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Le général-major Gaïd Salah : un flic dans la mafia ! On se croirait dans un rêve ou dans une série télé. Ahmed Gaïd Sal

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  • Le général-major Gaïd Salah : un flic dans la mafia ! On se croirait dans un rêve ou dans une série télé. Ahmed Gaïd Sal

    lematind************

    Lundi 6 mai 2019 - 12:11
    REGARD
    Le général-major Gaïd Salah : un flic dans la mafia !

    On se croirait dans un rêve ou dans une série télé. Ahmed Gaïd Salah renverse Saïd, Toufik et Tartag et les envoie en prison !
    Vous m’en direz tant ! Qui l’eut cru ? Les trois dieux d’Algérie démythifiés. Du paradis d’El Mouradia à l’enfer d’El Harrach ! «Koun fa yakoun». On le savait bon tireur, mais de là à faire pareil strike ! Mon vieux ; tu nous impressionnerais presque. Ça veut dire qu’à 80 ans, pris de remords, El Gaïd, aurait rejoint le rang du peuple ? On a tout de même du mal à le croire.

    On se souvient des paroles sans concession de l’ex-général Benhadid à son égard en 2015, qui le traitait d’«incapable» et de "personne insignifiante qui n’a pas le soutien de ses troupes". Le voici en train de malmener publiquement des poids lourds du Bouteflikisme. A-t-il atteint, depuis, un tel niveau de puissance que, lui, le vilain petit canard, peut manger désormais du lion ? Belle progression, mais effrayant, tout de même ?

    Peut-être qu’il serait réellement avec nous après tout ? Qu’il a été injustement inscrit dans la liste des « Ga3 » ? Que nous avions tout faux, nous, qui ne faisons que chanter des hymnes au «dégagisme», adeptes convaincus du « tous pourris »? Peut-être bien qu’à la fin, Gaïd est un type bien.

    Mais il y a comme un malaise qui subsiste chez les suspicieux que nous sommes. C’est peut-être qu’on a tous un peu en tête, sagesse populaire oblige, cette histoire du chat qui, pour convaincre la souris de sa rédemption, s’était promis publiquement d’aller à la Mecque. La souris ne craindrait donc plus rien puisque le chat deviendrait El Hadj le chat.

    Toutes ces années, donc, passées par El Gaïd sous les ordres des Bouteflika seraient-elles l’effet d’une hallucination collective ? Ses longs discours doux, généreusement édulcorés par des «fakhamatouhou» (excellence) et des « El Ab El Moudjahed » (le père de la révolution), ne sont-ils que des acouphènes imaginaires ?

    Les vidéos où on le voyait, en 2013, au Val-de-Grâce, partager un café «Facto» avec un président en peignoir, n’étaient finalement que des «fakes». Ses menaces envers ceux qui osaient critiquer, des années durant, le rouleau-compresseur anticonstitutionnel, qui a écrasé, lois et instances républicaines, ne seraient que le fruit d’un pétard géant fumé collectivement entre Algériens ?

    Ses avertissements, ultimatums, injonctions, emprisonnements de militaires ayant dénoncé la mainmise du frère Saïd sur le pouvoir, n’étaient au final, que l’effet d’El ârâr (genévrier) qui a fait croire, dans le temps, à l'halluciné Chadli, qu’il était réellement président ?

    Maintes fois l’application de la loi 102 de la constitution a été réclamée, et maintes fois, elle nous a été refusée par le vice-ministre de la Défense qui nous expliquait, les yeux rivées dans ses papiers (vieille habitude d’écoliers !), qu’il accordait tout son soutien au président qu’il savait pourtant, plus que quiconque, malade et aphone.

    À moins que dans notre détestation maladive de tout ce qui est Bouteflikiste, on est passé à côté d’une évidence astucieusement dissimulée par le général Gaïd Salah et que, pour se faire accepter par «El Issaba», il fallait faire mine d’être un membre à part entière de cette «El Issaba ». Se comporter comme elle. Voler comme elle. Acquérir des terrains et des usines à sa manière. Traiter ses affaires avec elle. Doter ses enfants d’inestimables avantages. Leur offrir des start-ups en cadeau d’anniversaire, des passeports diplomatiques pour la sixième et des études à l’étranger pour leurs dix-huit ans. Que nous sommes bêtes à la fin !

    Les placements aux Emirats ne sont que stratégie de dissimulation, les comptes off-shore, que des tenues de camouflages. Au fait, El Gaïd Salah est un agent double au service du peuple. Un agent de 80 ans qui a passé 60 ans dans l’armée, dont quinze comme responsable à part entière du désastre algérien, et qui, au crépuscule de sa vie, rejoint le peuple pour exécuter enfin sa mission. La belle affaire !

    Pour ceux qui se demandent encore comment s’est terminée l’histoire d'El Hadj le chat et de la souris, le chat a dit simplement « Bismillah » avant de n’en faire qu’une bouchée de la souris crédule, alors, qu’avant, il l’aurait mangé sans rien dire.


    Auteur
    Hebib Khalil

  • #2
    Le général-major Gaïd Salah : un flic dans la mafia
    Ça aurait pu être juste s'il n'y avait pas l'avènement des manifestations des algériens libres,s'il avait agit de la sorte il y a deux mois passés.
    A mon avis il navigue a vue, suivant la résistance populaire et son évolution, c'est peut être mieux que rien, comme ça peut être une façon de sauver les meubles,les siens biensur.

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    • #3
      La poubelle de l'histoire attend

      Son casier ne peut etre effacé que s'il raméne les clés d'el mouradia a la place audin , mais ceci est contre nature et impensable pour cette vermine qui a vecu de la mesquinerie ou meme le gnou se revolterai.
      Dernière modification par danube, 07 mai 2019, 19h33.

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      • #4
        Toutes ces années, donc, passées par El Gaïd sous les ordres des Bouteflika seraient-elles l’effet d’une hallucination collective ? Ses longs discours doux, généreusement édulcorés par des «fakhamatouhou» (excellence) et des « El Ab El Moudjahed » (le père de la révolution), ne sont-ils que des acouphènes imaginaires ?


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        • #5
          Dernière version de propagande contre le hirak pour Sissi l'impératrice

          FB - Sidahmed Zabana - 08/05/2019

          En 1953, Mossadegh arriva à la tête du gouvernement bénéficiant du soutien populaire. Ses premières décisions furent de nationaliser les sociétés pétrolières, gazières et minières et d'expulser les sociétés anglo-saxonnes. Qu'a fait l'intelligence de ces pays?Ils ont acheté des opposants et des religieux en qui les gens de foi avaient confiance. Ils ont créé les journaux, les stations de radio et lancé une campagne acharnée contre Mossadegh, répandant des mensonges, fabriquant des informations et allant même jusqu'à l'accuser d'athéisme. Le peuple lui-même a organisé de grandes manifestations qui faisait tomber Mossadegh et finit par être incarcéré. Les entreprises franco-britanniques sont revenues au pillage et au vol. Les corrompus sont revenus au pouvoir. Après 50 ans, la CIA a publié tous les documents.
          Ce qui se passe en Algérie, c'est la direction de l'armée menant une grande guerre contre la France et l’état profond.Le plan élaboré par la France - Saïd, Toufik et ses clients est comme suit:
          1 - Déclaration de la formation du Conseil de la révolution par les services de renseignement français en Belgique et menacer l'armée qu'en cas d'annonce d'une transition présidée par Zeroual et El Ibrahimi ce conseil annonce la mise en place d'un gouvernement qui sera tout de suite reconnu par la France et les pays européens.
          2 - Le lancement d'une campagne de subversion par les marionnettes de Toufik, Louisa Hanoun journaux laïcs Liberté El Magharibia .. Zeitout Hamir FR .. Etc. et concentrer leurs aboiements contre El Gaid Saleh et le but n’est pas El Gaid mais la division de l’armée pour répéter le scénario du Venezuela ...
          Ne soyez pas une arme entre les mains de l'ennemi, et vous poignardez des hommes honorables qui mènent la pire guerre contre la France. et vous serez la cause de son retour par l'état profond et les hommes corrompus qui régneront en Algérie: soyez conscients pour l'avenir de vos enfants.
          Que faire: Nous sommes tous des soldats de l'Armée Nationale Populaire et adhérons en même temps au hirak et tenons à nos revendications. Les B partiront et on organisera des élections sous la surveillance de personnes dignes de confiance et intègre.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Voilà qu'on traite tous les algeriens et activistes contre la dictature du Sissi l'impératrice, d'agents au service de la France. Au-delà de la comparaison historique erronée, puisque Mossadegh fut un homme politique éprouvé et expérimenté qui fut renversé par un coup d'état militaire, Sissi l'impératrice est non seulement un des responsables et défenseurs les plus actifs du 5ieme mandat, avec un parent qui prend la tête de la campagne après les déclarations de Sellal quant à l'obligation pour le candidat de déposer sa candidature, mais il en a été de même pour le 4ieme mandat au moment où les réseaux de l'ancien DRS cherchaient un remplaçant à Bouteflika.

            Le plus absurde dans cette histoire, c'est qu'à travers ses alliés Emiratis, où il s'est déplacé à 2 reprises en plein tourment du Hirak, la stratégie française dans la région trouve un allié de poids, déjà avec Haftar et Sissi le pharaon, mais aussi à travers les vieux réseaux de la France Afrique qui préfèrent un islamiste vieillissant et malade que toute solution démocratique qui puisse redonner un nouvel élan à se pays, et surtout risque de contaminer de grands alliés de cette Feance Afrique qui voient un régime démocratique en Algerie, issue d'une révolution Pacifique, comme un danger de mort pour les protectorats qu'ils ont toujours été...
            Dernière modification par ott, 08 mai 2019, 08h22.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              penser que gaid est un roi sans partage dans l'armée est une naïveté.
              tout ce qui se fait est l'œuvre des décisions collégiales, entre les gros bonnets de l'institution militaire.
              personnellement, je suis convaincu que beaucoup de maux (pour ne pas dire tous) de ce pays venaientt de la tête de cette institution, surtout la gangrène de la corruption, et la prédation économique (aucun richissime en algerie ne peut leur échapper), en plus de sa responsabilité essentielle dans décennie noire. Ceci s'applique à tous les hauts gradés de cette institution, mais plus particulièrement les DAF.
              maintenant, il faut savoir aussi reconnaitre les points positifs de cette armée, dont celle d'avoir préserver l'intégrité de ce pays et de l'avoir protéger contre les ennemis de l'intérieur et de l'extérieur.
              la sagesse des responsables actuels dans la gestion de la crise politique que traverse notre pays, et surtout dans leur comportement vis-à-vis des manifestants sont en leur faveur, (sous les DAF ce serait terminé en un bain de sang).
              Cependant, les démons sont toujours-là, le peuple doit rester vigilant et maintenir sa pression.

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              • #8
                L'armée est une armée populaire qui a comme devoir d'assurer la sécurité et la défense du pays. Quand on critique la face politique de cette armée, visible avec des discours hebdomadaires, on critique des blocages avérés et observable de la démocratisation du pays. Un armée qui déciderait de se mettre au service de cette democratisation serait à saluer et à glorifier. La direction de l'armée actuelle, figée dans les années 70 ne veulent pas de cette démocratisation, et vont continuer à manœuvrer pour casser toute possibilité d'alternance demicratique qui devrait commencer par la mise en place d'une constitution qui incarne le fonctionnement démocratique des institutions, et les contres pouvoirs capables d'exercer la souveraineté populaire en dehors des elections légitimes... La démocratisation de l'Algerie est un danger pour les états médiévaux, monarchiques ou pseudo républicains et leurs protecteurs occidentaux ou russes qui ont peur d'une contagion.
                Othmane BENZAGHOU

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