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Par Kamel M. – Algerie patriotique a appris de sources sûres que le général-major Bachir Tartag n’a pas démissionné de son poste de coordinateur des services de sécurité (CSS). Cette fausse information a été donnée par certains médias et relayée sur les réseaux sociaux quelque temps à peine après l’appel lancé par le chef d’état-major de l’ANP à l’application de l’article 102 de la Constitution.
De nombreuses fake news circulent dans les médias et sur la Toile dans ce qui s’apparente à une tentative de manipulation de l’opinion publique à des fins occultes. Les relayeurs de la rumeur sur le départ de Bachir Tartag auraient pour but de faire accroire à un désaccord entre les services de sécurité et l’armée. Un peu plus tôt dans la journée, une autre rumeur avait circulé sur des gendarmes qui auraient manifesté à Tizi Ouzou, alors qu’il s’agissait d’éléments de la Direction générale des forêts.
Les services de sécurité relèvent directement du président de la République, mais ils accomplissent leurs missions en coordination avec l’armée dans les domaines de la lutte antiterroriste et la préservation des intérêts du pays. La propagation de la rumeur sur une prétendue démission du patron du renseignement dans ce contexte délicat signifie qu’une harmonie entre l’institution militaire et les services de sécurité, impliqués malgré eux dans la gestion d’un dossier éminemment politique, dérange.
De nombreuses voix se sont élevées pour alerter sur des manœuvres visant à plonger le pays dans une crise profonde à l’issue incertaine. Les manifestations pacifiques qui appellent au changement de régime radical agacent certains milieux et officines qui voient d’un mauvais œil un règlement de la crise sans recours à la violence. D’où cette intoxication médiatique qui est allée crescendo depuis le 22 février dernier, premier jour du mouvement populaire contre le cinquième mandat qui a débouché sur d’autres revendications légitimes.
K. M.
De nombreuses fake news circulent dans les médias et sur la Toile dans ce qui s’apparente à une tentative de manipulation de l’opinion publique à des fins occultes. Les relayeurs de la rumeur sur le départ de Bachir Tartag auraient pour but de faire accroire à un désaccord entre les services de sécurité et l’armée. Un peu plus tôt dans la journée, une autre rumeur avait circulé sur des gendarmes qui auraient manifesté à Tizi Ouzou, alors qu’il s’agissait d’éléments de la Direction générale des forêts.
Les services de sécurité relèvent directement du président de la République, mais ils accomplissent leurs missions en coordination avec l’armée dans les domaines de la lutte antiterroriste et la préservation des intérêts du pays. La propagation de la rumeur sur une prétendue démission du patron du renseignement dans ce contexte délicat signifie qu’une harmonie entre l’institution militaire et les services de sécurité, impliqués malgré eux dans la gestion d’un dossier éminemment politique, dérange.
De nombreuses voix se sont élevées pour alerter sur des manœuvres visant à plonger le pays dans une crise profonde à l’issue incertaine. Les manifestations pacifiques qui appellent au changement de régime radical agacent certains milieux et officines qui voient d’un mauvais œil un règlement de la crise sans recours à la violence. D’où cette intoxication médiatique qui est allée crescendo depuis le 22 février dernier, premier jour du mouvement populaire contre le cinquième mandat qui a débouché sur d’autres revendications légitimes.
K. M.
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