Scandale de corruption au nouvel Aéroport d'Alger
Selon média Algérie Part, l’Aéroport d’Alger s’apprêtant à devenir une aérogare, est un des scandales de corruptions en Algérie.
Des révélations d’un média d’investigation algérien, mettent la lumière sur une présumée affaire de rétrocommissions dans un marché disputé par deux sociétés, britannique et chinoise, et impliquant le nom du PDG de la Société de Gestion des Services et Infrastructures Aéroportuaires d’Alger(SGSIA), M. Tahar Allache. A en croire à la même source, la société britannique GATE Technologies ayant raflé le marché suite à une soumission dans les règles de l’art, a été contrainte de plier bagage, suite à l’intervention dudit PDG.
Ce dernier aurait donné l’ordre «au chef de projet, Lamine KHEIDER et aux chinois de CSCEC de cesser tous contacts avec les représentants de GATE Technologies, et d’entamer la sélection d’un autre fournisseur», révèle le site de Abdou Semmar.
Pire encore, l’enquête se demande sur le sort du budget arrêté pour le marché annulé : «Avec les 120 desks à fournir, on parle tout de même de 576.000 euros que garde l’entreprise chinoise? Et cela sans évoquer le budget en Dinars algérien que ne touche pas le fournisseur étranger, à savoir 228.757 DA / desk, soit 27,360,000 DA. Où va cet argent appartenant au Trésor public ? Concernant les box de la police au frontière PAF, CSCEC impose un budget de € 5000 maximum, or ils ont touché le double à savoir € 11,518 / desk. Avec un total de 48 box, ce ne sont pas moins de 552.000 euros qui sont gardés par les chinois.». A suivre...........
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