Encore une fois, Madame, mon sourire plus large que ta porte close, t’offre la promesse d’un fruit que tu ne goûtes que des rêves de tes yeux.
Encore une fois, je te chante le cantique que tu aimes à travers ma théâtralité légendaire. Ma générosité embrasse d’un geste ample, les lambeaux de ton histoire au delà des âges qui m’on vu naître et renaître par delà tes entrailles. Je te radote les splendeurs de ton corps et… le cœur de ton corps gémit.
Voilà une demie-rose pour la demie pensée que j’ai pour toi tous les demis des huit mars que je vivrai.
Bonne fête!
Encore une fois, je te chante le cantique que tu aimes à travers ma théâtralité légendaire. Ma générosité embrasse d’un geste ample, les lambeaux de ton histoire au delà des âges qui m’on vu naître et renaître par delà tes entrailles. Je te radote les splendeurs de ton corps et… le cœur de ton corps gémit.
Voilà une demie-rose pour la demie pensée que j’ai pour toi tous les demis des huit mars que je vivrai.
Bonne fête!
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