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Algérie, Ahmed Gaïd Salah chercherait à constituer un conseil présidentiel

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  • Algérie, Ahmed Gaïd Salah chercherait à constituer un conseil présidentiel

    L’armée algérienne cherche un remplaçant à Abdelkader Bensalah, un proche de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika à qui il revient, à la tète du Conseil de la Nation, de présider aux destinées de l’Algérie durant la période actuelle de transition.
    A la veille de la mobilisation décisive du 5 avril où le peuple algérien fera savoir s’il accepte la main tendue du chef d’état major, l’entourage du général Gaïd Salah cherche des concessions symboliques à proposer à des manifestants tentés par un « dégagisme général ». Ne serait-ce que pour gagner du temps et éviter que les hauts gradés soient désignés comme des complices de l’ancien régime honni.
    Ahmed Gaïd Salah et les siens songent à écarter de ses fonctions Abdelkader Bensalah, l’actuel président du Conseil de la Nation et l’intime de l’ancien président Bouteflika à qui il revient constitutionnellement de gérer la transition actuelle. Les militaires préféreraient confier cette tache à un conseil présidentiel qui ferait appel à des personnalités moins marquées que Bensalah et à même de calmer la colère populaire.
    Des pourparlers discrets

    Une personnalité comme maitre Bouchechi, qui avait démissionné, voici un an, des ses fonctions de député du FFS (parti kabyle), pourrait jouer un rôle majeur dans les jours qui viennent. Membre de la Ligue des droits de l’homme, cet homme connu pour son indépendance et qui a de bons contacts auprès des grandes ONG, défendait toutes les parties prenantes, y compris les islamistes, durant la décennie noire.
    Des contacts ont été pris par l’Etat Major avec Ali Benflis, l’ancien Premier ministre de Bouteflika qui fut, durant l’élection présidentielle de 1994, le principal opposant du régime.
    Le niet de Ramtane Lamamra

    Des noms sont avancés. Ramtane Lamamra, l’ancien ministre des Affaires Etrangères de Bouteflika, aurait refusé de négocier une feuille de route avec le haut commandement militaire de l’ANP, croient savoir nos confrères d’Algérie Part.
    Nommé vice-premier ministre du nouveau Premier ministre, Nourredine Bedoui avant d’être démissionné quelques jours plus tard, sans doute pour rester en réserve de la République, ce diplomate brillant et courtois passe pour avoir le soutien des Français et la protection des Américains. D’où l’intérêt qu’il y aurait eu pour le patron de l’armée, qui se veut le pivot de la transition en cours, d’associer un Lamamra à la nouvelle architecture institutionnelle.


    Monde Afrique

  • #2

    Commentaire


    • #3
      khawa Khawa j'y ai cru moi
      j'espère que c'est une fake news

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