soutenir la restauration et la protection de plusieurs monuments», avant d’exprimer le souhait de voir se conclure prochainement un accord bilatéral entre les USA et l’Algérie «sur la protection du patrimoine culturel, conformément à la convention de l’UNESCO de 1970 sur les biens culturels».
Organiser une activité aussi pointue à l’intérêt très relatif dans un contexte de très fortes tensions dans le pays est pour le moins surprenant lorsqu’on connaît le pragmatisme légendaire des Américains. A quoi rime donc cette mission et quels en seraient les objectifs véritables ?
M.A.B. Algérie monde infos