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Elaaifa ouyahia le frère de ahmed ouyahia s'exprime

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  • Elaaifa ouyahia le frère de ahmed ouyahia s'exprime


  • #2
    Il vole au secours du frangin (tout à son honneur) pour le (re)humaniser un peu.
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #3
      Le défunt père de l'apprenti Poutine ne voulait plus voir sa progéniture maléfique... étouffé par son ambition... et son propre frère lui donne une estocade publique...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Difficile exercice pour le frere ,respect.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Il veut sauver l'honneur de sa famille...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            je suis entrain de voir sur EL Bilad ...

            Sympa , lucide ...aucune perche tendu pour le frangin...
            par contre il refuse qu'on lui colle tous les maux de l’Algérie ... et je suis d’accords avec lui ;
            وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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            • #7
              il faut tout d'abord savoir si le frangin et le reste de la famille n'ont pas profités pleinement des ristournes l'homme a caca.

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              • #8
                l'essentiel il donne un conseil a son frère '' il faut savoir quitter la table...."
                et lui demande de se retirer définitivement de la politique .
                "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                • #9
                  Belle gifle d'un frère à la veille de la démission du RND de Raspoutine à la peau de crocodile, en réponse à la tartufferie des forces anti-constitutionnelles qui se seraient emparées du pays, sachant qu'il était le fidèle soldat de ces forces depuis qu'il a été propulsé avec une double promotion eclaire en 24h en 1990 sous le ministre Ghozali, à la tête de la direction Afrique aux AE, un cas assez unique dans les annales de la jeune république algérienne...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    Comment voit le frère d’Ouyahia, expert constitutionnaliste, la solution de sortie de crise ?
                    شقيق أويحي المحامي والخبير الدستوري لعيفا أويحي هكذا أرى المخرج للأزمة


                    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                    • #11
                      à défaut de parler lui même , il délègue son frère
                      nekkaz aussi a ramené son cousin
                      khellouna men had cinéma !

                      Commentaire


                      • #12
                        phileas
                        à défaut de parler lui même , il délègue son frère
                        nekkaz aussi a ramené son cousin
                        khellouna men had cinéma !

                        écoute d'abord ce qu'il dit, avant de réagir au quart de tour !
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                        • #13
                          il était une fois (Kanya makan)

                          Ah voilà, un ami m'a signalé que ce n'était pas le première fois !

                          Liâfa Ouyahia (PNL) critique la politique de Ahmed Ouyahia (RND)

                          Liâfa Ouyahia, frère du Premier ministre Ahmed Ouyahia, qui s’est porté candidat aux élections législatives du 10 mai prochain sous l'étiquette du nouvellement agréé Parti National Libre (PNL) a accordé vendredi dernier une interview au quotidien arabophone Echourouk.

                          Âgé de 50 ans, né dans le quartier populaire de Belcourt, à Alger, où la famille Ouyahia s’est installée dans les années 1950 après avoir quitté le village de Bouadnane, en Kabylie, Liâfa Ouyahia affirme au quotidien que lui et son frère Ahmed, son aîné de 10 ans, sont politiquement aux antipodes.

                          Assument pleinement ses divergences, il déclare que "J’aurais pu me présenter sous la bannière du RND (Rassemblement national démocratique) et être désigné tête de liste dans n’importe quelle wilaya, ou même obtenir un poste d'ambassadeur, mais je ne partage rien avec mon frère. Je n’ai jamais adhéré au RND. Nous sommes de la même famille, mais nous avons des idées et des convictions différentes". ajoute Liâfa Ouyahia.

                          Le cadet reconnaît avoir souffert de porter son nom de famille, qu'il vit de ses revenus comme avocat, qu'il réside à Dergana, dans la banlieue d'Alger, et qu’il n’a pas consulté son frère avant de se porter candidat à la députation.

                          Interrogé sur une rumeur persistante, que rien n'est jamais venu étayer, et qui laisse croire que Ahmed Ouyahia est actionnaire de la régie de transport de bus « Tahkout », qui transporte entre autres les étudiants, Laïfa Ouyahia dément catégoriquement, en affirmant que ni son frère ni sa famille n’ont de relations avec cette entreprise.

                          Prié de donner son avis sur la politique menée par son aîné, Liâfa Ouyahia affirme sans détours que "La politique de ce gouvernement est un échec. Le bilan d’Ouyahia est négatif".

                          Concernant leurs relations, le cadet révèle que « Je ne lui ai jamais rendu visite dans son bureau, je vous le dis en toute sincérité, je n’ai jamais revu mon frère depuis la mort de notre mère ».

                          Interrogé sur son sentiment concernant le troisième mandat du président Bouteflika, Liâfa Ouyahia indique "que ce troisième mandat était une erreur. Le président aurait pu se contenter de deux mandats. Je le dis, avec tout le respect que je dois au chef de l’Etat , je suis contre un quatrième mandat du président».

                          Revenant au programme de son parti, Liâfa Ouyahia affirme que "Nous ne cataloguons pas les individus sur la base de la tenue vestimentaire ni pour cause de gandoura mais nous ne sommes pas pour le retour du Fis dissous. mais, avertit-il, cela ne doit pas servir de prétexte pour faire passer le courant islamiste pour un épouvantail. Il n’exclut pas de faire une alliance avec ce courant et "pour le bien de l’Algérie, on s’alliera même avec le diable" ajoute t-il.

                          Algerie1


                          ../..
                          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                          • #14
                            Interrogations pertinentes du Frère d'Ouyahia dans la 2ème vidéo

                            et il a raison de dire que nous allons tous vers l'inconnu.

                            Les éléments de solutions proposées me paraissent intéressante.
                            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                            • #15
                              Ma propre proposition :



                              1. Pour qu'il n'y ait aucun malentendu ou illégitimité, il va falloir obligatoirement élire démocratiquement (par les urnes donc) les représentants du peuple pour chaque ville algérienne (1 personne) et éviter la désignation (1 mois). Les citoyens sont appelés à participer massivement pour le contrôle et le suivi des ces élections.



                              2. L'armée doit rester en dehors de la politique. Sa mission est de défendre le pays envers les envahisseurs étrangers et non pas de s'immiscer dans les affaires politiques.



                              3. Ces 48 personnes élues représenteront le peuple algérien (un mini parlement), qui vont élire une constituante pour préparer un nouvelle constitution (3 mois max) ainsi que les prochains scrutins : présidentiel, législatif, communal (6 mois max) et avec l'ouverture du champ médiatique et politique.

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