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Mohamed Benchicou : La défaite du fouet

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  • Mohamed Benchicou : La défaite du fouet

    Texte integral...

    La défaite du fouet
    Mohamed Benchicou

    Un monde ancien s'écroule sous nos yeux et nous en mesurons en Algérie, avec les échecs de Bouteflika, les amères désillusions : la mort d'un chimérique traité d'amitié avec la France, rêve à jamais emporté par Chirac dans sa retraite ; la cuisante défaite diplomatique sur le dossier du Sahara Occidental; l'incroyable aggravation du malaise social et du chômage qui frappe les jeunes ; la montée de la pauvreté; les ravages de la corruption sur l'économie nationale ; la dramatique persistance du terrorisme ; la déculturation... Oui ces faillites algériennes, et bien d'autres, sont d'abord celles d'un monde ancien qui fait naufrage, un monde moribond qui a le visage, fatigué, de Bouteflika et le corps, usé, du système grabataire qui nous gouverne depuis un demi-siècle. Ce sont les déroutes d'une vieille façon de voir le monde, le désastre d'une conduite autoritaire et fermée des affaires de la nation. La défaite du despotisme. La défaite du fouet. La rançon, très coûteuse, de l'illégitimité autant que celle de l'impopularité. Le résultat du fossé qui s'est élargi entre un peuple et ses gouvernants.

    Le fiasco d'un régime qui ne se nourrit plus de la vitalité de sa société, de son génie, de sa force et de ses espoirs. Le régime de Bouteflika c'est, hélas pour nous, tout cela. Et rien que cela. L'homme croyait pouvoir encore faire de la “diplomatie à l'ancienne”, se suffire de sa ruse et de la qualité de ses connivences. Les derniers revers diplomatiques viennent lui rappeler deux leçons de ce nouveau siècle : d'une part que ce sont les opinions qui, de plus en plus, dictent les grandes décisions aux pouvoirs; d'autre part qu'un régime n'est écouté que s'il est fort de l'aval de sa propre société. Or, quelle image renvoie aujourd'hui l'Algérie de Bouteflika ? L'image vieillie et détestable d'un régime ankylosé, corrompu, autoritaire, qui manie le gourdin contre ses opposants et ses journalistes, détaché de son peuple. Isolé sur son perchoir. Et c'est ce régime impopulaire et aussi asséché qu'une salamandre de décoration, qui espérait arracher une repentance de l'Etat français ? Il n'y avait que la flagornerie de Jacques Chirac pour laisser croire à Abdelaziz Bouteflika qu'il était un second Adenauer et à l'Algérie qu'elle avait le charme de l'Allemagne post-hitlérienne. Il n'y avait que lui pour donner l'illusion aux dictateurs d'Afrique qu'ils avaient encore du crédit aux yeux des Français.

    Le chef d'état français est d'ailleurs considéré, dans son genre, comme un symbole du monde ancien si on en juge par les articles très sévères de la presse occidentale, représentative de la nouvelle opinion européenne, au lendemain de son message télévisé. Un “champion du contrôle étatique dans les années 1970”, selon le Guardian, “Caméléon Bonaparte”, selon la BBC, “un piètre stratège mais excellent démagogue, père assassin de toute une génération d'hommes politiques de talent, qu'il a étouffés les uns après les autres”, selon le quotidien belge Le Soir. Si Chirac est ainsi vu par les observateurs européens, qu'en est-il alors de Bouteflika ? Le président algérien a cru pouvoir négocier habilement avec les vieilles recettes de Talleyrand. Le monde ne l'écoutait déjà plus. Avec le départ de Chirac s'enterre le rêve de la repentance et se noie le projet utopique de traité d'amitié. Cruelle défaite du despotisme algérien : aucun des trois successeurs potentiels de Chirac, de Sarkozy à Royal en passant par Bayrou, n'est favorable à l'idée de repentance ni ne partage la perspective d'un traité d'amitié algéro-français. Ils tiennent, tous les trois, un discours nouveau émancipé des connivences chiraquiennes et conforme aux tendances des générations d'aujourd'hui, un discours qu'il faut savoir décrypter et utiliser au mieux des intérêts algériens et de la réhabilitation de notre mémoire. Ce discours d'une nouvelle génération, le régime algérien, déphasé, ne le comprend pas mais le roi Mohammed VI, lui, a su habilement le capter pour l'utiliser à son tour, se faire écouter, améliorer l'image du Maroc et retourner à son avantage la situation diplomatique sur le Sahara Occidental.

    Le ralliement de l'Espagne aux thèses marocaines est à ce point un échec consommé pour Abdelaziz Bouteflika que le président algérien en fut réduit à ne pas aborder, mardi dernier, la question du Sahara Occidental avec le roi d’Espagne, Juan Carlos, en visite à Alger. On ne peut mieux avaler son chapeau ! Je ne partage pas l'analyse de mon ami Abdelaziz Rehabi : il n'y a pas forcément, dans cette affaire, “une stratégie visant à isoler l’Algérie”. Le régime algérien s'est aussi isolé de ses propres mains, par son autisme, son immobilisme, son obsolescence, son autoritarisme d'un autre âge et, surtout, par sa vulnérabilité, celle d'un pouvoir quasi illégitime qui ne semble guère soutenu par sa propre population. Comment, dans le monde d'aujourd'hui, un régime tyrannique et oppresseur peut-il prétendre défendre avec succès une cause de décolonisation ? Nous ne sommes plus dans la diplomatie de Boumediene. Un monde ancien s'est écroulé. Et dans le nouveau monde, le Maroc de Mohammed VI, plus ouvert, plus dynamique, plus moderne, peut-être même plus démocratique, marque des points.

    Si le gouvernement de Zapatero défend avec succès la thèse marocaine auprès de ses pairs européens, c'est parce qu'il plaide la stabilité d'un Maroc familier aux générations d'aujourd'hui, c'est-à-dire d'un pays plus présent, plus moderne, plus prometteur, plus “lisible” sur le plan démocratique par les opinions occidentales. Il faut quand même reconnaître que dans un Maghreb où même la Mauritanie en vient à s'offrir de vraies élections présidentielles, avec un vrai second tour, que dans ce Maghreb-là, l'Algérie jure par son archaïsme. On ne remerciera jamais assez Ben Ali et Kadhafi d'atténuer pour nous les inattendus effets du contraste. Or, tout est là : aucun succès diplomatique ne peut, désormais, se bâtir sur les insuccès nationaux. Dans l'arène internationale, un pays n'est respecté que pour son aptitude à y donner l'image d'une nation et pas seulement d'un Etat, aussi indiscutables que soient ses allures régaliennes. L'image d'une entité cohérente, harmonieuse, soudée, forte de la cohésion entre un pouvoir et une société liés par un pacte de prospérité et de respect des libertés. On en est loin. Pour les plus indulgents de nos amis, l'Algérie de Bouteflika passe désormais pour le pays de l'immobilisme éclairé. Si le Nobel récompensait l'inaction, notre président y serait l'imbattable favori. Car qu'est-ce que le bilan du président sinon, au mieux, celui de huit années d'inaction ? Le régime n'y a su offrir ni la prospérité ni encore moins les libertés. Deux rapports publiés en ce mois de mars, l'un algérien l'autre américain, viennent illustrer l'ampleur de la faillite du régime. Le premier est une enquête – quel bonheur de savoir que des Algériens font encore de la recherche ! – menée par des sociologues et des psychologues du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD).

    Elle indique que, dans l'Algérie de 2007, la première cause du stress est liée à la persistance du chômage que le régime n'a su ni éradiquer ni amoindrir. Nos millions de compatriotes privés de travail, donc de moyens d’existence, vivent, selon cette étude, le chômage comme “une source de troubles importants”, comme un “sentiment d’impuissance et d’affaiblissement”. Le second rapport est une étude du département d’Etat américain, publiée ce mois-ci à Washington, et qui montre qu'il existe un gouffre entre les textes généreux de Bouteflika et la réalité vécue par la population. Il confirme d'abord que la corruption continue de sévir gravement en Algérie, “en dépit des textes de loi mis en œuvre”. Le rapport US cite, pêle-mêle, le cas de Ahmed Bourricha l’ex-wali de Blida, poursuivi par le tribunal criminel pour détournement de deniers publics et celui de l’exwali d’El Tarf. le recours abusif au gré à gré, le manque de transparence du pouvoir exécutif et met en exergue le fait que 80% des ministres n’ont pas fait leur déclaration du patrimoine. Le rapport est accablant pour la justice algérienne. “Bien que la Constitution protège l’indépendance de la justice, ce principe est bafoué sur le terrain”, note le document du département d’Etat. Il révèle des chiffres peu flatteurs : 60 magistrats ont été radiés pour corruption, 12 ont comparu devant le Haut-Conseil de la magistrature et 23 ont été rétrogradés pour “abus de pouvoir”.

    Bâtir un autre regard

    Le plus fâcheux dans l'histoire c'est qu'avec de tels déboires internes le pouvoir escompte non seulement décrocher des triomphes internationaux mais aussi s'éterniser sur le trône. Que faire ? C'est la question angoissée de nombreux lecteurs convaincus de la réalité du naufrage et qui s'alarment de ce qu'aucune bouée ne se profile à l'horizon. Il n'y en a, en effet, aucune ici, dans le compagnonnage, passif ou actif, avec un régime autoritaire, dépassé et sinistré, et qui se regarde mourir au milieu de ses vieilles vanités, dans le monde ancien. Il y en a une, en revanche, là-bas, qui nous attend dans le monde nouveau que l'on hésite encore à conquérir. Il nous suffit d'avoir le courage des choix difficiles et la patience de les féconder. Il nous suffit de formuler une politique nouvelle, émancipée, à l'écoute du monde nouveau, et de nous en tenir. C'est la mission de ceux qui, parmi l'opposition, ont entrepris de bâtir une autre Algérie. En sont-ils vraiment convaincus ? Voilà qui nous amène aux questions qui fâchent et d'abord celle laissée en suspens la semaine dernière : faut-il participer aux élections qu'organise le pouvoir pour s'éterniser sur le trône ? Je constate d'abord qu'après un demi-siècle de votes truqués, poser la question est déjà une insulte au bon sens. Et c'est ce qu'il y a de nouveau et de frappant dans l'Algérie de 2007 : la société, qui ne manque pas de bon sens, semble en avance sur l'opposition qui est pourtant censée parler en son nom.

    La société sait que les législatives du 17 mai prochain seront falsifiées tout comme l'ont été les consultations électorales qui les ont précédées ; la société sait que les élections servent à donner aux régimes totalitaires la respectabilité que leur interdisent leurs bilans. C'est pourquoi la société n'ira pas voter. Le plus spectaculaire est que ces vérités sont tellement incontestables qu'elles sont partagées par ceux qui, parmi nos opposants, se préparent à faire partie de la mascarade. Louisa Hanoune et Saïd Sadi disent s'attendre à la fraude mais avouent ne pas résister à la tentation de la parodie ! Quel terrible déclin...

    (suite...)

  • #2
    suite..

    On répliquera, avec raison, que ces arguments, aussi pathétiques soient-ils, ont pour eux l'avantage de la franchise, ce qui n'est pas le cas de certains de mes amis des arouch ou du MDS, aile Hocine Ali qui s'apprêtent à partir aux élections pour, disent-ils, “barrer la route à la fraude et réhabiliter le suffrage universel” ! Comprenne qui pourra. En vérité, l'opposition démocratique algérienne est placée, à l'occasion de ces prochaines législatives truquées, devant trois terribles responsabilités historiques. D'abord le choix d'accélérer la défaite du despotisme algérien et d'isoler l'intégrisme ou, à l'inverse, celui de les secourir. Ensuite le devoir d'accompagner un mouvement social contestataire qui va s'exprimer par le boycottage ou, au contraire, la tentation de le mépriser. Enfin, exploiter ou ne pas exploiter l'opportunité exceptionnelle de concevoir une politique alternative à celle du système, à celle de l'islamisme. D'entrer dans le nouveau monde. L'union des démocrates algériens, à laquelle s'épuise à appeler notre ami Bererhi, passe par là et nos opposants gloutons ont tort de la troquer contre un strapontin. L'histoire est implacable. Elle n'oublie aucune félonie. Le monde nouveau se fera, mais sans eux.

    M. B.

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    • #3
      Fouiller encore dans les poubelles, vous trouverez peut etre de quoi alimenter votre campagne et justifier votre service commandé.

      Pendant que vous y etes, vous y trouverez peut etre les détails du plan de l'autonomie.

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      • #4
        article déjà posté partout les commentaire qu'on a fait ne te suffisent pas???
        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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        • #5
          Jawzia,

          le but de poster le texte integral de l'article est d'enlever l'etiquette de la MAP de l'article et donc ne plus se cacher sous des termes comme makhzen, propagande etrangere etc...

          L'autre but est de lancer un debat sur le fond, ce que fait Lamia par exemple en attaquant le messager ne sert a rien, ca n'enleve en rien de la validite du propos et du message en lui meme. A moins de contre-argumenter..


          Aussi, le but n'est pas de dire : j'avais raison tu as tort mais plutot de faire savoir que parmi les algeriens, il y en a qui sont vraiment lucides et qui ne partagent pas l'avis du pouvoir. Et a mon avis, c'est l'ecrasante majorité...

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          • #6
            le cas messager a été largement débatu sur fa, que ce soit son approrimation, son incompétence et sa mauvaise foi, ce type vendrait sa mère en kit juste pour effleurer Bouteflika.
            La rancune l'aveugle malheureusement.
            C'est pas les critiques du gouvernement qui manquent dans la presse algerienne, et plus valable que ça
            Quand on n'a rien à dire, il vaut toujours mieux citer un vieux proverbe chinois.
            Proverbe chinois

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            • #7
              L'autre but est de lancer un debat sur le fond
              le seul débat de fond est de savoir "Qu'un peuple aspirant depuis des dizaines d'années à une indépendance se voit offrir par le colonisateur une parodie de solution : nommée autonomie".

              Les défenseur de cette parodie arrivés en Boat-people sur FA, et envoyés en mission commandé, veulent nous assener des inepties pour des vérités en les érigeant en théorèmes.

              Dire qu'ils ne savent même pas de quoi il en retourne. Ils savent rien de ce plan Berouicha et ils n'arretent pas de nous en vanter les mérites. Quel manque de pudeur.
              Dernière modification par jawzia, 16 mars 2007, 19h45.

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              • #8
                l'écrasante majorité a élu Boutef à 92%
                et si vous penser à la supercherie la spantanieté du peuple lors de la compagne éléctorale en témoigne. autre chose plus récente celle là : l'aceuil qu'on lui a réservé lors de son retour de Paris aprés son rétablissement donne à réfléchir avant de se fier à un ben chicou fou de rage.
                ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                • #9
                  lamia, tu penses vraiment vraiment que c'est un motif de fierté d'avoir un candidat élu a 92%? Peux tu me nommer les autres candidats et combien ils ont eu? Et surtout de quel parti ils sont? Je sens que ca va etre interessant...

                  sinon a part les elections, la meteo et descendre un journaliste qui ose dire ses 4 verites au pouvoir, que pensez-vous du contenu de ses propos, le fond mes amis le fond...
                  Dernière modification par ayoub7, 16 mars 2007, 19h48.

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                  • #10
                    tu penses vraiment vraiment que c'est un motif de fierté d'avoir un candidat élu a 92%?
                    oui pourquoi pas on a eu ce que tout le monde veut de toute façon c mieux qu'une personne choisi par "le grand seigneur" pour etre amir el moeminin
                    car les élus à 90% viendra le jour où disparetrons mais les amir el moeminin resterons pour toujours (c par définition )
                    pour les autres je peux te poster leur biographie y avait luiza hanoun entre autres
                    au fond de ses paroles y a sa rage contre Boutef
                    ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                    • #11
                      Benchicou est un grand intellectuel,ses analyses doivent etre prises en compte.il n'est pas là pour dire les classiques ''vive nous'' ''vive notre pays''.mais certains n'arrivent pas à comprendre ca.

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                      • #12
                        Au moment ou des journalistes algeriens se faisaient tuer froidement, dont deux du journal
                        Le Matin, (Said Mekbel et Said Tazrout) Benchicou n'aura qu'une seule pensee pour ses
                        employes restes au pays et qui ne survivaient que grace au maigre salaire de son journal,
                        fermer Le Matin.
                        Notre ami Benchi saura aussi mettre au service de Moumene Khalifa ses talents
                        d'ecrivains et de pamphletaire hors paire. Benchicou qui se faisait gracement payer par
                        Abdelmoumen, comme l'etait Omar Belhouchet, directeur du quotidien El Watan (un autre
                        imposteur lui aussi) ne pourra que defendre le groupe qui n'est qu'une grosse arnaque, au
                        moment de sa liquidation. Une affaire de blanchiement d'argent sale que le defenseur de la
                        rigueur journalistique aura tot fait de transformer en affaire politique pour mieux noyer le
                        poisson. Il faut dire que Benchi qui recevait, en plus de la pub du groupe (airways, banque
                        et meme KRC) 19000 euros mois, et ne pouvait se permettre de laisser ainsi la manne lui
                        filer entre les pattes. D ailleurs il n hesitait a contenir les ardeurs de ses journalistes
                        pousses par des velleites de professionalisme lorsque cela pouvait toucher ne serait ce
                        que l'image de Khalifa.
                        Benchicou victime de son appetence ira jusqu a mettre dans le lit de Gerard Depardieu,
                        un autre complice de Khalifa, sa fille. Vendue sur le marche de la concupiscence pour
                        favoriser les interets du papa.
                        Passons sur les tentatives avortees de vendre son journal a un milliardaire - Brahim
                        Hadjas pour ne pas le citer - pour se debarrasser d'une affaire en laquelle il n'a jamais cru
                        et dont il ne veut plus puisque Benchicou ne reve plus que d'une chose ; vivre de ses
                        rentes et crever de ses revenus.
                        Faut-il rappeler comment Fatiha, la femme de Benchicou est entree comme une furie
                        dans les locaux du journal Le Matin pour insulter et frapper une journaliste soupconnee d
                        etre la maitresse de Benchicou. L homme n a plus aucune morale et a l escroquerie
                        intellectuelle il ajoute l infidelite conjugale. Sa femme en avait marre de se faire cocufier
                        mais s est calmee des lors que les sous continuent de pleuvoir et en quantite.

                        Commentaire


                        • #13
                          @le makoudian
                          tu fais la meme chose que les regimes totalitaires,calomnier,jetter le discredit et trainer dans la boues tous ceux qui osent parler et denoncer.as tu au moins des preuves de ce que tu avances.

                          Commentaire


                          • #14
                            malgre la mauvause entente presumee qui peut exister entre benchi et bouteflika, surtout ne niez pas tout ce qui est ecrit dans son article.

                            c est vrai que ca fait mal de lire des choses a propos de l algerie mais c est a travers des articles critiques du pouvoir que l on puisse avancer la democratie chez soi.

                            Commentaire


                            • #15
                              >>>malgre la mauvause entente presumee qui peut exister entre benchi et bouteflika, surtout ne niez pas tout ce qui est ecrit dans son article.


                              TOZ, l'affaire du sahara fait encore saliver, a tel point que le premier vatour de passage se précipite sur l'article...

                              Alors il ne faut pas trop se fatiguer et considérer cet article comme une grande victoire, c'est simplement un règlement de compte entre un filou et son ennemi qui ne coit point à la démocratie...

                              >>>y en a qui sont vraiment lucides et qui ne partagent pas l'avis du pouvoir

                              Elle est où la lucidité, bien plus si ce peronnage avait une quelconque crédibilité on l'aurait entendu, mais non au lieu de s'adresser aux algériens ils s'adresse à lui même il est imbu de sa personnalité...

                              Son article n'est pas accessible si tu veux savoir, et son opposition a pour carburant la revanche et la haine...

                              Alors encore une fois c'est du TOZ tout çà..

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