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Gouvernement Bedoui : le neveu de Belaiz pour contrôler les médias...

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  • Gouvernement Bedoui : le neveu de Belaiz pour contrôler les médias...

    Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement s’est rendu, hier à Alger, au siège de l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep), qui gère la publicité publique.

    S’exprimant, en marge de cette sortie, Hassane Rabehi a déclaré que «le gouvernement, en vertu des principes démocratiques, demeure soucieux de préserver la liberté d’expression et d’opinion», et appelé, à cette occasion, les médias à «veiller à l’intérêt suprême de la nation», selon des propos rapportés par l’agence officielle. Comprendre : ne pas critiquer le pouvoir en place.

    Le ministre a tenté d’amadouer les médias. Il a promis une « meilleure » transparence dans la distribution de la publicité publique que le pouvoir utilise pour enrichir sa clientèle et faire pression sur les médias.

    « Je viens de donner des instructions fermes à destination des responsables de l’Anep, pour exécuter cette décision gouvernementale et constituer une commission consultative composée de compétences qui s’attellera à s’entretenir avec l’ensemble des partenaires », a ajouté M. Rabehi, indiquant que son département s’attelle à mettre en place un conseil d’éthique et de déontologie de la corporation.

    Ces propos auraient pu être crédibles si le nouveau ministre n’était pas le neveu de Tayeb Belaiz, président contesté du Conseil constitutionnel qui fait partie des 3B dont le peuple exige le départ. Hassane Rabehi a notamment été secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et ambassadeur à Pékin.
    TSA
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Parfois c'est à se demander comment certains réfléchissent. Croyaient-ils que personne ne s'apercevrait qu'il est le neveu de Belaiz ? L'éthique et la déontologie régissant les médias commencent par un ministre en parfaite adéquation avec les discours des officiels soucieux de participer à un véritable changement des méthodes ...
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      On veut diviser le peuple sur des considérations régionalistes et tribales... une veille technique des pouvoirs autoritaires...

      Dans le régime Bouteflika, on épargne ceux qui sont issus d'une région et on attaque ceux d'une autre...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Ott

        Cela s'appelle plutôt donner le bâton pour se faire taper sur la tête en plus du ridicule de la situation puisque Belaiz fait parti des cibles des manifestants. Soit ils veulent apaiser la colère et ils rectifient très vite, soit ils jouent avec le feu et ils envoient un très mauvais signe ...
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          Non, le peuple veut des têtes, on lui offre des têtes de turques pour cacher les vraies têtes pensantes de ce régime, le pouvoir de l'ombre...

          Le comble c'est que les instruments de ce pouvoir de l'ombre attendent des instructions et ne s'en cachent même pas, au nom de la demokhrotie...

          A ce jeu de dupes, à force de faire sauter des fusibles, c'est tout le circuit électrique qui va sauter...

          Il est temps de passer à une transition, une nouvelle constitution sous l'autorité d'un directoire présidentiel qui garantit le processus et la continuité de l'état...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            bonjour

            el3issaba est toujours au pouvoir et compte y rester.


            Aujourd'hui, les algériens sont devant un fait accompli. L'armée est incapable aujourd'hui de souffler mot étant donné que Bensalah est apte et qu'il n'y a aucun doute la dessus. Pour l'armée la souveraineté du peuple s'exerce par l'élection comme mentionné dans la constitution.

            La match est exclusivement entre le peuple et la 3issaba jusqu'à son départ.

            Bensalah n'est pas habilité à engager une quelconque transition politique en dehors des normes constitutionnelles. C'est là le fait accompli, il n'y a pas d'issues autres que la voie constitutionnelle actuellement.

            Le peuple refuse que ces usurpateurs et imposteurs organisent ou mènent la les affaires du pays. Autrement, le peuple est dans son droit de déloger la 3issaba par la mobilisation massive et pacifique, empêcher toutes les activités de cette 3issaba. Imposer la passation de pouvoir aux représentants du peuple.

            Le peuple doit envoyer aux parlementaires et sénateurs (ceux élus) un message clair: démissionnez, le peuple vous a déchu de votre légitimité, vous être les responsables de cette prise d'otage.
            Rebbi yerrahmek ya djamel.
            "Tu es, donc je suis"
            Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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            • #7
              @Gandhi

              C'est l'armée qui a imposé la solution de l'article 102, avant de se raviser et y adjoindre le 7 ou le 8, qui n'ont rien de contraignants juridiquement. C'est donc à l'armée qui a fait démissionné un président qui avait proposé une autre feuille de route rejetée par le peuple de ne pas s'opposer à la transition demandée par le peuple...
              Dernière modification par ott, 10 avril 2019, 09h43.
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                ott

                Je doute vraiment que l'armée puisse mettre son nez dans le conflit aujourd'hui qui oppose le peuple et la bandia.

                En vérité, gaid salah et ses conseillés ne voudront pas s'aventurer en dehors de quelques rappels vis à vis du respect des principes constitutionnelles généraux et de la volonté populaire. En effet, si d'aventure il se décide à agir lui et ses conseillés, ils ouvrent une brèche qui risque de ne pas se refermer et qui risque de déchirer l'institution. Les dirigeants militaires ont donc intérêt à ne pas agir et intervenir politiquement.

                Sortir de son cadre est une aventure très dangereuse.
                Rebbi yerrahmek ya djamel.
                "Tu es, donc je suis"
                Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                • #9
                  Le juridisme du commandement de l'armée est anachronique et n'a aucun sens quand la constitution fortement présidentielle, imposée en 2016 par Tliba, un affidés de Sissi l'impératrice, quand on voit comment ils ont agit pour liquider des generaux cet été par coup de téléphone, comment ils ont imposé le cinquième mandat, et comment ils ont obligé un président et son entourage à démissionner, juste pour sauver la tête de cette armée visée par le dernier message présidentiel. Le comble, c'est qu'au nom de ce juridisme, ils ont commis un acte illégal, celui d'ordonner une démission d'un président, et celle d'un chef des services...

                  Cette armée est de fait en train de gérer la transition dans l'ombre, comme elle a voulu toujours le faire, et nous impose comme autre fusible des figures de l'ancien régime...

                  On appelle ça prendre les gens pour des imbecils...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    Le juridisme du commandement de l'armée est anachronique et n'a aucun sens quand la constitution fortement présidentielle, imposée en 2016 par Tliba, un affidés de Sissi l'impératrice,
                    La comparaison du potentat d’Égypte à l’Impératrice des Habsbourg SISSI adulée par le peuple Austro-hongrois est des plus déplacée ! ...

                    Commentaire


                    • #11
                      Les caprices le sont tout à fait...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        Les caprices le sont tout à fait...
                        Qu'elles caprices ?...Violenter l'histoire n'est autre qu' un parjure ! ...

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                        • #13
                          quand la constitution fortement présidentielle, imposée en 2016 par Tliba, un affidés de Sissi l'impératrice, quand on voit comment ils ont agit pour liquider des generaux cet été par coup de téléphone, comment ils ont imposé le cinquième mandat
                          Je doute que Gaid et ses conseillés ait pu faire tout seuls des changements sans avoir été validés par le clan présidentiel. En vérité, rien ne se fait sans l'aval du clan BOuteflika et j'irai même jusqu'à dire qu'ils sont la source de ces décisions avalisées par Gaid et ses conseillés pour garantir son soutient.


                          Il faut je pense arrêter avec cette idée anachronique, qui était sans doute valide un moment, qui dit que l'armée est omnipotente et a tous les pouvoirs et prend les décisions de manière autonome.


                          et comment ils ont obligé un président et son entourage à démissionner, juste pour sauver la tête de cette armée visée par le dernier message présidentiel. Le comble, c'est qu'au nom de ce juridisme, ils ont commis un acte illégal, celui d'ordonner une démission d'un président, et celle d'un chef des services...
                          Cette lutte était imprévisible, elle a été précipitée par la mobilisation populaire dont le message était claire, et ce n'est pas gaid qui l'a inspiré, Bouteflika et sa clique dégage.


                          Bouteflika, son clan et la néo-mafia oligarchique ont tenté de couper sans doute la tête de gaid pour prolonger contre vents et marées (le peuple) leur règnes. Gaid tombé, le clan boutef la néo-mafia oligarchique aurait tous les leviers du pouvoir, et aurait fini par réprimer le peuple pour persister au pouvoir avec la violence comme l'a fait Béchar le boucher de Damas.


                          Cette armée est de fait en train de gérer la transition dans l'ombre, comme elle a voulu toujours le faire, et nous impose comme autre fusible des figures de l'ancien régime...
                          Elle peut tenter, elle n'a pas les moyens, ses bras civils (noyau FLN/RDN) est complétement discrédité.
                          Le peuple s'est autonomisé, l'armée ou ses dirigeants qui pourraient tenter des manœuvres vont perdre à tous les coups. Ils n'en ont pas les bras et les capacités. Ils n'ont aucun instrument de légitimité.


                          Ce ne sont plus les algériens des années 80 ou 90, c'est terminé.


                          Les idées d'addi lhouari sont périmées sérieusement
                          Dernière modification par Gandhi, 10 avril 2019, 10h28.
                          Rebbi yerrahmek ya djamel.
                          "Tu es, donc je suis"
                          Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

                          Commentaire


                          • #14
                            C'est intéressant qu'on parle d'une institution quand il s'agit d'une armée, ce qu'elle n'est d'ailleurs pas, et de clan quand il s'agit de l'institution présidentielle...

                            Si cette institution a été dévouée de son rôle constitutionnel, par d'abord une constitution dictatoriale, puis par des forces extra-constitutionnelles, le moindre que l'ont puisse dire, c'est qu'elle le fut par la complicité active de Sissi l'impératrice. Je dirais mieux, lors de la réunion du commandement de l'armée en juin 2013, pour faire appliquer l'article 88, Sissi l'impératrice fut le seul à s'y opposer et à voler au Val de Grace pour s'afficher avec un président en convalescence...

                            Le moindre que l'on puisse dire, est que "le clan" a agit avec le soutien actif de Sissi l'impératrice...

                            Ensuite, quand il a fallu renouveler le sénat en janvier 2019, l'opération a pris 2 semaines de plus par rapport aux délais constitutionnels. Tu vas nous expliquer que le clan n'était pas d'accord avec lui-même sur le renouvellement notamment du président du sénat... malheureusement pour nous, c'était le présage de ce qui allait se dérouler sous nos yeux comme outrance à ce pays, un président inapte qu'on a forcé de se présenter par procuration, et une démission sous la menace de Sissi l'impératrice qui a négocié avec le patron de la garde républicaine le départ de Bouteflika, comme le rapporte les médias...

                            A ceux qui nous ont fourrés dans cet imbroglio juridique d'accepter des solutions politiques pour une période de transition sans les 4B et Sissi l'impératrice, et pour en priorité une nouvelle constitution...
                            Dernière modification par ott, 10 avril 2019, 10h52.
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              C" est l'armée qui tire les ficelles .Une dictature militaire qui se dissimule derrière des hommes de paille khobzistes et dociles
                              L'armée a toujours fait de la politique et agit directement au niveau les plus bas par le biais des services de la police politique.
                              On est dirigé par EM .Tout se décide par les têtes pensantes de cette structure.

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