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Souvenirs De Mon Enfance "1"

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  • Souvenirs De Mon Enfance "1"

    Tout petit, ma tante FATMA,me raconta une histoire qui débuta(comme toutes ses histoires d'ailleurs) ainsi:
    Il y eut un seigneur (et nul seigneur sauf DIEU ) qui se nommait HANOU EL RACHID .
    Vaillant,loyal et juste .
    Ses sujets l'aimaient,le réspectaient,enfants et adultes.
    Il avait une fille unique, qui se nommait BADR EL BOUDOURE.
    Comme la lune,était son visage.
    Commeles rayons du soleil,étaient ses cheveux.
    D'une tres belle silhouètte.
    Gracieuse quand elle lève les yeux et quand elle baisse la tête
    TANTE, je répendis :
    -Tel un CHEVAL BLANC, elle est ?
    - OUI
    -ATHENA,est son nom ?.
    -Humm....
    -DANIELLA,...,DIANA,...ou CALAMITY ?
    -Peut ètre OUI , peut ètre NON !.
    -A première vue , elle vous parait indomptable et qu'il faut que tu l'en"CHUN"ne ou que tu la "LI"e.
    -Mai non mon ORIFARDI !. C'est une princesse c'est une belle "F..."mme c'est l'INNOCENCE !.
    on se doit de la réspecter, de l'aimer. Aie patience mon petit,aie !.
    Arrivée à l'age du mariage.
    Les princes de tout comté de tout coin, se bousculaient à sa porte venant demander sa main.
    A la grande surprise qui soit: aux invités, à la rèine qu'au roi.
    Chaque prince qui se présenta, notre princesse le refusa !.
    Sans trop y réfléchir,ses réponses étaient toutes prêtes.
    Si simples elles étaient.à mon goût trés bêtes.
    Père; celui-ci,ne me plait pas, car il est tros gros.
    Celui-là, est petit.
    Celui-ci, celui-là.je ne sais plus, je ne sais quoi!!!.
    Jusqu'au jour oû:
    Je ne sais d'oû,je ne sais quant-e.
    Un beau ORIFARDI ce présente.
    Prince d'un comté lointain.
    Il est ni gros ni fin .
    Mesurant un mêtre quatre vingt.

    Ni café ni lait,entre eux-deux il se met.

    Les yeux marron, le regard vif.
    Tel un lion ,il est;tel un aigle aux longs griffes.

    La silhouette bien droite; marchant ,la tête haute.
    ne se souciant ni de "FLEN" ni de ses hôtes.

    Fièr et digne, il est, depuis son tendre âge.

    D'une voix rauque, à l'air si doux.Il s'adressa à son illustre père.
    Les mots jaillissant de sa bouche, tel un colier de perles harmonieusement disposées.
    Telle une eau de source claire.

    Le roi,la reine, les hôtes étaient charmés.
    La jolie princesse elle, fit mine de ne pas l'entendre,tourna la tête pour ne pas le voir.
    PIRE. Elle s'éfforca de l'ignorer. En regardant celle-ci, en souriant à l'autre.

    RIEN A FAIRE:
    Ton coeur est harcelé, ton coeur est malmené.
    Ton coeur vibre au rythme du mien, quoi que tu fasses.
    Ton coeur tangue au creux de mes vagues, y fléchit à babord,y fléchit à tribord.
    Tu ne peux rien faire. Tu es ma prisonnière.
    Nul personne ne peut vous libérer. Nul idée, nul logique!.
    Même si ces trois derniers celiaient,même s'ils ne formaient qu'un seul hique.

    Avec un sursaut de je ne sais quoi.
    La jeune princesse se débata,le regardant fixement, lui réponda:

    Non, je ne veux pas t'épouser.
    Non, je ne veux pas de toi.
    Tous ceux qui se trouvaient là bas. Stupéfaits de cette réponse, criaient.
    Non ,mon DIEU non !!.
    Ces deux sont fait l'un pour l'autre .
    Ces deux n'en font qu'un.
    Ces deux sont....,non ,non, non .
    Le roi debout, bouche bée. La reine encore plus, la reine l'est.
    Le prince,bléssé dans le plus profond de son coeur .
    Ne trouva,... dire . Les mots les plus simples à formuler lui échappaient.
    Comme une nué de papillons et d'hirondelles dans un champ plein de FLEURS BLEUes et d'autres couleurs.
    Chassées soudainement par un vent violent.
    Le prince digne, comme il est entré, sort.
    Le printemps, comme il est venu, part.



    AMI et SIN
    ORIFARDI

  • #2
    Un beau ORIFARDI ce présente.
    Prince d'un comté lointain.
    Il est ni gros ni fin .
    Mesurant un mêtre quatre vingt.
    Ni café ni lait,entre eux-deux il se met.
    Les yeux marron, le regard vif.
    Tel un lion ,il est;tel un aigle aux longs griffes.
    La silhouette bien droite; marchant ,la tête haute.
    ne se souciant ni de "FLEN" ni de ses hôtes.
    Fièr et digne, il est, depuis son tendre âge.
    D'une voix rauque, à l'air si doux.Il s'adressa à son illustre père.
    Les mots jaillissant de sa bouche, tel un colier de perles harmonieusement disposées.
    Telle une eau de source claire.



    rien que ça!
    ben dis donc, tu dois en drainer des princesse avec un appat pareil!
    (t'as oublié de rajoutter modeste)

    nb: pas mal le texte

    Commentaire


    • #3
      Souvenirs De Mon Enfance "1"

      Tout petit, ma tante FATMA,me raconta une histoire qui débuta(comme toutes ses histoires d'ailleurs) ainsi:
      Il y eut un seigneur (et nul seigneur sauf DIEU ) qui se nommait HANOU EL RACHID .
      Vaillant,loyal et juste .
      Ses sujets l'aimaient,le réspectaient,enfants et adultes.
      Il avait une fille unique, qui se nommait BADR EL BOUDOURE.
      Comme la lune,était son visage.
      Commeles rayons du soleil,étaient ses cheveux.
      D'une tres belle silhouètte.
      Gracieuse quand elle lève les yeux et quand elle baisse la tête
      TANTE, je répendis :
      -Tel un CHEVAL BLANC, elle est ?
      - OUI
      -ATHENA,est son nom ?.
      -Humm....
      -DANIELLA,...,DIANA,...ou CALAMITY ?
      -Peut ètre OUI , peut ètre NON !.
      -A première vue , elle vous parait indomptable et qu'il faut que tu l'en"CHUN"ne ou que tu la "LI"e.
      -Mai non mon ORIFARDI !. C'est une princesse c'est une belle "F..."mme c'est l'INNOCENCE !.
      on se doit de la réspecter, de l'aimer. Aie patience mon petit,aie !.
      Arrivée à l'age du mariage.
      Les princes de tout comté de tout coin, se bousculaient à sa porte venant demander sa main.
      A la grande surprise qui soit: aux invités, à la rèine qu'au roi.
      Chaque prince qui se présenta, notre princesse le refusa !.
      Sans trop y réfléchir,ses réponses étaient toutes prêtes.
      Si simples elles étaient.à mon goût trés bêtes.
      Père; celui-ci,ne me plait pas, car il est tros gros.
      Celui-là, est petit.
      Celui-ci, celui-là.je ne sais plus, je ne sais quoi!!!.
      Jusqu'au jour oû:
      Je ne sais d'oû,je ne sais quant-e.
      Un beau ORIFARDI ce présente.
      Prince d'un comté lointain.
      Il est ni gros ni fin .
      Mesurant un mêtre quatre vingt.

      Ni café ni lait,entre eux-deux il se met.

      Les yeux marron, le regard vif.
      Tel un lion ,il est;tel un aigle aux longs griffes.

      La silhouette bien droite; marchant ,la tête haute.
      ne se souciant ni de "FLEN" ni de ses hôtes.

      Fièr et digne, il est, depuis son tendre âge.

      D'une voix rauque, à l'air si doux.Il s'adressa à son illustre père.
      Les mots jaillissant de sa bouche, tel un colier de perles harmonieusement disposées.
      Telle une eau de source claire.

      Le roi,la reine, les hôtes étaient charmés.
      La jolie princesse elle, fit mine de ne pas l'entendre,tourna la tête pour ne pas le voir.
      PIRE. Elle s'éfforca de l'ignorer. En regardant celle-ci, en souriant à l'autre.

      RIEN A FAIRE:
      Ton coeur est harcelé, ton coeur est malmené.
      Ton coeur vibre au rythme du mien, quoi que tu fasses.
      Ton coeur tangue au creux de mes vagues, y fléchit à babord,y fléchit à tribord.
      Tu ne peux rien faire. Tu es ma prisonnière.
      Nul personne ne peut vous libérer. Nul idée, nul logique!.
      Même si ces trois derniers celiaient,même s'ils ne formaient qu'un seul hique.

      Avec un sursaut de je ne sais quoi.
      La jeune princesse se débata,le regardant fixement, lui réponda:

      Non, je ne veux pas t'épouser.
      Non, je ne veux pas de toi.
      Tous ceux qui se trouvaient là bas. Stupéfaits de cette réponse, criaient.
      Non ,mon DIEU non !!.
      Ces deux sont fait l'un pour l'autre .
      Ces deux n'en font qu'un.
      Ces deux sont....,non ,non, non .
      Le roi debout, bouche bée. La reine encore plus, la reine l'est.
      Le prince,bléssé dans le plus profond de son coeur .
      Ne trouva,... dire . Les mots les plus simples à formuler lui échappaient.
      Comme une nué de papillons et d'hirondelles dans un champ plein de FLEURS BLEUes et d'autres couleurs.
      Chassées soudainement par un vent violent.
      Le prince digne, comme il est entré, sort.
      Le printemps, comme il est venu, part.



      AMI et SIN
      ORIFARDI

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      • #4
        Bonjour Orifardi,

        Il avait une fille unique, qui se nommait BADR EL BOUDOURE.
        Comme la lune,était son visage.
        Commeles rayons du soleil,étaient ses cheveux.
        D'une tres belle silhouètte.
        Gracieuse quand elle lève les yeux et quand elle baisse la tête
        TANTE, je répendis :
        -Tel un CHEVAL BLANC, elle est ?
        - OUI
        Que c'est gentil!!

        En plus avec CA

        RIEN A FAIRE:
        Ton coeur est harcelé, ton coeur est malmené.
        Ton coeur vibre au rythme du mien, quoi que tu fasses.
        Ton coeur tangue au creux de mes vagues, y fléchit à babord,y fléchit à tribord.
        Tu ne peux rien faire. Tu es ma prisonnière.
        Nul personne ne peut vous libérer. Nul idée, nul logique!.
        Même si ces trois derniers celiaient,même s'ils ne formaient qu'un seul hique.
        Moi je t'aurai bien épousé, qu'est ce qu'elle est bête cette princesse!!!

        Mais moi je ne suis pas une princesse et je ne suis plus libre

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        • #5
          j'ai rarement lue aussi beau et aussi doux c'est d'une telle harmonie j'ai était conquise par cette histoir n'ya t'il pas de suite ????

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          • #6

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            • #7
              Bonsoir,

              Très belle histoire orifardi,

              Où est la suite ?

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              • #8
                la suite en mp avec les princesses prétendantes je crois
                j'espère qu'on aura après cela un résumé aussi bien écrit

                PS : ils se marièrent, vécurent heureux, et eurent beaucoup d'enfants !

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                • #9
                  promesse tenue,promesse faite .
                  Me voici de retour.

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