Les capacités de nuisance de la police politique en Algérie sont en train de dépasser toutes les lignes rouges, puisqu’elle s’en prend désormais aux forces armées.
Le Chef d’état-major et vice ministre de la défense, le général major Ahmed Gaid Salah commence à se rendre compte de l’ampleur des intrigues menées par la police politique avec une partie des oligarques. A deux reprises, le président du Conseil constitutionnel, Tayeb Belaiz, un fidèle parmi les fidèles du président Bouteflika et l’un des plus grands escrocs du régime, s’est joué de la tête de Gaid Salah et ce dernier ne l’oubliera jamais. C’est à dire que les heures de Belaiz sont comptées. Tout comme celles des autres factions. Reste la problématique dissolution de la redoutable police politique qui requiert l’usage de la force brute mais à une condition.
Pour Gaid Salah, il faut que les populations et les forces armées combattent par les armes comme un seul homme la pieuvre de la police politique, liquident les résidus du MALG (ex Ministère de l’Armement et des Liaisons Générales, ancêtre de la sécurité militaire ou SM, devenue DRS ou Direction du Renseignement et de la Sécurité). C’est la seule solution de se débarrasser des éléments « antinationaux », des manipulateurs et des saboteurs. Seul problème, certains chefs de l’Armée sont proches de la police politique et cette dernière est en train de noyauter et d’infiltrer la formidable contestation populaire Algérienne pour la manipuler et l’orienter selon ses intérêts.
Autre frein à cette entreprise de salubrité publique, l’hésitation du Chef de l’état-major à faire couler du sang dans une bataille ardue puisque l’ennemi se cachera au milieu de la population et optera pour l’action terroriste et la guérilla dans les maquis, où il lui sera facile de réactiver ses groupes terroristes.
Cependant, il faudra bien trouver un moyen de se débarrasser de la police politique. Le peuple Algérien ne s’est pas trompé de cible cette fois-ci puisque son principal slogan est « Qu’ils partent tous ! »
Pour des raisons historiques, l’Algérie a hérité de la France de la police politique. La France demeure l’un des rares pays occidentaux à avoir une police politique. Le peuple Algérien et son Armée régulière sont en train de mener une révolution inédite dans le monde.
L’Algérie saura t-elle se débarrasser de la police politique, immense handicap empêchant jusqu’ici son développement ?
C’est un défi aux enjeux bien plus profonds que ce que l’on pourrait croire.
strategica51
Le Chef d’état-major et vice ministre de la défense, le général major Ahmed Gaid Salah commence à se rendre compte de l’ampleur des intrigues menées par la police politique avec une partie des oligarques. A deux reprises, le président du Conseil constitutionnel, Tayeb Belaiz, un fidèle parmi les fidèles du président Bouteflika et l’un des plus grands escrocs du régime, s’est joué de la tête de Gaid Salah et ce dernier ne l’oubliera jamais. C’est à dire que les heures de Belaiz sont comptées. Tout comme celles des autres factions. Reste la problématique dissolution de la redoutable police politique qui requiert l’usage de la force brute mais à une condition.
Pour Gaid Salah, il faut que les populations et les forces armées combattent par les armes comme un seul homme la pieuvre de la police politique, liquident les résidus du MALG (ex Ministère de l’Armement et des Liaisons Générales, ancêtre de la sécurité militaire ou SM, devenue DRS ou Direction du Renseignement et de la Sécurité). C’est la seule solution de se débarrasser des éléments « antinationaux », des manipulateurs et des saboteurs. Seul problème, certains chefs de l’Armée sont proches de la police politique et cette dernière est en train de noyauter et d’infiltrer la formidable contestation populaire Algérienne pour la manipuler et l’orienter selon ses intérêts.
Autre frein à cette entreprise de salubrité publique, l’hésitation du Chef de l’état-major à faire couler du sang dans une bataille ardue puisque l’ennemi se cachera au milieu de la population et optera pour l’action terroriste et la guérilla dans les maquis, où il lui sera facile de réactiver ses groupes terroristes.
Cependant, il faudra bien trouver un moyen de se débarrasser de la police politique. Le peuple Algérien ne s’est pas trompé de cible cette fois-ci puisque son principal slogan est « Qu’ils partent tous ! »
Pour des raisons historiques, l’Algérie a hérité de la France de la police politique. La France demeure l’un des rares pays occidentaux à avoir une police politique. Le peuple Algérien et son Armée régulière sont en train de mener une révolution inédite dans le monde.
L’Algérie saura t-elle se débarrasser de la police politique, immense handicap empêchant jusqu’ici son développement ?
C’est un défi aux enjeux bien plus profonds que ce que l’on pourrait croire.
strategica51
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