Au terme de 8 ans d’abus sexuels, une jeune Marocaine a fait le choix de briser le silence. Son bourreau n’est autre que son père, âgé de 77 ans. Celui-ci a été arrêté, mercredi 10 avril, par les éléments de la police judiciaire relevant de la préfecture de la Sûreté de Rabat, rapportent des médias marocains.
La jeune Aïcha, aujourd’hui âgée de 22 ans, subissait les assauts répétés de son père depuis l’âge de 14 ans. Son père lui a donné, la première fois qu’il a abusé d’elle, un billet de 100 dirham, avant qu’il continue à abuser d’elle presque quotidiennement sur une durée de 8 ans, a-t-elle révélé aux médias.
Une famille complice
Dans la foulée de cette prise de parole, la jeune Aïcha a également levé le voile sur la complicité des autres membres de sa famille. « Ma mère, ma sœur, mes deux frères, mes tantes et mes oncles sont tous au courant de ce que j’éprouve depuis longtemps sans que personne n’intervienne pour me sauver de ce calvaire quotidien », a-t-elle relatée. La jeune femme a aussi précisé que son frère, actuellement en prison pour trafic de drogue, l’agressait physiquement lorsqu’elle refusait de céder à leur père.
Le calvaire de la jeune Marocaine a prit fin lorsqu’elle a décidé de fuir le domicile familiale sis au quartier Annahda, dans la capitale Rabat. Après trois mois d’errance, elle a finit par contacter Najia Adib, présidente de l’association « Touche pas à mes enfants ». Aidée par cette dernière, la victime a déposé plainte le mardi 9 avril auprès du procureur du Roi près la Cour d’appel de Rabat. Le père a été aussitôt interpellé et devra prochainement répondre pour inceste commis sur la personne de sa fille.
observ algérie
La jeune Aïcha, aujourd’hui âgée de 22 ans, subissait les assauts répétés de son père depuis l’âge de 14 ans. Son père lui a donné, la première fois qu’il a abusé d’elle, un billet de 100 dirham, avant qu’il continue à abuser d’elle presque quotidiennement sur une durée de 8 ans, a-t-elle révélé aux médias.
Une famille complice
Dans la foulée de cette prise de parole, la jeune Aïcha a également levé le voile sur la complicité des autres membres de sa famille. « Ma mère, ma sœur, mes deux frères, mes tantes et mes oncles sont tous au courant de ce que j’éprouve depuis longtemps sans que personne n’intervienne pour me sauver de ce calvaire quotidien », a-t-elle relatée. La jeune femme a aussi précisé que son frère, actuellement en prison pour trafic de drogue, l’agressait physiquement lorsqu’elle refusait de céder à leur père.
Le calvaire de la jeune Marocaine a prit fin lorsqu’elle a décidé de fuir le domicile familiale sis au quartier Annahda, dans la capitale Rabat. Après trois mois d’errance, elle a finit par contacter Najia Adib, présidente de l’association « Touche pas à mes enfants ». Aidée par cette dernière, la victime a déposé plainte le mardi 9 avril auprès du procureur du Roi près la Cour d’appel de Rabat. Le père a été aussitôt interpellé et devra prochainement répondre pour inceste commis sur la personne de sa fille.
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