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Réaction des USA et de la France après la démission du président Bouteflika

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  • Réaction des USA et de la France après la démission du président Bouteflika

    Les États-Unis et la France ont réagit mardi soir à la démission du président de la République Abdelaziz Bouteflika annoncée en début de soirée.

    Pour le ministre français des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a indiqué que "le Président Bouteflika a annoncé sa démission. C’est une page importante de l’histoire de l’Algérie qui se tourne. Le peuple algérien a montré ces dernières semaines, par une mobilisation continue, digne et pacifique, qu’il était déterminé à faire entendre sa voix. Nous sommes confiants dans la capacité de tous les Algériens à poursuivre cette transition démocratique dans ce même esprit de calme et de responsabilité".

    Pour sa part, le porte-parole de la diplomatie américaine, Robert Palladino a déclaré que la future transition en Algérie après la démission du président Abdelaziz Bouteflika doit être fixée par les Algériens eux-mêmes. “ Il revient aux Algériens de décider comment gérer cette transition en Algérie” a-t-il souligné une heure après l’annonce de la démission du président Abdelaziz Bouteflika.


    A1

  • #2
    Qu'ils aillent se faire voir.

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    • #3
      Absolument d'accord.. lol

      Seulement notons que la communauté internationale ne parle pas de coup d'état !
      Elle nous dit juste : démerdez-vous

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      • #4
        Ils ont raison, ça nous concerne uniquement et on on doit se débrouiller seul.

        L'influence de la France est extrêmement néfaste en Algerie, je prône la rupture diplomatique avec l'Élysée tant que la République Maçonnique Française sera en vigueur. Je serais prêt à dialoguer avec apaisement et même nouer des partenariats avec une véritable République française, mais pas avec cette Ripouxblique Maçonnique et Ploutocratique.

        La Ve République ne diffère pas de la IVe , de la IIIe ou du second empire sur la question algérienne, c'est toujours le même point de vu.

        Quant aux USA, ils sont beaucoup moins impliqués chez nous, mais je prône aussi avec eux une rupture diplomatique parce que quoi qu'ils arrivent ils nous voudront toujours du mal, et leur implantation militaire dans la région méditerannéeene et subsaharienne est une menace à notre encontre.

        Ce ne sont pas ces nations que je déteste, très loin de la , mais leur gouvernement hégémonistes.

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        • #5
          hum.. ça donne à réfléchir !

          Les prochains candidats à la présidence devront indiquer dans leur programme la politique internationale qu'ils comptent mener.. que nous sachions comment voter !!

          .. ça serait une première en Algerie !!


          Vivement les élections oeilfermé

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          • #6
            Ils ont raison, ça nous concerne uniquement et on on doit se débrouiller seul.


            C'est ce qu'ils disent en général, mais l’ingérence débutera lors de la campagne électorale, plus précisément au niveau du financement des partis....l'argent Emeratis , Qatari ou français coulera à flot...l’ingérence sera aussi médiatique, chaque puissance soutiendra son protégé..et tous les coups bas sont permis.

            .
            Dernière modification par sako, 03 avril 2019, 01h28.

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            • #7
              Ils ont vu que nous sommes un peuple mûr et responsable ,nous n'avons pas besoin de tutorat et nous le leur avons signifié lors de nos manifestations que nous repoussons leurs ingérences ..........
              Ils savent à quoi s'en tenir .......
              L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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              • #8
                Ils ont vu que nous sommes un peuple mûr et responsable
                Ca c’est pour le coté « Peace & love » de la révolte…

                Pour les manipulations , le petit peuple ne verra que du feu…

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                • #9
                  Nous sommes confiants dans la capacité de tous les Algériens à poursuivre cette transition démocratique dans ce même esprit de calme et de responsabilité".
                  so....

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                  • #10
                    Robert Palladino a déclaré que la future transition en Algérie après la démission du président Abdelaziz Bouteflika doit être fixée par les Algériens eux-mêmes. “ Il revient aux Algériens de décider comment gérer cette transition en Algérie”
                    l'avenir dépend de vousoeilfermé

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