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REPRESSION à ALGER
"Wahed ma yeslah, nous sommes des étudiants pas des terroristes" clament les étudiants réprimés
Comme à leur habitude, plusieurs centaines d'étudiants universitaires ont manifesté pacifiquement ce mardi 9 avril, au niveau de la Grande Poste à Alger, en revanche aujourd'hui les brigades anti-émeutes ont répliqué violemment.
Comme chaque mardi depuis le 22 février, la parole fut donnée aux étudiants universitaires qui ont revendiqué leur point de vue politique mais aussi pour réclamer le départ de triple « B ». Ils ont également, refusé de rejoindre leurs amphis sous l’égide du nouveau ministre qui relève, selon les contestataires, du clan présidentiel.
Le comportement des services de sécurité, était cette fois-ci, indigne et au même temps scandaleux, car devant la Selmiya, de nos futures élites, les éléments anti-émeute ont sorti leurs griffes en utilisant les gaz lacrymogènes et les canons à eau, suivis de quelques arrestations violentes. Ce qui a d’ailleurs, provoqué la colère des manifestants qui ont tenté par la suite de franchir les cordons de sécurité pour exporter leur mécontentement devant le palais du gouvernement, mais face a un impressionnant dispositif de sécurité qui a été déployé sur place, la manœuvre était trop délicate voire même impossible.
En tenant tête tout au long de la journée contre les actes de répression, les étudiants assez déterminé pour imposer la voix du peuple, se sont donné la promesse de riposter par une marche millionnaire.
lematindalgerie.
"Wahed ma yeslah, nous sommes des étudiants pas des terroristes" clament les étudiants réprimés
Comme à leur habitude, plusieurs centaines d'étudiants universitaires ont manifesté pacifiquement ce mardi 9 avril, au niveau de la Grande Poste à Alger, en revanche aujourd'hui les brigades anti-émeutes ont répliqué violemment.
Comme chaque mardi depuis le 22 février, la parole fut donnée aux étudiants universitaires qui ont revendiqué leur point de vue politique mais aussi pour réclamer le départ de triple « B ». Ils ont également, refusé de rejoindre leurs amphis sous l’égide du nouveau ministre qui relève, selon les contestataires, du clan présidentiel.
Le comportement des services de sécurité, était cette fois-ci, indigne et au même temps scandaleux, car devant la Selmiya, de nos futures élites, les éléments anti-émeute ont sorti leurs griffes en utilisant les gaz lacrymogènes et les canons à eau, suivis de quelques arrestations violentes. Ce qui a d’ailleurs, provoqué la colère des manifestants qui ont tenté par la suite de franchir les cordons de sécurité pour exporter leur mécontentement devant le palais du gouvernement, mais face a un impressionnant dispositif de sécurité qui a été déployé sur place, la manœuvre était trop délicate voire même impossible.
En tenant tête tout au long de la journée contre les actes de répression, les étudiants assez déterminé pour imposer la voix du peuple, se sont donné la promesse de riposter par une marche millionnaire.
lematindalgerie.