Bensalah nargue les Algériens et ne démissionne pas !
algeriepart.com
Par Abdou Semmar -05/05/2019
C’est encore une déception. Le Président par intérim, Abdelkhader Bensalah, n’a pas démissionné et s’accroche encore au pouvoir. Alors que de nombreuses sources médiatiques ont promis aux Algériens de nouvelles annonces positives lors du discours de Bensalah diffusé en direct sur l’ENTV au JT de 20 H, l’intéressé a démenti les pronostics en narguant les Algériens.
Non, Bensalah ne veut pas partir. Pis encore, il s’accroche à sa feuille de route. L’homme a appelé « au dialogue pour l’organisation des présidentielles dans les délais ». Un dialogue que le Peuple algérien récuse et refuse chaque vendredi lorsque des millions d’Algériens sortent dans les rues. Les Algériens ne veulent pas d’un dialogue avec les symboles de l’ancien régime de Bouteflika.
Mais au lieu d’accéder à leurs revendications, Bensalah préfère accuser « des parties qui veulent porter atteinte aux institutions de l’État ». Un langage qui rappelle exactement celui des dirigeants de l’ère Bouteflikienne. Bensalah est allé jusqu’à évoquer « des menaces extérieures et intérieures sur le pays et appelle le peuple à la plus grande vigilance ».
En guise de consolation, Abdelkhader Bensalah a fait savoir aux Algériens que « la lutte contre la corruption s’est accélérée ». « Le processus du changement avance et se concrétise de jour en jour », a-t-il dit encore. Les Algériens ne semblent pas du tout partager sa vision.
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Par Abdou Semmar -05/05/2019
C’est encore une déception. Le Président par intérim, Abdelkhader Bensalah, n’a pas démissionné et s’accroche encore au pouvoir. Alors que de nombreuses sources médiatiques ont promis aux Algériens de nouvelles annonces positives lors du discours de Bensalah diffusé en direct sur l’ENTV au JT de 20 H, l’intéressé a démenti les pronostics en narguant les Algériens.
Non, Bensalah ne veut pas partir. Pis encore, il s’accroche à sa feuille de route. L’homme a appelé « au dialogue pour l’organisation des présidentielles dans les délais ». Un dialogue que le Peuple algérien récuse et refuse chaque vendredi lorsque des millions d’Algériens sortent dans les rues. Les Algériens ne veulent pas d’un dialogue avec les symboles de l’ancien régime de Bouteflika.
Mais au lieu d’accéder à leurs revendications, Bensalah préfère accuser « des parties qui veulent porter atteinte aux institutions de l’État ». Un langage qui rappelle exactement celui des dirigeants de l’ère Bouteflikienne. Bensalah est allé jusqu’à évoquer « des menaces extérieures et intérieures sur le pays et appelle le peuple à la plus grande vigilance ».
En guise de consolation, Abdelkhader Bensalah a fait savoir aux Algériens que « la lutte contre la corruption s’est accélérée ». « Le processus du changement avance et se concrétise de jour en jour », a-t-il dit encore. Les Algériens ne semblent pas du tout partager sa vision.
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