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Qui gouverne en Algérie ?

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  • Qui gouverne en Algérie ?

    Cette question se pose depuis longtemps en Algérie dans les discussions quotidiennes et dans les articles de presse où est utilisée l’expression « le pouvoir » pour désigner les gouvernants. Malgré le flou qu’elle implique, nous savons cependant plus ou moins que cette expression renvoie à un mécanisme d’exercice de l’autorité de l’Etat au centre duquel il y a la hiérarchie militaire.

    Pour des raisons historiques, l’Etat algérien s’est construit à partir de l’armée, mais l’élite militaire a raté l’occasion d’octobre 1988 pour se retirer du champ de l’Etat. Se substituant à la souveraineté populaire, la hiérarchie militaire ne déclare pas officiellement qu’elle est la source du pouvoir en lieu et place de l’électorat. Mais tout le monde sait que c’est elle qui désigne le président.

    Comment alors analyser le régime algérien alors qu’il est incompatible avec l’ordre constitutionnel ? La science politique a des difficultés à étudier le régime algérien qui relève plutôt de l’anthropologie politique mieux outillée conceptuellement pour analyser les rapports d’autorité formels et non formels. Sa particularité est que les institutions ne véhiculent pas toute l’autorité de l’Etat. Ces derniers jours, des responsables de partis de l’administration parlent de « forces extraconstitutionnelles » qui interfèrent dans la prise de la décision politique.

    Quelle est la structure officielle de l’Etat en Algérie ? Théoriquement il est dirigé par un président élu au suffrage universel à l’issue d’une campagne électorale à laquelle prennent part différents partis, y compris ceux de l’opposition légale. Le président met en œuvre une politique traduite par des lois votées à l’Assemblée nationale par des députés eux aussi élus au suffrage universel. Théoriquement, il y a donc un pouvoir exécutif issu des urnes, un pouvoir législatif représentant de la volonté populaire et un pouvoir judiciaire indépendant qui protège l’exercice des droits civiques des citoyens. Il y a même un conseil constitutionnel qui veille à la constitutionnalité des lois et décrets. Cette structure institutionnelle est portée par des partis politiques qui expriment les différents courants idéologiques de la société et qui se disputent le pouvoir exécutif à travers des élections libres et pluralistes.

    Le seul problème est que ce schéma ne correspond pas à la réalité. Par le trucage des élections, le pouvoir exécutif, mandaté par la hiérarchie militaire, empêche le corps électoral de se donner les représentants qu’il veut. La réforme de la constitution de février 1989 a mis fin au système de parti unique, mais le régime a perverti le pluralisme en truquant les élections pour empêcher toute alternance. Le pluralisme a été une façade derrière laquelle l’armée a continué d’être la source du pouvoir en lieu et place du corps électoral.

    Si le régime post-88 est sur le point de s’effondrer, c’est parce qu’il n’a pas de cohérence politico-idéologique. En comparaison, le régime de Boumédiène était plus cohérent. Celui-ci disait : les chouhadas m’ont demandé de diriger le peuple pour faire son bonheur. Par conséquent, je suis l’Etat, et celui qui n’est pas content, il n’a qu’à quitter le pays. L’autoritarisme de Boumédiène était cohérent et clair et ne s’encombrait pas d’arguties d’une constitution copiée sur celle de la 5èm république française. Le modèle de Boumédiène a survécu à son fondateur avec un faux pluralisme.

    Evidemment, les militaires n’interviennent pas directement en tant que tels dans le champ de l’Etat. Les généraux de l’Etat-Major ont d’autres tâches à accomplir, notamment l’entretien du niveau opérationnel des troupes. Ils ont cependant confié à la direction de l’espionnage la tâche de gérer le champ politique. A l’exception du président désigné par la hiérarchie militaire, ce service d’espionnage appelé DRS, désigne le Premier ministre et supervise avec le président la formation du gouvernement.

    Les dernières déclarations de Amar Saidani à TSA le confirment. Ouyahya est désigné comme premier ministre par le DRS. Ce qui signifie que Bouteflika ne nomme pas le premier ministre, et ne choisit pas son équipe ministérielle. Tous ses fidèles ont été éjectés du gouvernement : Belkhadem, Zerhouni, Ould Abbès, Benachenhou.

    Le DRS filtre aussi les listes des candidats aux fonctions électives nationale et locale (APN, APW, APC). Il décide des résultats électoraux en donnant aux partis des quotas de sièges en contrepartie de la fidélité au pouvoir administratif. En outre, il noyaute toutes les institutions de l’Etat (police, douanes, gendarmerie…) pour s’assurer que les fonctionnaires ne remettent pas en cause la règle non écrite du système politique algérien : l’armée est seule source du pouvoir. Le service politique de l’armée infiltre aussi les partis d’opposition, pour les affaiblir de l’intérieur en créant des crises au niveau des directions. Le dernier parti victime de cette pratique est le FFS. Il contrôle la presse par le chantage à la publicité.

    La mission du DRS est de dépolitiser la société pour se poser en seule expression politique émanant de la hiérarchie militaire. Ce modèle a pu fonctionner dans les années 1970 parce que l’armée comptait 40 colonels. Il ne peut pas fonctionner aujourd’hui avec 500 généraux qui exercent peu ou prou une parcelle de l’autorité de l’Etat, avec en plus leurs réseaux de clientèle se disputant des parts de la rente pétrolière. L’anarchie militaire au sommet de l’Etat a empêché celui-ci de fonctionner conformément à ses institutions formelles. L’affaire Tebboune le montre clairement.

    Après l’annulation des élections par les généraux janviéristes en 1992, le DRS a eu un rôle stratégique dans la lutte anti-terroriste, ce qui lui a donné un poids important dans la prise de la décision politique. Au fil des années, il s’est quasiment autonomisé de l’Etat-Major dont formellement il dépend organiquement. Des généraux se sont plaints de la concentration de pouvoir entre les mains du chef du DRS, le général Tewfik Médiène, connu aussi sous le nom de « Rab Edzair » (Dieu d’Alger). Un conflit larvé divisait la hiérarchie militaire, surtout que les officiers du DRS occupaient des places stratégiques dans les circuits de répartition de la rente pétrolière.

    Le conflit entre l’Etat-Major et la direction du DRS éclatera au lendemain de l’attaque du complexe gazier de Tiguentourine en 2013. Selon les informations qui circulent à Alger, l’Etat-Major a reproché au DRS soit d’avoir manipulé des islamistes pour planifier l’attaque de ce complexe gazier (c’est ce que affirme Amar Saidani), soit d’avoir été incapable de protéger un endroit stratégique d’extraction de la rente pétrolière. L’Etat-Major a décidé la réorganisation du DRS, après avoir mis à la retraite plusieurs généraux. L’un d’eux, le général Hassan a été arrêté et condamné par un tribunal militaire à 5 ans de prison.

    Mais l’Etat-Major n’a pas informé le public sur les raisons de cette restructuration des services de sécurité. Il a demandé à Amar Saidani, responsable du FLN à l’époque, d’attaquer le général Tewfik qu’il a accusé de s’opposer à l’Etat de droit, à la liberté de la presse et à l’autonomie de la justice. Un étudiant en sciences politiques avait écrit sur sa page Facebook : « A la tête du FLN, Saidani a eu le temps de lire Jean-Jacques Rousseau ! ». Une fois le DRS réorganisé, l’Etat-Major a mis fin aux fonctions de Saidani à la tête du FLN.

    Suite à cet épisode, le DRS a été divisé en deux parties. L’une sera chargée de l’espionnage pour défendre les intérêts du pays contre les ingérences de puissances étrangères, et l’autre confiée au général Bachir Tartag chargée de la gestion de la société civile et aussi de la surveillance des fonctionnaires de l’Etat. Le bureau de Tartag a été domicilié à la présidence pour montrer qu’il est sous l’autorité du président. Le DRS propage les rumeurs selon lesquelles Bouteflika aurait domestiqué l’armée. Avant de mettre à la retraite le puissant général T. Médiène, il aurait mis fin aux fonctions de Mohamed Lamari, alors chef d’Etat-Major. La vérité est que ce dernier a été démis par l’Etat-Major après ses déclarations au journal Al-Ahram et à l’hebdomadaire français Le Point en 2004 où il montrait que l’armée est au-dessus du président. Les généraux, dont l’autorité est en effet au-dessus de celle du président, ne veulent pas que cela se sache.

    Cette propagande vise à cacher la véritable nature du régime algérien où la hiérarchie militaire exerce le pouvoir réel. Il existe bien sûr le clan de Bouteflika, composé de ses frères, d’importateurs et d’entrepreneurs de travaux publics. Ce clan a le pouvoir de relever de ses fonctions un responsable de douane qui refuse de violer la règlementation, de suspendre un wali qui aura été nommé par un clan rival, de muter au sud un magistrat soucieux de l’application de la loi, de bloquer une entreprise comme Cevital, etc. Mais le pouvoir, ce n’est pas violer la loi. Ces abus de pouvoir ne se produisent que parce que l’armée refuse que la justice soit autonome. Le clan de Bouteflika est né et a grandi à l’ombre d’un système politique centré sur l’armée. Il a donné naissance à une bourgeoisie monétaire vorace et prédatrice qui se nourrit de marchés publics, associant des enfants de généraux dans des activités commerciales d’importation.

    Où en est-on aujourd’hui et comment sortir de la crise actuelle ? Composée de jeunes généraux nés dans les années 1950 et 1960, la hiérarchie militaire doit répondre à la demande de changement de régime exprimée par des millions de citoyens. Elle ne devrait pas faire les erreurs fatales des hiérarchies précédentes qui ont opéré quatre coups d’Etat (1962, 1965, 1979, 1992), tué un président et fait démissionner deux.

    L’évolution de la société algérienne exige un réajustement de l’Etat en fonction des transformations culturelles et sociales des dernières décennies. Si ce réajustement est refusé, le mouvement de protestation va se radicaliser et beaucoup de sang coulera. Les jeunes généraux doivent être à la hauteur des exigences de l’histoire.

    Lahouari Addi
    TSA
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    Je ne sais pas a quel point ce que dit laadi houari est vrai ou faux .
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      @xenon

      Il dit que c'est toujours l'armée qui gouverne en Algérie. D’après les derniers développements, je ne peux que lui donner raison.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        En effet, l'ANP a quelques clés dans les mains, elle doit garder un certain nombre de clés, sinon c'est le foutoir.

        Toutefois il est urgent de redéfinir rapidement ses missions dans les conditions actuelles, la main de l'étranger, n'est pas loin.

        prérequis : il faut rapidement désigner une autorité politique qui puisse gérer le pays et nettoyer la bergerie du virus qui circule encore.

        Le sort de gaid salah est scellé à moyen terme, ce n'est pas la peine qu'il se fasse des dessins, sa durée de validité est proche de l'expiration, mais peut être qu'il pourra se racheter (un tout petit peu) en accélérant la désactivation des forces occultes et au même temps bloquer les tentatives de déstabilisation qui vont venir de l'étranger (le danger est bien réel).

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        • #5
          Qui gouverne?
          La momie toujours (officieusement) , et le même gouvernement sans Ouyahia et Mesahel.
          Dans un mois tout peut arriver.
          La momie peut démettre qui il veut, même Gaid Ahmed, d'ici la fin de son mandat.
          F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

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          • #6
            En comparaison, le régime de Boumédiène était plus cohérent.
            souvent ils disent cela.. ce n'est pas le regime de boumedienne qui etait coherant
            mais la composante humaine du l'agerie etait formé en periode post coloniale, les gens vaient l'habitude de vivre dans un etat de lois..ils ont conservé ainsi dire le reflexe. boumedienne et meme un autre dans son groupe ne pouvait rien faire, ils etaient en face d'un regime dite democratique de base..

            a chaque fois qu'un groupe voudra instauré un regime de chef il subira une cuissante defaite. ça ne veut pas dire que l'etat de boumedienne ou sa composante sur le schema catholqiue et chi3ite et meme de bandits car ils se comportent de la meme manière..il n ya pas des lois ecrite qui réglmentent le fonctionnement d'un groupe. souvent pour calmer c'est la'rgent si l'argent manque la violence s'installera entre leurs nombre et la bataille s'installent. si la crise continu ya pas un chef qui a reussi le maintiend du groupe, il y aura massacre entre eux...le groupe n'a pas le choix. il se constiuent autour d'un interet une rente une fois la l'interet s'epuise d'année a une autre, les elements se retournent contre eux..

            il ya un autre phnomene chez les tributs.. une tribus qui est un groupe basé non pas sur la production mais l'exploitation d'une rente. on prend par exemple une tribus qui se fixe sur un troupeau..le troupeau n'est produit mais c'est une rente comme par exemple une mine, un recette fiscal qu'on appelle le tresor..
            le groupe en france pourtant democatrique un groupe s'est fixé sur la rente sur le tresor et le debat se tourne actuelemnt sur la fiscalité..

            chez nous on parle aussi sur la rente petrolière, avant c'etait les moutons,
            aujordhui le mouton n'a pas d'intret face au petrole qui se vend en devise
            mais sinon avant l'independance la guerre entre groupe formé en tribut faisait rage sur les haut plateaux.
            la france metropolitaine les franaçais en france pas les francais en algerie de l'epoque n'avait pas d'interet dans les ville ou les regions montagneuse.
            la france metropolitaine voulaient deux choses essentiel les cereal et le troupeaux
            c'est pourquoi la france metro a delaissé les regions montagneuse, ces regions sont resté sur le dos des français débarqués..meme s'il n yavait de FLN suite a la deuxiemme guerre mondiale les français d'algerie aurait fait scission ert declarer leur independance sur la france metro..et le resultat serait comme l'afrique du sud..
            l'independance de l'algerie etait inevitable. la france metro essayer de maintenir ces intrets soit face au colons soit face aux algeriens..

            mais la france metro est deffierentes de la france en algerie. la première travaille comme un etats sur les traités ecrits noir sur blanc et impose un juge,
            les français en algerie ne pouvait pas le faire car ils se constituent comme un groupe d'interet sans lois qui les reglemente. il finiront par se faire la guerre entre eux si il y aura une crise et chacun assure ses arrière au moindre choc il laisse mle peut et va ailleur au bresil
            le groupe est violent entre eux ce qui va se reprcuter sur le reste. avant de se faire une guerre entre eux ils essayent de la faire sortir d'ou certains en algerie actuelemnt de faire entrer l'armée dans le jeux. l'armé avait compris le jeux et n'entre pas. le groupe va s'imploser et vous allez voir l'un va retourner contre l'autre et le reste va s'enfuire pour sauver leur peau..
            mais la ou il va il va etre attrapper car partout y'a des groupes de violence.
            on lui enleve tous et il finira sdf ou illiminé dans un parc par le maitre d'une pro..

            la solution en algerie est simple le calme, laisser les choses se passent normalement que prevus. il y aura les elections presidentielle, comme d'habitude..les groupes eux vont eux meme s'imploser et vont etre digéré entre eux soit il va etre digéré et recyclé ailleur, il n'a pas ou se sauver

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            • #7
              la france metro sait et fait savoir aux autres que les interts ne seront jamais garanti que par des traités..et non en se reposant sur des groupes de violence.
              les accors d'evian ont perduré sur 50 ans.. car la justice assure sa perenité..
              un groupe de gens n'ont jamais assuté cette pernenité car la violence se base pas unqiuement sur l'arme mais le moral de celui qui la porte..

              donc les pays etranger qui ont des interets en algerie doivent soutenir l'independance de la justice au lieu de soutenir les groupe..

              come la france a mlaheuresement une histoire ave la gistion par groupe du catholoisme certaine france ne voit que la force et la violence car elle l'utise dans son quotideints..c'est pourquoi la papauté a a tout perdu face aux revolutionnaire..il ne lui reste presque rien, bien que la violence est innée chez elle comme elle est innée chez un groupe de juif ou de chi3ite..
              on l'appelle pas un groupe mais des bandits car ils se comportent de la meme manière
              car un groupe peut avoir une certaine forme forme d'organisation et des regles..un parti politique est un groupe, mais y a des regles des lois qui regit le groupe. un president est elu, il n'est imposé suite a une guerre dans son meeting comme le cas des habitude des gladiateurs..

              donc en france en espagne en italie en pologne en israel en iran en russi en yougoslavie au liban au maroc au canada en aerique du sud

              tous ces pays ont été infesté et sont contaminé

              le badistisme est un programme un virus meme si dans ces debut de formation il n'etait qu'un parasite qui a prie une taille phenomenal comme le tenias face a l'ascaris..
              tu peux suporté un ascaris mais pas un tenia

              la France dans son ventre y'a un Tenia qui essaye de le faire rejeter dans les scelle

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              • #8
                Tout ça, c'est du bla-bla car qui gouverne, je pense que plus personne ne gouverne et ce qui nous intéresse, c'est qui va gouverner???
                Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                • #9
                  Comme disent les anglais: "follow the money" !
                  L'argent sont entre les mains de qui?

                  Commentaire


                  • #10
                    Elle est au dessus des clans qui veulent gouverner.
                    Ce qui est certain, l'armée est un rempart au cas où, vu les fortes instabilités, voir un président invalide, surtout ces 30 dernières années, comme après 2011 les menaces aux frontières. Elle est toujours très mobilisée sur le terrain. Elle a aidé la Tunisie en massant des troupes aux frontières. Elle fait face au chaos en Libye, d'immenses frontières à surveiller, et toujours active à l'intérieur du pays.

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                    • #11
                      ici chez nous c'est une histoire de tribus qui se fixe sur une rente

                      il ya sontrach qui dit sontrach dit la masse devise la tribus c'est fixé dessus
                      comme une rente. bien que il ya des importateur serieux et des privés qui produisent.. la tribus c'est fixé sur une part et la divise entre ces membres
                      ce qu'on appelle l'import import, surfacturation detournement etc


                      il ya l'argent du publique c'est aussi la meme chose il ya ceux qui l'utilisent pour produire construire et ya une tribut qui le regarde comme rente..la tribut viens en face de la finance pour publqiue pour prendre une part et se la partager entre ces membres
                      le budget de l'etat est en face de deux tribus
                      une tribus dans l'administration
                      et une tribus dans le secteur publqiue
                      dans les deux cas il ya surfacturation comme l'import et export..

                      le danger c'est lorsque les tribus se multiplie en masse et en volume..lorsqu'il etaient en cours de croissance dans les année 60 suite a la guerre car la guerre a permit d'elliminer toutes les tributs soit algerienne
                      soit française. le camps français etait formés par 3
                      le clan administratif
                      le clan des colons
                      et le clan de la metrople qui est divisé en deux le clan de la republqiue fonctionnement sur des lois, et la tribut parasite qui etait dans son ventre
                      les deux avaient le meme interet mais avec des methodes differente
                      la republqiue se base sur la lois et les reglement et l'autre se base sur la force la violence et l'usage de l'armée de l'armée française pour imposé un etat de violence car le violent n'est pas lettré et n'a pas fait d'etude, donc si tu place la politique sur la science il va etre exclu, donc c'est naturel

                      l'algerie comme la france vie avec des ascaris qui peuvent se developpé en muscle en Tenia..qui sont dans leurs ventre..

                      comment éliminé ou du mons diminuer la croissance sans le tuer un vers un parasite c'est cela le probléme de toutes les civilisations...


                      je pense si les etats europeens dite de dominance de lois arrivent a soutenir l'etat algerien , l'algerie va du moins arreter la croissance
                      de ces parasites constitué en tribut..

                      attaque de la surfacturation interne et externe..comment le faire?? il ya surement des experts dans le domaine qui peuvent élaboré de tel systeme

                      reste la rente des moutons que l'etat a négligé son role depuis que les hydrocarbures ont remplacé cet rente, il faut se retourner contre cette rente dite en dinars ...cette rente est tombé entre les mains des parasites qui puisse dans les ressource naturel sans porter une prevalu ...si l'algerie se balance vers la volaille qui est contrôlable car stationnaire et non mobile, les parasites vont disparaitre
                      un éleveurs de moutons qui investie dans son milieu n'est pas un eleveur qui s'installe dans une ville a oRAN et qui ensuite avec la masse d'argent tirée de ce circuit va automatiquement s'installer en espagne plus proche et l'argent continuent a affluer
                      vers l'espagne maroc france via les villes frontiere terrestre ou maritime


                      Dernière modification par pack2000, 29 mars 2019, 20h14.

                      Commentaire


                      • #12
                        pour s'attaquer a la surfacturation il faut encourager les gens a acheter de l'etranger
                        les imprtateur qui importe de petit objet d'une petite valeur et d'un peit volume en contenaire l'achat par internet de l'etranger va diminuer la facture de l'importation. des fois il importe un conteneur et les produits seront invendus..je parle ici d'un importateur serieux qui essayent de fournir le marché algerien..

                        si on éllimine les petits objets a faible valeur et a faible volume, l'etat va mettre de coté de l'argent devise a fin de soutenir la grosse imporation en tonne

                        les matière premières y'a pas de surfacturation car le producteur privé commùe publqiue ne peu s'aventurer a surfacturer sa marchandise a l'etranger sinon le rpoduit de son produit produit localement sera tres chère par rapport a la concurence.. un Tenia peut creer une société fictive pour faire le transfert, mais il ne peut pas durer, il importe du sable a la place des matière premiere mais il le fera qu'une seul ou deux fois au maximum, c'est un Tenia qui agit vite maximum deux ahns, faire un pactole et s'enfuire donc c'est un ascaris qui n'arrive a se fixer sur les intertins
                        il sera vite entrainer les scelle et rejeter dans les toilette bien qu'il provoque de forte démangeaison a l'etat

                        Ce cas de l'achat de l'etranger n'est pas nouveau il etait applqiué deja en algerie avant les années 80 sous l'appelation du contre rembourssements
                        ce n'est pas une chose nouvelle a l'algerie.

                        lkes devises que certains prennet des banque sont en faite des devise du peuple qui a besoin de regler un petit achats de l'etranger dans le cas ou le produit n'est pas inporté car il n'est pas vendu..un commerçant n'achet que ce qui marche qui se consomme..c'est la ou les grossiste se placent et fond la guerre entre eux..car le produit est fortement demandé.

                        dire que la douane ne sait pas ce que demande les grossite c'est faux..
                        la douane sait ce qui est demandé sur le marché car il ya le tonnage..

                        si l'acide citrique et les bicarbonate par exemple sont en grosse quantité c'est que le marché non industriel est demandeur car la cuisine est considéré comme une petite entreprise pour 8 personnes..il ya les intrants

                        donc l'algerie doit considéré la cuisine comme entreprise, elle a besoin de matiere premiere brute comme les legumes et la farine et a besoin des produit transformé comme l'huile le beure et les epices le sucre les colorants les bicarbonate les gums les acides surtout encoragé l'acide malique au lieu de l'acide citrqiue qui sera interdit d'importation car il n'st pas compatible avec les dents ils forment des sels insoluble et attaque facilement les dents..l'acide malique est moins nocif il forment des sel solubles ...il faut encouragé par la TVA l'importation de l'acide malqiue au lieu de l'acide citrique, des que la demande en acide malique va augmenter automatiquement son prix va descendre sur le marché asiatique

                        Commentaire


                        • #13
                          L'Algérie a malheureusement toujours été un Etat mafieux dirigée d'une manière mafieuse et frauduleuse par les mafieux du clan Bouteflika et du cartel ANP/FLN.

                          Le chaos politique actuel en Algérie est la preuve ultime de cette terrible réalité de l'Algérie: Après 20 ans de pouvoir du mafieux crapuleux Bouteflika, l'Algérie se retrouve dans une situation d'incertitude totale avec un pouvoir en ruines et des mafieux du clan Bouteflika qui se comportent plus comme des rats qui fuient un navire en déroute pour protéger leurs intérêts financiers que comme de véritables hommes politiques.

                          Il y a seulement quelques semaines, ces rats mafieux du clan Bouteflika juraient que le zombie Bouteflika méritait un 5e mandat et qu'il était un prophète envoyé par Dieu pour sauver l'Algérie. Ces mêmes rats mafieux nous disent désormais que leur maître zombie Bouteflika n'est peut être pas apte à assumer ses fonctions présidentielles et ils ont même l'audace de nous parler de la constitution qu'ils violent à volonté depuis des décennies.

                          Le mafieux zombie Bouteflika est si crapuleux qu'il est incapable de quitter le pouvoir sans menacer la stabilité de l'Algérie et son avenir. S'il avait une once de patriotisme et d'intégrité, il aurait quitté le pouvoir dès 2009 par respect au peuple algérien et à la constitution (2 mandats). Ainsi, l'Algérie se serait habitué à l'alternance du pouvoir d'une manière sereine.

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