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Ancien ministre des Finances : Abderrahmane Benkhalfa exhorte le président Bouteflika à démissionner
Par Nabil Semyane | 23 Mars 2019 | 16:44
Abderrahamne Benkhalfa , ancien ministre des Finances, débarqué après avoir échoué à « bancariser » l’argent de l’informel a exhorté samedi le président Bouteflika à présenter sa démission pour éviter au « pays une situation d’enlisement ».
« Nous nous rapprochons de la fin de mandat du Président sans aucune solution constitutionnelle et acceptée en perspective. C'est stressant et dangereux pour toute la Nation. En tant que citoyen, je renouvelle mon avis qui consiste en la démission du Président, maintenant qu'il a déclaré son incapacité, et au déclenchement du processus constitutionnel d'une élection présidentielle dans les 90 jours après avoir changé le Président du Sénat et la mise en place d'une nouvelle instance indépendante de contrôle des élections. », écrit samedi l’ex premier argentier du pays sur sa page Facebook.
« Les solutions de longue transition et d'instances provisoires compliqueront davantage la situation actuelle; d'autant plus que les arrivistes deviennent nombreux et se confessent pour se repositionner et s'accaparer les instances nouvelles. Les Décideurs sont interpellés devant Dieu et la Nation pour se prononcer rapidement et éviter au pays un enlisement porteur de tous les germes d'une crise institutionnelle. », ajoute Benkhalfa.
Algérie One.
Par Nabil Semyane | 23 Mars 2019 | 16:44
Abderrahamne Benkhalfa , ancien ministre des Finances, débarqué après avoir échoué à « bancariser » l’argent de l’informel a exhorté samedi le président Bouteflika à présenter sa démission pour éviter au « pays une situation d’enlisement ».
« Nous nous rapprochons de la fin de mandat du Président sans aucune solution constitutionnelle et acceptée en perspective. C'est stressant et dangereux pour toute la Nation. En tant que citoyen, je renouvelle mon avis qui consiste en la démission du Président, maintenant qu'il a déclaré son incapacité, et au déclenchement du processus constitutionnel d'une élection présidentielle dans les 90 jours après avoir changé le Président du Sénat et la mise en place d'une nouvelle instance indépendante de contrôle des élections. », écrit samedi l’ex premier argentier du pays sur sa page Facebook.
« Les solutions de longue transition et d'instances provisoires compliqueront davantage la situation actuelle; d'autant plus que les arrivistes deviennent nombreux et se confessent pour se repositionner et s'accaparer les instances nouvelles. Les Décideurs sont interpellés devant Dieu et la Nation pour se prononcer rapidement et éviter au pays un enlisement porteur de tous les germes d'une crise institutionnelle. », ajoute Benkhalfa.
Algérie One.