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Les précisions du général Delawarde suite à son analyse sur la situation en Algérie
Le général français à la retraite Dominique Delawarde nous a adressé un message dans lequel il réitère sa position neutre par rapport à l’Algérie, en affirmant qu’«en aucun cas, je me suis adressé aux Algériens pour leur donner des conseils». L’ancien officier supérieur qui était en charge de la cyberguerre à l’état-major interarmées de planification opérationnelle fait référence à notre titre qui semble avoir prêté à confusion, alors qu’il est clairement précisé dans notre article qu’il s’agit bien d’une tribune parue dans un média français.
«L’article que vous avez tous lu et commenté est un montage réalisé à partir d’un texte original que j’ai rédigé à l’attention de mes amis français qui me demandaient ce que je pensais des événements survenus en Algérie. Il a été repris par un journal breton Breizh Info», explique le général Delawarde, en insistant sur le fait qu’«en aucun cas» il a cherché à «donner des conseils» aux Algériens. «Ils sont chez eux en Algérie et ils y font ce qu’ils y veulent», a-t-il fait remarquer.
«Vous y constaterez que je donne mon avis sur de probables ingérences étrangères pour attiser la révolte populaire. Je ne prends à aucun moment partie pour qui que ce soit et ne donne aucun conseil aux Algériens», répète-t-il en insistant sur l’absence totale d’une quelconque velléité d’ingérence : «Je constate que votre actuel Président n’est plus en état physique d’assumer une fonction présidentielle. C’est un fait. Je vous souhaite de choisir le meilleur successeur possible. C’est votre affaire, pas la mienne», écrit-il dans un message envoyé à notre site.
«Je constate aussi que vos commentaires sont passionnés, ce qui prouve que vous aimez votre pays. J’ai noté toutefois et identifié par expérience quelques trolls en charge d’échauffer les esprits et de déconsidérer ma modeste personnes (je suis retraité depuis quinze ans)», note l’officier français qui recommande à «ceux qui voudraient en savoir plus» sur ses analyses la lecture de deux articles publiés en 2017 qui «montrent de manière claire qui je suis». «Les commentateurs malveillants à mon égard pourront alors reprendre leurs éventuelles critiques en toute connaissance de cause», conclut le général Dominique Delawarde.
AP
https://reseauinternational.net/anal...que-delawarde/
USA-Syrie-France-Israël : Pour mieux comprendre le conflit syrien. Général (2S) Dominique DELAWARDE
«L’article que vous avez tous lu et commenté est un montage réalisé à partir d’un texte original que j’ai rédigé à l’attention de mes amis français qui me demandaient ce que je pensais des événements survenus en Algérie. Il a été repris par un journal breton Breizh Info», explique le général Delawarde, en insistant sur le fait qu’«en aucun cas» il a cherché à «donner des conseils» aux Algériens. «Ils sont chez eux en Algérie et ils y font ce qu’ils y veulent», a-t-il fait remarquer.
«Vous y constaterez que je donne mon avis sur de probables ingérences étrangères pour attiser la révolte populaire. Je ne prends à aucun moment partie pour qui que ce soit et ne donne aucun conseil aux Algériens», répète-t-il en insistant sur l’absence totale d’une quelconque velléité d’ingérence : «Je constate que votre actuel Président n’est plus en état physique d’assumer une fonction présidentielle. C’est un fait. Je vous souhaite de choisir le meilleur successeur possible. C’est votre affaire, pas la mienne», écrit-il dans un message envoyé à notre site.
«Je constate aussi que vos commentaires sont passionnés, ce qui prouve que vous aimez votre pays. J’ai noté toutefois et identifié par expérience quelques trolls en charge d’échauffer les esprits et de déconsidérer ma modeste personnes (je suis retraité depuis quinze ans)», note l’officier français qui recommande à «ceux qui voudraient en savoir plus» sur ses analyses la lecture de deux articles publiés en 2017 qui «montrent de manière claire qui je suis». «Les commentateurs malveillants à mon égard pourront alors reprendre leurs éventuelles critiques en toute connaissance de cause», conclut le général Dominique Delawarde.
AP
https://reseauinternational.net/anal...que-delawarde/
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