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Un groupe d’une trentaine de délinquants fraichement libérés de prison ont été hébergés au Centre Militaire d'Éducation

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  • Un groupe d’une trentaine de délinquants fraichement libérés de prison ont été hébergés au Centre Militaire d'Éducation

    et Sportif (Cmeps) de Beni-Messous. Ils venaient de bénéficier d’une remise de peine. Des militants du FLN avaient été dépêchés dans le but de les encadrer et de les former en un temps record à la manipulation des masses en mouvement. L’objectif : chahuter, voire objecter, pendant les marches du Hirak les personnalités de l’opposition là où elles se trouvent, plus précisément, Saïd Sadi et Mokrane Ait Larbi. Le sens caché: discréditer toute personnalité capable de faire de l’ombre aux pantins que le clan militaire puissant du moment prépare au pouvoir d’avance simulé.
    Nul n’est de taille à amputer Saîd Sadi et Mokrane Aït Larbi et plus encore Ferhat Mehenni, de l’indéniable honneur qui leur revient, celui d’avoir été, pendant les années Boumediene et Chadli, l’étendard des hautes vertus des droits de l’homme, du combat identitaire et démocratique. Il se trouve dans les réseaux sociaux des idiots utiles, auto-missionnés, qui épaulent, alimentent et étendent le manuel du piège tendu aux manifestants. Par-dessus les laconiques méprises de leur raison, ces imbéciles d'industrie se font bretelles de soutien d’un système qui ne cherche qu’à perdurer avec de nouvelles têtes d’affiches. On produit aux algériens de nouveaux héros stupidement arrêtés ou bigrement médiatisés et en même temps, tout se fait pour médire des authentiques opposants. Le Hirak est aujourd’hui une autorité abstraite, il ne doit pas finir injuste avec remords.
    Djaffar Ben.

    les photos des voyous sont sur facebook
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2


    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Ils sont facilement reconnaissables quand ils prennent du "captagon" du psychotrope. Les manifestants les repèrent de loin et les chassent.
      Dernière modification par panshir, 07 avril 2019, 18h45.

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      • #4
        Le système anticipe et lancera ses "chmakrias" ou "chamkaras" au moment venu pour intimider les manifestants et semer le désordre voire commettre des actes criminels pour les amputer aux militants et les mettre au prison.

        Pour l'instant, le régime ne se sent pas menacé et observe de loin.

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        • #5
          c'est tellement bas que j'ai du mal à y croire !

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          • #6
            Nos jeunes ont compris d'où vient ce danger. Il faudra les arrêter sans faire couler de sang et les remettre à la police.

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            • #7
              http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=439290
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Peggy

                Tu fais bien car c'est fake news, la plupart ont été identifiés grâce aux réseaux sociaux . Des petites crapules à qui n'importe qui peut glisser un billet pour agresser ou insulter...
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Zwina, des petites crapules oui, mais au service de qui ?!

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                  • #10
                    Peggy

                    Il y a tellement d'intérêts en jeu en Algérie que ça peut être n'importe quel oligarque ou investisseur ...

                    Chose sure c'est qu'ils ne sortaient pas de prison puisque les réseaux sociaux ont permis l'identification et leur localisation :



                    Dernière modification par zwina, 07 avril 2019, 19h15.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                    Commentaire


                    • #11
                      ça craint !

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                      • #12
                        Nul n’est de taille à amputer Saîd Sadi et Mokrane Aït Larbi et plus encore Ferhat Mehenni, de l’indéniable honneur qui leur revient
                        L'auteur n'aurait pas dû ajouter Ferhat dans la liste, l'article perd toute crédibilité.

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