Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sonatrach: le complot Ould Kaddour-Ouyahia déjoué

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Sonatrach: le complot Ould Kaddour-Ouyahia déjoué

    Le projet de la création d’une Joint-Venture entre Sonatrach et le trader international Gunvor est finalement avorté par les autorités du pays. Plus encore, une enquête est en cours pour déterminer les responsables de ce complot visant à dilapider les richesses du pays.

    Ahmed Ouyahia, Abdelmoumene Ould Kaddour et Ahmed Mazighi sont les principaux responsables de la décision de partager la rente de Sonatrach avec un partenaire étranger.

    Tout a commencé par l’intervention d’un intermédiaire qui a suggéré à Ould Kaddour le projet de cette JV, qui allait être chargée de la commercialisation des produits pétroliers à l’international, chose que faisait Sonatrach seule depuis sa création en 1963.

    En fait, cette opération allait diminuer les revenus de Sonatrach et sauver la société Gunvor, qui souffre de difficultés financières énormes.

    Ainsi, les discussions entre Sonatrach et Gunvor portaient sur deux possibilités. Soit la création d’une JV soit le rachat par Sonatrach de parts sociales importantes dans la société. pour un éventuel partenariat dans le domaine du trading, voire même le rachat par Sonatrach de la société Gunvor.

    Dans les années 2000, Gunvor a réalisé ses performances grâce notamment aux privilèges qui lui étaient accordés par le gouvernement russe.

    Mais, dès l’application des sanctions américaines sur la Russie, Gunvor a été touchée de plein fouet dans son business. Et c’est alors que le trader a commencé à chercher un nouveau partenariat, en ciblant particulièrement un producteur étatique de pétrole

    Alors que ses revenus chutaient de manière drastique, Gunvor n’a pas pu développer un partenariat ou proposer un rachat partiel de son capital social. L’achat par Gunvor de la raffinerie de KPC (Roterdam) a porté un coup fatal à son bilan qui s’est avéré négatif en 2018 et ceci a écarté tous les candidats à un possible partenariat avec le trader.

    Les pressions exercées par les créanciers ont poussé Gunvor à abandonner certains investissements pour sauver sa solvabilité. Mais, pour le développement d’un éventuel partenariat, personne n’en voulait. Car, Gunvor a été surtout impliquée dans plusieurs affaires de corruption.

    Cette société est cité dans des affaires de corruption aussi bien en Chine qu’en Irak et en Cote d’Ivoire. Elle a été également cité dans la corruption du président du Congo et de son fils.

    Vient alors l’affaire de l’achat par Sonatrach de la raffinerie d’Augusta. Ould Kaddour et ses larbins de la presse ont vendu du vent aux algériens à travers une belle affaire à développer. Finalement, Sonatrach n’avait pas la maîtrise de la situation. Esso a décidé de prendre en charge la totalité des lubrifiants où la marge est énorme. L’essence et le gas-oil étaient bien entendu destinés au marché algérien. Augusta va ensuite avoir sur les bras des quantités énormes de Fuel et de Nafta, difficilement commercialisables dans un marché fermé aux géants de l’industrie du raffinage.

    Pris de panique -mais aussi sous pression d’un intermédiaire qui lui est proche- Ould Kaddour cède à la tentation du partenariat avec Gunvor, avec la condition de lui vendre d’autres quantité de pétrole brut.

    Il décide alors de saisir directement Ahmed Ouyhia en sa qualité de premier ministre. Sans hésitation aucune, Ouyahia donne son accord et demande à Ould Kaddour de formaliser l’opération au niveau du conseil d’administration de Sonatrach.

    Lors de la réunion du CA, seul Mustapha Hanifi a refusé de cautionner cette mascarade. Ould Kaddour avait donc la possibilité de soumettre le projet au Conseil des Participations de l’Etat (CPE), présidé par Ahmed Ouyahia.


    C’est finalement, le Hirak du peuple qui va sauver Sonatrach des griffes de Ould Kaddour et Ouyahia. Ce dernier est contraint à la démission et tout le projet tombe à l’eau puisque le CPE ne va pas se réunir pour étudier la question.

    Comme à chaque fois, Ould Kaddour nous sort son chien parisien pour faire croire que Sonatrach a abandonné l’idée du partenariat avec Gunvor.

    Mais, cette affaire fait actuellement l’objet d’une enquête poussée qui risque de porter Ouyahia, Ould Kaddour et Mazighi à la chaise électrique.

    5 avril 2019
    E-bourse-dz
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Enlever aux généraux leur tente en faisant du trading dans les règles de l'art internationales, par des compétences internationales sous le contrôle de la Sonatrach, avait de quoi énerver nos rentiers en effet...

    Ould Kaddour avec ses initiatives internationales vont morfler, car les appétits des vautours vont être voraces...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      la regle deja connu depuis des millenaire
      il faut choisir la moralité avant de miser sur l'argent
      la moralité actuelemnt dans ce monde de koufar
      c'est plus ou moins frequenter les grand groupe qui ont une
      tres ancienne presence, car pour maintenir une société sur le long terme ce n'est facile
      il faut des gens a l'interieur basé sur un code stricte deonthologique
      ce sont ces codes qui maintiennet la stabilité et la pernénité d'une société comme coca cola, pesi cola, walmart ,volswagen, philips,
      il ya de la rigueur a l'interieur personne ne bouge...

      mais les autres ce ne sont que lié a l'oportunité, l'investissement se fait pour une courte durée, vite il se crée vite il disparait car la société a été crée tradivement par son creéateur si il a l'age de 50 en majorité, a l'age de 70 ans il va se retirer..il ne peut pas introduire un mecanisme dans sa société pour la laisser aux heritiers qui vont vendre et acheté par un nouveau qui a 50 ans...qui va surement changer d'activité

      Commentaire

      Chargement...
      X