Des Gilets jaunes aspergés d’eau bleue à Paris, un moyen de «marquage»?
Le canon à eau utilisé par les forces de l’ordre à Paris pendant l’acte 23 des Gilets jaunes a lancé du liquide de couleur bleue, ce serait un moyen de «marquer» les manifestants, indiquent les médias, alors que d’après la gendarmerie, un produit de marquage doit être «incolore».
Les forces de l'ordre ont fait ce samedi 20 avril usage d'un canon à eau avec marqueur de couleur bleue place de la République à Paris lors de la 23e journée de mobilisation des Gilets jaunes, comment le montrent les images prises par un correspondant de Sputnik et les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
🔴 ALERTE INFO - #Paris : Canon à eau lancé avec marqueur de couleur bleue Place de la République." #GiletsJaunes #Acte23 #20Avril #ActeXXIII #20Avril2019 #20avril #ultimatum2 #giletjaune #YellowVests #UltrasJaunes pic.twitter.com/3thsZxjn1B
— FranceNews24 (@FranceNews24) 20 avril 2019
Selon les médias, il s’agit d’un produit nommé PMC (produit de marquage codé) et destiné à tracer les fauteurs de troubles après la dispersion du cortège, qui a déjà été évoqué à la mi-mars par le Premier ministre Édouard Philippe à l’issue du 18e acte des Gilets jaunes en France.
Toutefois, selon le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, les PMC doivent être des dispositifs «indétectables à l'œil nu, inodores et incolores (non-toxiques)».
Le 19 mars, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a précisé qu’il y avait deux types de marqueurs chimiques, un «coloré» et l’autre «transparent», destinés à faciliter l’interpellation de personnes soupçonnées d’être impliquées dans des infractions. Le ministre n'a pas fourni d’autres détails, indiquant simplement qu'ils pourraient être diffusés via «les engins lanceurs d'eau».
Le canon à eau utilisé par les forces de l’ordre à Paris pendant l’acte 23 des Gilets jaunes a lancé du liquide de couleur bleue, ce serait un moyen de «marquer» les manifestants, indiquent les médias, alors que d’après la gendarmerie, un produit de marquage doit être «incolore».
Les forces de l'ordre ont fait ce samedi 20 avril usage d'un canon à eau avec marqueur de couleur bleue place de la République à Paris lors de la 23e journée de mobilisation des Gilets jaunes, comment le montrent les images prises par un correspondant de Sputnik et les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Le canon a eau lance un liquide bleu aujourd'hui pic.twitter.com/pstuePYgV7
— LaMeutePhotographie (@LaMeutePhoto) 20 avril 2019
— LaMeutePhotographie (@LaMeutePhoto) 20 avril 2019
🔴 ALERTE INFO - #Paris : Canon à eau lancé avec marqueur de couleur bleue Place de la République." #GiletsJaunes #Acte23 #20Avril #ActeXXIII #20Avril2019 #20avril #ultimatum2 #giletjaune #YellowVests #UltrasJaunes pic.twitter.com/3thsZxjn1B
— FranceNews24 (@FranceNews24) 20 avril 2019
Selon les médias, il s’agit d’un produit nommé PMC (produit de marquage codé) et destiné à tracer les fauteurs de troubles après la dispersion du cortège, qui a déjà été évoqué à la mi-mars par le Premier ministre Édouard Philippe à l’issue du 18e acte des Gilets jaunes en France.
Le canon à eau est entré en action. #GiletsJaunes #Acte23 #ActeXXIII pic.twitter.com/dOM9S934Xy
— Jonathan Baudoin (@JoBaudoin) 20 avril 2019
— Jonathan Baudoin (@JoBaudoin) 20 avril 2019
Toutefois, selon le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, les PMC doivent être des dispositifs «indétectables à l'œil nu, inodores et incolores (non-toxiques)».
Le 19 mars, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a précisé qu’il y avait deux types de marqueurs chimiques, un «coloré» et l’autre «transparent», destinés à faciliter l’interpellation de personnes soupçonnées d’être impliquées dans des infractions. Le ministre n'a pas fourni d’autres détails, indiquant simplement qu'ils pourraient être diffusés via «les engins lanceurs d'eau».
.@CCastaner, ministre de l'Intérieur, sur les #marqueurschimiques utilisés dans les #manifestations : "On pourra dire : tel jour à telle heure, vous étiez devant tel magasin" #police #giletsjaunes #le79Inter pic.twitter.com/9sVTtlY4eH
— France Inter (franceinter) 19 mars 2019
— France Inter (franceinter) 19 mars 2019
alterinfo
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