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Les événements devraient s’accélérer cette semaine Démission imminente de Bouteflika

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  • Les événements devraient s’accélérer cette semaine Démission imminente de Bouteflika

    L’Algérie s’apprête à vivre une semaine décisive. A en croire une source sûre, Abdelaziz Bouteflika annoncera sa démission du poste de président de la République au courant de cette semaine à travers un autre message à la Nation, ce qui sera le signal qui déclenchera le processus de mise en application de l’article 102 de la Constitution par le Conseil constitutionnel qui statuera sur la vacance ce qui, de fait, enclenchera la mise en application de la feuille de route du pouvoir.
    Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Il s’agit, pour le pouvoir en effet, et comme le déclarait Gaïd Salah mardi dernier, « d’une solution qui s’inscrit exclusivement dans le cadre constitutionnel, qui constitue l’unique garantie pour la préservation d’une solution politique stable ».
    Cette annonce de démission devrait intervenir après une série de décisions importantes qu’annoncera également Bouteflika. A commencer par l’annonce d’un nouveau gouvernement. « Contrairement à ce qui se dit, la composante du nouveau gouvernement est fin prête et l’on attend juste le moment opportun pour l’annoncer », nous révèle notre source qui écarte, par ailleurs, toute éventualité de changement de l’actuel Premier ministre, Noureddine Bedoui. Aussi, l’application de l’article 102 de la Constitution mettra de facto comme intérimaire à Abdelaziz Bouteflika aux fonctions de président de la République l’actuel président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah.
    Très décrié par les gigantesques manifestations du vendredi, au même titre que Bedoui du reste, Bouteflika maintiendrait-il quand même Abdelkader Bensalah à la tête du Sénat et, donc, comme son futur
    intérimaire ? « Il y a un signe qui ne trompe pas. C’est Bensalah qui a été désigné pour le représenter au Sommet de la Ligue arabe qui se tient à Tunis. Ce choix n’est pas fortuit », nous explique-t-on de même source. Toutes ces décisions qui ne sont au demeurant que la stricte application de l’article 102 de la Constitution seront-elles acceptées par l’opinion qui s’est pourtant clairement et massivement exprimée sur ces questions vendredi dernier déjà ? Devant l’impasse politique sans précédent qui prévaut sur la scène nationale, notamment avec l’annulation pure et simple de l’élection présidentielle qui devait se tenir le 18 avril, d’un côté, et l’historique soulèvement populaire, anti-Bouteflika d’abord, et carrément contre l’ensemble du système, ensuite, le pouvoir tente, à travers ces nouvelles décisions, de limiter les dégâts, à défaut de renverser la vapeur.
    Ce qui reste certain, par contre, est le fait qu’en aucun cas, le pouvoir ne céderait à la revendication consistant en l’organisation d’une transition sans lui. L’institution militaire, qui a investi le débat politique à visage découvert, depuis mardi dernier, l’a clairement signifié en tout cas à travers la déclaration de son chef d’état-major, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah qui ne conçoit aucune autre solution à la crise, en dehors « du cadre exclusivement constitutionnel ». Ce qui équivaut une prise de position définitive de l’armée.
    K. A.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    la justice est carrement mise de coté pour laisser l'armée face a des violents
    ..ces gens veulent tirer l'armée pour installer la violence a la place du savoir des lois et des regles..

    normalement c'est la gendarmerie qui soutiend la justice et cette gendarmerie n'a jamais dit mot..

    c'est le FBI qui mene des enquetes contre la corruption la violence le trafique d'arme de drogue d'alcool..les violents en algerie comme en france comme partout dans le monde sont ici la drogue l'alcool la prostitution le vol les detournements etc..
    le role de l'armée n'est pas de s'occuper de ces groupe de bandits.. c'est le role des juges qui les traquent avec les service de securité confondu douane police gendarmerie...

    les service de securité doivent etre sous controle d'un grand juge.
    on focalise les projecteur sur bensalah mais on l'eteind sur le grand juge..

    la politique est une affire de partis politique c'est leurs rayon et aussi leur responsabilité en cas de crise..

    l'administration est aussi a son role et elle doit tenir a son role et formé son personnel

    tout le monde doit faire son travail..

    le principe du droit doit etre respecté y'a pas une poursuite sans depot de plainte...le politique n'a pas le droit de juger ce n'est pas son role ni sa specialité

    le president c'est donné une promesse d'organiser les elections presidentiel apres choura entre les partis politique a quoi ça sert ce bensalah ??
    Ce que va faire bensalah le president l'avait voulu le faire..

    la constitution doit etre amendé et dans l'amendement de la prochaine il faut integré un texte d'interdire un amendement. la constituion doit clairement enlever la justice des mains du president.
    soit le president fera que la politique soit le presdient fera un president de tous les algeriens, il ne peut etre partisant et juge a la fois..

    sur cette constituiton les partis politique n'ont pas le droit de proposer un canddat que si les autre partie aient de lui la ganrantie de quiter son partie d'origine..sinon il redeviend poupée entre les mains de son propre clan..

    l'amendement aura aussi une chapitre consacré au foncier algerien, car c'est le foncier qui provoque les crise a repétions en algerie, ce n'est pas les devise qui mle provoquent

    1..tout algerien née sur le sol algerien aura a sa naissance un lot de terrain de 120m² inscris et delimité dans sa S12..

    2.. TOUT ALGERIEN NéE SUR LE SOL ALGERIEN A DOIT A TERRAIN POUR PRODUIRE

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    • #3
      dans ces circonstance il n ya que deux personnes qui doivent parler

      la gendarmerie national
      et le représentant du président

      le premier parle a tout le monde et contre tout le monde

      le second parle aux partis politique et au peuple

      le gendarme ne peut pas parler ni aux peuple ni au partis politique. il a la lois sur son bureau.il ne vois personne il ne connait personne.. il lit une lois
      ce que dit dit une lois ou une regle il l'applqiue meme sur un animal domestique..ou sur une pierre

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      • #4
        pack2000 mais comment partager les terrains entre chaque algérien ? moi je veux un terrain face a la mer et pas a tindouf)

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