#Algérie
Deux sujets importants sur lesquels je reviendrai dans le détail durant quelques jours à travers les colonnes de la presse le temps de finaliser mon enquête :
Primo : raconter comment les services algériens tentent de reprendre la main sur les réseaux sociaux en passant par des cabinets privés, en Algérie et à l’étranger, dont l’objectif consiste à diaboliser chaque opposant, à le dénigrer, à rédiger dans plusieurs langues des posts favorables à la vision du régime
Secundo : raconter qu’un budget de plusieurs millions d’euros puisés sur les fonds réservés de la présidence algérienne et du ministère des Affaires étrangères est consacré à payer « journalistes » mercenaires, influenceurs, communicants, figures importantes et autres blogueurs pour dénigrer chaque acteur de l’opposition et chaque revendication sérieuse.
D’ici là, je vous conseille de ne pas vous laisser perturber par des articles tantôt complaisant avec le régime qui évoquent notamment les « risques de déstabilisation de l’Algérie », la « présence de la main étrangère », les « ennemis de l’Algérie », les « islamistes en embuscade » etc. Et méfiez vous par ailleurs de certains articles qui paraissent ces jours-ci et qui visent à dénigrer, afin de disqualifier et de rendre inaudible, toute voix qui réclame la démocratisation du pays. Là aussi parmi les éléments de langage « tel auteur est malhonnête », « tel autre à un fil à la patte », « tel opposant est proche de pays étrangers », « il n’y a pas d’opposition », « les islamistes vont être les premiers bénéficiaires de la révolution », « voyez l’exemple libyen ou syrien », les « sionistes, les Français, les russes ou les américains sont à la manœuvre » et j’en passe.
Ne laissez personne vous manipuler. Ne laissez personne construire votre pensée. Prenez les avis. Vérifiez, réfléchissez, recoupez, ne courrez pas derrière les seules informations que vous aimeriez entendre.
Les réseaux sociaux sont devenus un enjeu dans ce genre de bataille. Le régime a compris que ce sont là les meilleurs outils de la jeunesse, il tente de s’approprier son fonctionnement pour étouffer la révolution en utilisant aussi les réseaux sociaux, outre ses manœuvres habituelles.
Je ne demande pas à tout le monde d’être d’accord avec moi par exemple. Ma personne n’a aucune importance, mais analysez ce que les gens écrivent. Voyez les informations qu’ils vous donnent. Ne vous laissez pas embarquer par des ambiances suscités par le régime et je conseille à ceux qui veulent se défouler de ne pas se tromper d’ennemis : la cible c’est le régime algérien et ses caciques et personne d’autre. Nos divergences, nous pourrions les évoquer dans des échanges post-Révolution démocratique.
Deux sujets importants sur lesquels je reviendrai dans le détail durant quelques jours à travers les colonnes de la presse le temps de finaliser mon enquête :
Primo : raconter comment les services algériens tentent de reprendre la main sur les réseaux sociaux en passant par des cabinets privés, en Algérie et à l’étranger, dont l’objectif consiste à diaboliser chaque opposant, à le dénigrer, à rédiger dans plusieurs langues des posts favorables à la vision du régime
Secundo : raconter qu’un budget de plusieurs millions d’euros puisés sur les fonds réservés de la présidence algérienne et du ministère des Affaires étrangères est consacré à payer « journalistes » mercenaires, influenceurs, communicants, figures importantes et autres blogueurs pour dénigrer chaque acteur de l’opposition et chaque revendication sérieuse.
D’ici là, je vous conseille de ne pas vous laisser perturber par des articles tantôt complaisant avec le régime qui évoquent notamment les « risques de déstabilisation de l’Algérie », la « présence de la main étrangère », les « ennemis de l’Algérie », les « islamistes en embuscade » etc. Et méfiez vous par ailleurs de certains articles qui paraissent ces jours-ci et qui visent à dénigrer, afin de disqualifier et de rendre inaudible, toute voix qui réclame la démocratisation du pays. Là aussi parmi les éléments de langage « tel auteur est malhonnête », « tel autre à un fil à la patte », « tel opposant est proche de pays étrangers », « il n’y a pas d’opposition », « les islamistes vont être les premiers bénéficiaires de la révolution », « voyez l’exemple libyen ou syrien », les « sionistes, les Français, les russes ou les américains sont à la manœuvre » et j’en passe.
Ne laissez personne vous manipuler. Ne laissez personne construire votre pensée. Prenez les avis. Vérifiez, réfléchissez, recoupez, ne courrez pas derrière les seules informations que vous aimeriez entendre.
Les réseaux sociaux sont devenus un enjeu dans ce genre de bataille. Le régime a compris que ce sont là les meilleurs outils de la jeunesse, il tente de s’approprier son fonctionnement pour étouffer la révolution en utilisant aussi les réseaux sociaux, outre ses manœuvres habituelles.
Je ne demande pas à tout le monde d’être d’accord avec moi par exemple. Ma personne n’a aucune importance, mais analysez ce que les gens écrivent. Voyez les informations qu’ils vous donnent. Ne vous laissez pas embarquer par des ambiances suscités par le régime et je conseille à ceux qui veulent se défouler de ne pas se tromper d’ennemis : la cible c’est le régime algérien et ses caciques et personne d’autre. Nos divergences, nous pourrions les évoquer dans des échanges post-Révolution démocratique.
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