L’hommage rendu par Mustapha Bouchachi à l’ancien dirigeant du FIS est une faute politique grave qui peut être considérée comme du révisionnisme.
Pour beaucoup, il s’agit ni plus ni moins d’un hommage rendu par un défenseur des droits de l’Homme à un moudjahid de la première heure qui s’en va rejoindre ses compagnons d’armes !
Ce qui n’est en partie pas faux mais imitant Benouari, qui regrettait en Dhina le grand physicien que l’Algérie a perdu, notre prévoyant politicien, remonte cinquante ans en arrière pour glorifier un ancien combattant en omettant de citer ses fonctions d’il y a vingt-cinq ans en tant que dirigeant d’un parti politique, comme si rien n’avait existé, comme si jamais rien ne s’était produit.
En mode FLN censurant une partie de notre patrimoine historique, à l’image d’un Bouteflika lobotomisant la société en promettant la paix, voilà un potentiel prétendant au trône qui lèche d’un coup de langue de bois, les salissures de l’histoire récente de notre pays.
Il est dit, parait-il, que ce n’est pas lui qui a rédigé le texte. Nous voilà donc, face à une personnalité politique qui laisse n’importe qui rédiger ses posts sur ses profils ou qui n’assume pas ses propres écrits ! l’un dans l’autre, c’est une faute professionnelle grave pour un juriste que certains voient déjà dans le rôle de président
Toujours est-il que tout cela est bien pathétique et dangereux car la ré écriture de notre histoire est en marche.
Nazim MEKBEL
25 avril 2019
Pour beaucoup, il s’agit ni plus ni moins d’un hommage rendu par un défenseur des droits de l’Homme à un moudjahid de la première heure qui s’en va rejoindre ses compagnons d’armes !
Ce qui n’est en partie pas faux mais imitant Benouari, qui regrettait en Dhina le grand physicien que l’Algérie a perdu, notre prévoyant politicien, remonte cinquante ans en arrière pour glorifier un ancien combattant en omettant de citer ses fonctions d’il y a vingt-cinq ans en tant que dirigeant d’un parti politique, comme si rien n’avait existé, comme si jamais rien ne s’était produit.
En mode FLN censurant une partie de notre patrimoine historique, à l’image d’un Bouteflika lobotomisant la société en promettant la paix, voilà un potentiel prétendant au trône qui lèche d’un coup de langue de bois, les salissures de l’histoire récente de notre pays.
Il est dit, parait-il, que ce n’est pas lui qui a rédigé le texte. Nous voilà donc, face à une personnalité politique qui laisse n’importe qui rédiger ses posts sur ses profils ou qui n’assume pas ses propres écrits ! l’un dans l’autre, c’est une faute professionnelle grave pour un juriste que certains voient déjà dans le rôle de président
Toujours est-il que tout cela est bien pathétique et dangereux car la ré écriture de notre histoire est en marche.
Nazim MEKBEL
25 avril 2019
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