La source El manchar
Dans un énième message adressé aujourd’hui au peuple, le président de la République a exprimé sa position de l’appel du Général Gaid Salah à l’application de l’article 102 de la constitution.
“C’est un pas historique dans l’histoire des institutions de l’Algérie. Après avoir vécu une vingtaine d’années terribles, à supporter les frasques d’un pouvoir occulte et de forces non constitutionnelles, l’Algérie va enfin connaître du répit et se consacrer à la reconstruction de ce qui a été détruit durant ces années.
Je salue en cela l’appel du Chef d’État major a l’application de l’article 102 contre mon frère Said qui a accaparé le pouvoir et a conduit le pays vers l’impasse sur tous les niveaux. J’appelle donc aujourd’hui mon peuple a s’unir autour de moi et uniquement moi pour poursuivre l’oeuvre que j’ai toujours voulu accomplir pour le bien du pays. L’Algérie est guérie de son cancer. On entre dans une phase de rémission que j’aurais l’honneur de conduire pour les 20 prochaines années.
Vivre l’Algérie”.
Dans un énième message adressé aujourd’hui au peuple, le président de la République a exprimé sa position de l’appel du Général Gaid Salah à l’application de l’article 102 de la constitution.
“C’est un pas historique dans l’histoire des institutions de l’Algérie. Après avoir vécu une vingtaine d’années terribles, à supporter les frasques d’un pouvoir occulte et de forces non constitutionnelles, l’Algérie va enfin connaître du répit et se consacrer à la reconstruction de ce qui a été détruit durant ces années.
Je salue en cela l’appel du Chef d’État major a l’application de l’article 102 contre mon frère Said qui a accaparé le pouvoir et a conduit le pays vers l’impasse sur tous les niveaux. J’appelle donc aujourd’hui mon peuple a s’unir autour de moi et uniquement moi pour poursuivre l’oeuvre que j’ai toujours voulu accomplir pour le bien du pays. L’Algérie est guérie de son cancer. On entre dans une phase de rémission que j’aurais l’honneur de conduire pour les 20 prochaines années.
Vivre l’Algérie”.
Commentaire