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Bourguiba et Boutef: même destin?

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  • Bourguiba et Boutef: même destin?

    Deux géants de l'histoire du Maghreb qui ont finalement vécu l'identique fin de règne!

    - Habib Bourguiba dirigea son pays de 1955 à 1987, année où il fut déposé par un « coup d’Etat médical » organisé par Ben Ali, et enfermé dans une villa jusqu’à sa mort en 2000. De même qu’il *ancrait son pays dans l’histoire, il voulait incarner quelque chose d’universel. Les réunions du *conseil des ministres se tenaient dans une salle ornée de bustes d’Hannibal, de saint Augustin ou d’Ibn Khaldun (philosophe et historien du XIVe siècle), tous nés sur l’actuel territoire tunisien-.

    Le Monde.fr

  • #2
    Il y a erreur sur Saint Augustin qui est ne' a Taghaste (souk Ahras) se trouvant en territoire Algerien.


    Verifiez vos articles avant de les poster.

    M.
    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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    • #3
      Les tunisiens comme les marocains aiment s'approprier les figures algériennes...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        " Il y a erreur sur Saint Augustin qui est ne' a Taghaste (souk Ahras) se trouvant Il y a erreur sur Saint Augustin qui est ne' a Taghaste (souk Ahras) se trouvant en territoire Algerien. Verifiez vos articles avant de les poster. Verifiez vos articles avant de les poster."

        Il n'est pas à la portée de quiconque à rectifier les insinuations du journal Le Monde. Celui-ci considéré comme le bréviaire de l'actualité, il faut faire montre d'humilité (ce que vous ne faites pas en langue de Molière: Il y a erreur sur Saint Augustin qui est ne' a Taghaste (souk Ahras) se trouvant en territoire Algerien.).

        Respect à vous.

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        • #5
          Bouteflika devait partir. C'est une évidence. La question posée depuis qu'il avait annoncé son départ lui-même en 2012 est comment le système devait lui survivre...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            je vous en prie cher monsieur Rago. Quand il s agit de lapalissade, quiconque en est capable meme ceux qui n ont pas benificie' d une bibliotheque bourre'e de Moliere, Le Cid, La fontaine que m a legue'e mon frere aine'. et L ecole algerienne a fait le reste et m a fait connaitre el moutanabi...

            Gualek le monde.fr... En plus du fait que la langue francaise est un butin de guerre (Kateb Yacine), l histoire vraie est du ressort de ceux qui verifie les faits. Le monde.fr veut faire de Boutef une icone... Pour nous, Boutef est un Toz-fel-Ma.


            Ah'ki l bibit... Ruh' a sidi, Boutef est marocain; on vous le donne... Mais Pas touche au fils de Taghaste. je ne suis intervenu que pour signaler cette erreur.
            Sinon pour boutef... Mediocre il etait, il restera mediocre... dixit le peuple algerien de 2019. Il n a que faire des mediocres... Degage... la Poubelle!


            Envoyé par Rago
            Il n'est pas à la portée de quiconque à rectifier les insinuations du journal Le Monde.
            PS: au lieu de defendre lemonde.fr, une simple verification aurait suffi. C est une demarche pour ceux qui veulent avancer... un manque de serieux pour le reste.


            Good day!


            M.
            Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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            • #7
              Bouteflika aurait pu être un géant s'il avait laissé une Algérie prospère et démocratique comme l'avait fait Bourguiba. Mais la cacophonie actuelle, dans laquelle on ne sait plus qui limoge qui, qui nomme qui et même qui arrête qui, montre que sa gouvernance n'est qu'un paravent derrière lequel s'est créé un système qu'il ne sera pas aisé d'éliminer...
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                " Bouteflika devait partir. C'est une évidence."

                Effectivement. Cependant, Boutef devait terminer son épopée politique en 2009 ( après deux mandats) et non point insister à l'instar du sénile tunisien Bourguiba.

                Néanmoins, Boutef était en mesure de s'inscrire dans l'Histoire définitivement en évitant un retour en politique après 19 ans de bannissement.

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                • #9
                  " PS: au lieu de defendre lemonde.fr, une simple verification aurait suffi. C est une demarche pour ceux qui veulent avancer... un manque de serieux pour le reste."


                  Le journal Le Monde est une référence absolue et donc, il me serait - en tant que simple quidam surérogatoire- à lui prêter quelconque réquisitoire.

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                  • #10
                    Bouteflika n'a aucun amour pur l'Algérie, il est venu au pouvoir pour se venger de son éviction.

                    Commentaire


                    • #11
                      Bouteflika n'a aucun amour pur l'Algérie, il est venu au pouvoir pour se venger de son éviction.
                      Il n'est pas venu de lui-même, il l'ont fait venir.

                      Comment un seul homme peut se venger de tout un pays pendant 20 ans ?

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                      • #12
                        " Bouteflika n'a aucun amour pur l'Algérie, il est venu au pouvoir pour se venger de son éviction."

                        Effectivement. Sinon, comment alors expliquer la " métamorphose" du brillant "plus jeune ministre des affaires étrangère de tous les temps" envers- notamment- les pays voisins de l'Algérie dont il (Boutef à juste raison) stipulait: " A l'égard du reste du monde arabe, il manifestait alors un mépris à peine voilé; tenait les régimes voisins, Tunisie et Maroc, pour le comble de l'abomination".


                        L'express.fr

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                        • #13
                          Boutef un géant !


                          Qu'est ce qu'il ne faut pas lire comme débilité !

                          Commentaire


                          • #14
                            @Rago

                            Bouteflika est issu d'une génération de putschistes à la sauce FLN qui n'a jamais cru dans les contraintes d'une constitution, qu'il a dévoué réformette après réformette. Celle de 2016 a consacré la prise en main par l'armée de la succession de Bouteflika, puisque l'article 102 avait été taillé sur mesure pour l'arbitrage suprême de l'armée dans les 90 jours et les critères d'éligibilité à la candidature dosés pour éviter toute surprise. Ce seul fait montre le degré de liberté que pouvait avoir la face civile du pouvoir, qui a voulu se créer sa clientèle pour rivaliser avec celle des généraux, avec comme maîtres d'oeuvres Said et Ouyahia. Les généraux ont abondé dans ce sens pour pouvoir continuer à s'enrichir et placer le Poutine Algerien à la fin de la cuisson des carottes...

                            La bataille du quatrieme comme celle du cinquième mandat est notamment le résultat d'un conflit entre l'ANP à sa tête Sissi l'impératrice, les anciens du DRS et la face civile du pouvoir qui voulaient chacun décider de la succession...

                            Le départ des protagonistes est nécessaire pour remettre l'Algerie dans les défis de developpement et de progrès difficiles qui l'attendent et restituer l'institution présidentielle, et militaire à des prérogatives strictement encadrés par une constitution demicratique...
                            Dernière modification par ott, 04 mai 2019, 13h42.
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              " Bouteflika est issu d'une génération de putschistes à la sauce FLN qui n'a jamais cru dans les contraintes d'une constitution, qu'il a dévoué réformette après réformette. Celle de 2016 a consacré la prise en main par l'armée de la succession de Bouteflika, puisque l'article 102 avait été taillé sur mesure pour l'arbitrage suprême de l'armée dans les 90 jours et les critères d'éligibilité à la candidature dosés pour éviter toute surprise."

                              L'article 102 de la Constitution ne souffre d'aucune lacune dès lors qu'il faille le mesurer en d'autres circonstances ( en l'espèce en cas de décès de Boutef).

                              Il s'avère qu'il faudrait comparer ledit article 102 Cst avec les constitutions de celles d'autres nations (notamment avec la France et rappeler comment l'abandon du diffus De Gaulle s'était opéré. Ainsi que s'inspirer des décès soudains des pires dictateurs jamais connus du monde que furent: Hassan II et Franco).

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