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France : l’ambassade d’Algérie poursuivie par la justice.

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  • France : l’ambassade d’Algérie poursuivie par la justice.

    Plusieurs employés de l’ambassade d’Algérie en France, sont poursuivis par la justice française, dans plusieurs affaires, selon plusieurs media français.
    En effet, l’ambassade d’Algérie en France est accusée de licenciements abusifs et de violence. Où un ancien chauffeur de l’ambassade a été « mis à pied, sans sommation ni explication, lequel été rappelé après trois mois sans salaire, pour être licencié ». L’inspection du travail, et la cour d’appel de Paris ont condamné l’Algérie à versé 100 000 euros pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, et travail dissimulé.
    Aussi, dans le consulat de Pontoise, un autre employé recevait un 13e mois de salaire en décembre, viré sans déclaration sur son compte en banque. Ou ce dernier affirme avoir « été étranglé devant témoin par mon supérieur hiérarchique qui est un diplomate, relate-t-il. J’ai pris des coups, j’ai été insulté, on m’a poussé dans les escaliers. » Arrêté après cet « accident du travail », il demande à changer d’affectation, « mais cela a été refusé ».
    Un autre cas au même consulat, « Elle a été licenciée alors qu’elle était enceinte, simplement parce qu’elle s’était arrêtée durant quelques jours. Pour se justifier, le consulat a estimé qu’elle avait fourni des « certificats médicaux de complaisance » pour des « absences injustifiées et abandons de poste ». l’Algérie a été condamnée dans cette affaire a versé 50 000 euros pour « licenciement nul et méconnaissance du statut protecteur lié à la grossesse » .
    Pour les avocats des plaignants « la République démocratique d’Algérie refuse de payer et se retranche derrière son statut d’Etat souverain, et une immunité d’exécution ».
    Ils précisent que « la France pourrait recourir à d’autres procédures pour obliger l’Algérie à payer en gelant des avoirs algériens sur le sol français, des salaires, ou en saisissant des biens immobiliers appartenant à l’Algérie dans l’Hexagone ». Me. Acar reconnaît tout de même que cette hypothèse n’est pas à l’ordre du jour pour des considérations diplomatiques.
    Source : La Tribune d'algérie


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