La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a informé les anciens ministres et les chefs de partis que la garde rapprochée dont ils bénéficient leur sera retirée. Abdelkader Kara Bouhadba, le directeur de la Police, aurait donné l’ordre de rapatriement de tous ses agents de la garde rapprochée.
Selon des sources concordantes, citant un document officiel, « le service de protection et de sécurité (SPS), aurait contacté les chefs des partis politiques, à savoir, le président du Front pour la justice et le développement (FJD), Abdelhah Djaballaj, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderaazak Mokri, et Belkacem Sahli, le président de l’Alliance nationale républicaine (ANR) ». On parle également de « plusieurs anciens ministres et cadres supérieures ayant quitté leur poste depuis des années, mais qui bénéficient toujours de cette protection ».
La DGSN aurait ainsi ordonné le Service de protection et de sécurité (SPS) de rapatrier ses agents – autrement dit, ses gardes du corps. Chaque membre du gouvernement a eu droit à une protection rapprochée pendant son service. « Certains auraient même eu le droit à plusieurs agents de la SPS. En effet, un chef de parti aurait eu sept gardes du corps qui l’accompagnaient à chacun de ses déplacements », a-t-on appris.
Une décision remise à l’ordre du jour
Le SPS est directement rattaché au cabinet d’Abdelkader Kara Bouhadba, puisque la mission de protection et d’accompagnement des personnalités revient à la Direction générale de la Sûreté nationale, conformément aux lois qui fixent l’organisation de ses services.
Pour rappel, une décision similaire a été prise au mois de septembre dernier par l’ancien directeur général de la Sûreté nationale, Mustapha Lahbiri. Une décision qui a été partiellement appliquée, puisqu’à cette époque, Lahbiri n’ayant pas eu le soutien nécessaire pour affronter et atteindre les grandes formations politiques, les anciens ministres, et autres responsables.
ObserverAlgérie
Selon des sources concordantes, citant un document officiel, « le service de protection et de sécurité (SPS), aurait contacté les chefs des partis politiques, à savoir, le président du Front pour la justice et le développement (FJD), Abdelhah Djaballaj, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderaazak Mokri, et Belkacem Sahli, le président de l’Alliance nationale républicaine (ANR) ». On parle également de « plusieurs anciens ministres et cadres supérieures ayant quitté leur poste depuis des années, mais qui bénéficient toujours de cette protection ».
La DGSN aurait ainsi ordonné le Service de protection et de sécurité (SPS) de rapatrier ses agents – autrement dit, ses gardes du corps. Chaque membre du gouvernement a eu droit à une protection rapprochée pendant son service. « Certains auraient même eu le droit à plusieurs agents de la SPS. En effet, un chef de parti aurait eu sept gardes du corps qui l’accompagnaient à chacun de ses déplacements », a-t-on appris.
Une décision remise à l’ordre du jour
Le SPS est directement rattaché au cabinet d’Abdelkader Kara Bouhadba, puisque la mission de protection et d’accompagnement des personnalités revient à la Direction générale de la Sûreté nationale, conformément aux lois qui fixent l’organisation de ses services.
Pour rappel, une décision similaire a été prise au mois de septembre dernier par l’ancien directeur général de la Sûreté nationale, Mustapha Lahbiri. Une décision qui a été partiellement appliquée, puisqu’à cette époque, Lahbiri n’ayant pas eu le soutien nécessaire pour affronter et atteindre les grandes formations politiques, les anciens ministres, et autres responsables.
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