Une réflexion de Mohamed Sifaoui :
Abdelkader Bensalah a été intronisé président de l’État par intérim le 9 avril 2019 pour une durée de 90 jours comme le précise la constitution du régime mafieux. En d’autres termes, le mandat du sieur Bensalah arrivera à échéance le 8 juillet 2019.
Le même Bensalah, avec l’appui du chef de l’état-major, a fixé la date du 4 juillet 2019 pour organiser des « élections présidentielles ». Or, cette date ne peut correspondre qu’à un éventuel premier tour. Le second tour ne peut être organisé qu’une à deux semaines plus tard, c’est-à-dire soit le 11 juillet, soit le 18 juillet, respectivement 3 jours ou 10 jours après la fin du mandat.
Alors le régime a-t-il déjà décidé que l’élection présidentielle se jouerait dès le 1er tour grâce à la fraude ?
Savait-il à l’avance que ces élections n’auraient jamais lieu ?
Prend-il le risque de créer une situation d’une énième vacance du pouvoir ?
Abdelkader Bensalah a été intronisé président de l’État par intérim le 9 avril 2019 pour une durée de 90 jours comme le précise la constitution du régime mafieux. En d’autres termes, le mandat du sieur Bensalah arrivera à échéance le 8 juillet 2019.
Le même Bensalah, avec l’appui du chef de l’état-major, a fixé la date du 4 juillet 2019 pour organiser des « élections présidentielles ». Or, cette date ne peut correspondre qu’à un éventuel premier tour. Le second tour ne peut être organisé qu’une à deux semaines plus tard, c’est-à-dire soit le 11 juillet, soit le 18 juillet, respectivement 3 jours ou 10 jours après la fin du mandat.
Alors le régime a-t-il déjà décidé que l’élection présidentielle se jouerait dès le 1er tour grâce à la fraude ?
Savait-il à l’avance que ces élections n’auraient jamais lieu ?
Prend-il le risque de créer une situation d’une énième vacance du pouvoir ?
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