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L'esprit héroïque de la victoire de Diên Biên Phu brille à jamais !

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  • L'esprit héroïque de la victoire de Diên Biên Phu brille à jamais !

    Aujourd'hui, tout le Parti, tout le peuple et toute l’armée du Vietnam célèbrent avec faste le 65e anniversaire de la victoire historique de Diên Biên Phu, et cela intervient dans un contexte où toute la nation s'efforce de concrétiser la résolution du XIIe Congrès du Parti et les résolutions des congrès du parti à tous les niveaux.

    Il y a 65 ans, dans le champ de Muong Thanh, au milieu des montagnes et des forêts du Nord-Ouest, le peuple et les forces armées vietnamiens, sous la direction du Parti dirigé par le Président Hô Chi Minh, ont mené la bataille stratégique de Diên Biên Phu.

    Après 56 jours de combats acharnés, vaillants et ingénieux, l'après-midi du 7 mai 1954, le peuple et les forces armées vietnamiens ont neutralisé le dernier effort des forces françaises et ont remporté la victoire de Diên Biên Phu, qui « a résonné à travers les cinq continents et a ébranlé le monde ». Cette victoire a mis fin à la guerre de résistance contre la colonisation française et marquant un tournant décisif dans l'histoire de la lutte du peuple vietnamien pour la construction et la défense nationales.

    La victoire de Diên Biên Phu est le sommet de l'art de la guerre vietnamien. Ensemble avec Bach Dang, Chi Lang et Dông Da, la victoire de Diên Biên Phu est restée dans l'histoire nationale comme une épopée de grand héroïsme avec de brillants exemples de courage, affirmant la volonté, la capacité et l'intelligence vietnamiennes à l'époque de Hô Chi Minh.

    Le triomphe à Diên Biên Phu a complètement fait échouer le plan de Navarre, obligeant le gouvernement français à signer les accords de Genève qui marque la fin de la guerre et rétablisse la paix et l'indépendance des trois pays indochinois.

    Le Vietnam est devenu un pionnier du mouvement de libération nationale en Asie, en Afrique et en Amérique latine. La victoire de Diên Biên Phu a toujours été une source de fierté pour des générations de Vietnamiens et pour tous ceux qui luttent pour leur indépendance et leur liberté dans le monde.

    Diên Biên Phu était une victoire du féroce patriotisme et de l’indomptabilité du peuple vietnamien, de la politique révolutionnaire d’indépendance nationale du Parti, alignée sur le socialisme et de la stratégie de guerre globale et à long terme du peuple.

    C’est aussi le résultat de la grande unité nationale, de la mise à profit de forces internes et de l’assistance de la communauté internationale ainsi que de l'alliance de combat fidèle entre le Vietnam, le Laos et le Cambodge.

    Poursuivant la tradition héroïque, la détermination à se battre jusqu'à la victoire finale, et s'appuyant sur la précieuse expérience de la victoire de Diên Biên Phu, le peuple et les forces armées vietnamiens, sous la direction du Parti et du Président Hô Chi Minh, ont surmonté toutes les difficultés pour gagner la guerre de résistance contre les États-Unis, réunifier le pays et faire entrer la nation dans une ère d’indépendance, de liberté et de socialisme.

    Après plus de 30 ans de mise en œuvre de la politique du Renouveau (Dôi Moi) du Parti, avec les efforts de l'ensemble du Parti, du peuple et des forces armées, le Vietnam a enregistré des résultats significatifs dans presque tous les aspects socio-économiques, de sécurité et de défense, et de relations extérieures.

    65 ans ont passé, mais la grande ampleur et la signification historique de la victoire de Diên Biên Phu restent un grand encouragement pour le peuple vietnamien sur la voie de la rénovation nationale.

    Dans la nouvelle période, le parti, le peuple et les forces armées continueront à valoriser l’esprit patriotique, à se renforcer eux-mêmes, à saisir de manière proactive les opportunités, à surmonter toutes les difficultés et tous les défis, à promouvoir la grande unité nationale et à faire appel à l’aide internationale pour concrétiser avec succès la cause de la construction et de la défense du Vietnam socialiste, pour un peuple riche et un pays puissant, démocratique, équitable et civilisé.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Vietnam ; Une révolution du peuple et par le peuple qui etait déterminé à libérer leur territoire !!
    en suite les ricains se sont cassés les dents ..

    Aujourd'hui, tout le Parti, tout le peuple et toute l’armée du Vietnam célèbrent avec faste le 65e anniversaire de la victoire historique de Diên Biên Phu,
    .
    Diên Biên Phu :Armée française humiliée
    Diên Biên Phu :Une défaite de l’État français,
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      Le général Giap l'artisan de cette victoire a été mis a la retraite forcée durant la période 64-70!!
      précisément tout juste après l'offensive Vietnamienne du Têt contre l'armée américaine en 68.
      Pourquoi !???
      Dernière modification par Anzoul, 10 mai 2019, 00h08.

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      • #4
        Le colonialisme est un mauvais eleve

        Il restera dans l'histoire l'un des grands chefs de guerre du XXe siècle, le seul à avoir successivement défait la France et tenu tête aux Etats-Unis d'Amérique. Le général Vo Nguyên Giap est mort vendredi 4 octobre à l'âge de 102 ans.

        La prise du camp retranché français de Diên Biên Phu en mai 1954 et la chute de Saïgon en avril 1975 demeurent les faits d'armes de ce leader au calibre exceptionnel : autorité personnelle, génie de la logistique, tacticien hors pair. Ces succès, indéniables, font du général Vo Nguyên Giap le dernier d'une lignée de grands stratèges vietnamiens qui, au fil des siècles, ont barré avec succès la route du Sud aux Chinois après les avoir chassés de leur sol. Pour sa part, Giap a largement contribué à faire échouer le retour des Français au Vietnam et, dans la foulée, en pleine Guerre froide, à casser la relève que voulaient assurer les Américains.

        Né le 25 août 1911 dans un village du Vietnam central, issu d'une famille de modestes lettrés, Giap a vécu sa jeunesse dans une atmosphère de nationalisme militant : démêlés avec la Sûreté française, dont deux années en prison, de 1930 à 1932. Il passe son bac (français) en 1934, puis enseigne l'histoire et le français à Hanoï, au lycée Thang Long, creuset de militants anticolonialistes. En 1937, à l'époque du Front populaire, il adhère au PC clandestin vietnamien.

        Dès lors, son itinéraire est tracé. En mai 1940, en compagnie de Pham Van Dông, futur premier ministre (1954-1986), Giap se rend en Chine pour y rencontrer, pour la première fois, Hô Chi Minh, fondateur du PC en 1930. Il a épousé en 1939 une militante originaire de la même province que lui, qui lui a donné un enfant en 1940. Il ne la reverra jamais : peu de temps après son départ, elle est arrêtée par la Sûreté française. Vicieusement torturée, elle meurt en prison, dit-on, en se suicidant. Giap ne l'apprendra que quelques années plus tard.

        FASCINÉ PAR BONAPARTE

        Au Lycée Thang Long, à la veille de la seconde guerre mondiale, ses élèves l'avaient surnommé "le général" ou bien, plus précisément, "Napoléon". Si Giap s'est nourri des expériences de ses illustres prédécesseurs qui, au fil des siècles, ont infligé de cinglantes défaites aux envahisseurs chinois, il a aussi étudié dans le détail les campagnes de Bonaparte. Les premiers lui ont appris l'art d'utiliser le terrain, de s'adosser à la cordillère indochinoise, d'assurer ses arrières, d'attirer dans des pièges ses adversaires.

        Portrait diffusé en 1976 par l'agence nord-vietnamienne du général Nguyen Giap, ministre de la défense, alors qu'il prenait ses fonctions de vice-premier ministre du gouvernement de la République socialiste du Vietnam.
        Portrait diffusé en 1976 par l'agence nord-vietnamienne du général Nguyen Giap, ministre de la défense, alors qu'il prenait ses fonctions de vice-premier ministre du gouvernement de la République socialiste du Vietnam. AFP
        Des tactiques de Bonaparte, Giap a retenu en particulier "l'effet de surprise". En ce qui concerne Diên Biên Phu, nous a-t-il raconté un demi-siècle plus tard, "le chef de nos conseillers chinois s'était prononcé pour une attaque rapide" du camp retranché français situé dans une plaine limitrophe du Laos. L'attaque est fixée au 25 janvier 1954, à 17 heures, soit peu avant la tombée de la nuit. A la dernière minute, Giap s'accorde un délai supplémentaire de 24 heures. Puis il "donne l'ordre de retirer les troupes, y compris l'artillerie". "La décision la plus difficile de ma carrière de commandant en chef".

        Pourquoi ? "Pour attaquer, j'ai attendu d'entendre à la radio le général Navarre déclarer que la marée Vietminh est étale...", nous a-t-il expliqué. Navarre est alors le chef du corps expéditionnaire français en Indochine et c'est lui qui a décidé d'établir un camp retranché proche de la frontière entre le Laos et le Vietnam pour y attirer les divisions du Vietminh. "Etale", répète Giap en souriant. "Et je suis passé à l'action !" Le 23 mars. Le PC du général de Castries, commandant du camp retranché, sera occupé le 7 mai, moins de deux mois plus tard.

        Giap nous a également rapporté le développement suivant. Quelques semaines avant l'ultime "offensive générale" communiste qui se terminera avec la capitulation de Saïgon le 30 avril 1975, la rade stratégique de Danang, dans le centre du pays, est encerclée par les troupes communistes. "Le gouvernement de Saïgon, celui de Nguyên Van Thiêu, a donné l'ordre au chef local, le général Ngô Quang Truong, de tenir 'jusqu'à la mort'. Je donne l'ordre à la division 312 d'attaquer Danang. Son commandant me répond : 'L'ennemi est assez fort, je vous demande sept jours'. Je lui dis : 'Je prévois que Ngô Quang Truong va se retirer par la mer. Combien de temps lui faudra-t-il ?'".

        Ecouter le cinéaste Pierre Schœndœrffer sur le général Giap, dans l'émission "Cinq colonnes à la une", en 1964.

        "Au moins trois jours", finit par lui répondre, en communication radio, le chef de la 312. "Alors, je vous donne trois jours. Ordre est donné aux troupes de se déplacer en plein jour, de descendre la RN1. Vous serez bombardés par l'artillerie de la marine adverses, mais cela n'est pas grave", dit Giap. "Ainsi, a-t-il poursuivi, non seulement la poche de Danang est réduite mais nous avons disposé de plusieurs divisions supplémentaires pour l'attaque finale de Saïgon". "Je leur ai simplement dit : 'foncez sur Saïgon !'". Une fois de plus, l'effet de surprise, la "concentration des troupes", "l'audace", voilà ce que Giap a également retenu de son analyse des campagnes de Bonaparte (il ne parle pas de Napoléon Ier, l'empereur, le politique, qui le fascine nettement moins).

        CONFIANCE TOTALE DE SES LIEUTENANTS

        Créée seulement à la fin de seconde guerre mondiale, l'armée du Vietminh s'exécute sans broncher. En 2004, à notre grand étonnement, Giap s'est exclamé : "Le retour de l'île d'Elbe, c'est formidable !", dans une allusion aux troupes royales envoyées par Louis XVIII pour barrer la route à l'empereur et qui, au lieu de le faire, se rallient à ce dernier. Pour Giap, c'est un clin d'œil aux rapports qu'il a établis avec ses propres lieutenants : ils lui obéissent au doigt et à l'œil, ils lui font une totale confiance.

        Giap s'est également avéré un génie de la logistique. Il nous a rappelé un jour la formule utilisée par Bonaparte lors de la campagne d'Italie : "Là où une chèvre passe, un homme peut passer ; là où un homme passe, un bataillon peut passer". "A Diên Biên Phu, avait-il poursuivi, pour livrer un kilo de riz aux soldats qui menaient le siège, il fallait en consommer quatre pendant le transport. Nous avons utilisé 260 000 porteurs, plus de vingt mille bicyclettes, 11 800 radeaux, 400 camions et 500 chevaux". Sous protection d'une forêt dense, les pièces d'artillerie du Vietminh ont été démontées pour être acheminées sur les collines qui surplombent le camp retranché, où elles ont été réassemblées.

        Toutefois, dans le domaine de la logistique, la réalisation la plus étonnante a été, dans les années 60, la "piste Hô-Chi-Minh", immense dédale de pistes abritées dans la jungle et de boyaux qui descendent du nord vers le sud en empruntant le sud laotien et le nord-est cambodgien afin de contourner le dispositif de défense américain dans le Sud. Une "voie à sens unique", diront plus tard les bô dôi, les bidasses nord-vietnamiens. Mais les Américains ne parviendront jamais à couper cette ligne de ravitaillement – hommes, munitions, matériels, chars, blindés – même en recourant à des bombardements massifs, aux défoliants, aux parachutages de centaines de milliers de mines et de pièges anti-personnels.

        L'AUTORITÉ DILUÉE D'HÔ CHI MINH

        Le général Giap dans son PC de Dien Bien Phu.
        Le général Giap dans son PC de Dien Bien Phu. AFP/AFP
        Toutefois, personne n'est prophète à domicile et Giap en fera l'amère expérience. Père d'une indépendance qu'il a proclamée le 2 septembre 1945 devant une foule enthousiaste d'un million de gens à Hanoï, Hô Chi Minh a toujours dû composer avec les éléments intransigeants qui dominent le politburo du PC vietnamien. A partir du milieu des années 60, son autorité se dilue. Il devient une icône sans grande influence plusieurs années avant sa mort en 1969. Le général Giap perd son principal point d'appui.

        Entre Giap et Lê Duân, éternel secrétaire général du PC, le torchon brûle dès 1966, à telle enseigne que, quand les communistes attaquent une centaine de villes du Sud en 1968 – la fameuse offensive du Têt –, Giap a été envoyé en Europe de l'Est. Il ne sera rappelé au commandement en chef, avec tous pouvoirs, qu'en 1972 pour organiser avec succès la défense du Nord, notamment de Hanoï, contre les terribles bombardements aériens américains auxquels participent les B-52, forteresses volantes.

        La victoire de 1975 place Giap sur la touche, à l'exemple d'autres stratèges vietnamiens, jugés trop brillants et trop influents pour ne pas être dangereux. Ce fût notamment le cas, au début du XVe siècle, de Nguyên Trai, fin lettré et grand général, condamné à l'exil intérieur pour ne pas faire d'ombre à son empereur, Lê Loi.

        En 1976, année de la réunification officielle du Vietnam, Giap perd le commandement des forces armées. Quatre ans plus tard, le ministère de la défense lui est retiré. Lors du Ve Congrès du PC, en 1982, il n'est pas réélu au bureau politique. En public, Giap ne dit jamais rien et continue d'avoir recours à la langue de bois du communiste discipliné. On le montre aux anniversaires des victoires et ses propos sont censurés. Il lui arrive de passer des mois sans apparaître en public. La propagande officielle lui refuse même la reconnaissance du rôle décisif qu'il a joué dans la victoire de 1975, en transformant, de main de maître, le repli des troupes du Sud en débâcle.

        Ecouter le documentaire "Giap, un mythe vietnamien", diffusée dans l'émission Interception de France Inter en mars 2012.

        Quand Lê Duc Tho – l'un des ténors du noyau dur du PC et le vis-à-vis de Henry Kissinger lors des négociations de Paris – s'éteint en 1990, Giap tente de reprendre en mains le parti. Mais sa tentative, à l'époque de l'effondrement du Mur de Berlin, fait long feu. Au cours d'un débat à huis clos du Comité central du PC, un délégué lui arrache même des mains un micro, selon le général Pham Xuân Ân (1927-2006). En 1996, Giap est chassé du Comité central et perd, six mois plus tard, son portefeuille de vice-premier ministre en charge de superviser l'économie.

        RETOUR SUR LA SCÈNE POLITIQUE

        Puis, le temps fait son œuvre, de nouvelles générations de dirigeants se mettent en place, l'information circule plus librement avec le développement exponentiel de la Toile. Giap est toujours là. Il retrouve des coudées plus franches. Comme il a gardé toute sa tête, il en profite pour dire de temps à autre son mot. C'est le cas lorsqu'éclate, en 2009, la controverse sur l'exploitation par des Chinois des énormes gisements à ciel ouvert de bauxite sur les hauts plateaux du Sud.

        Les Français, puis les Soviétiques, avaient refusé de le faire, de peur de provoquer un désastre écologique. Giap écrit son hostilité à ce projet à deux reprises au bureau politique. Il connaît le dossier : il était encore ministre, en charge de l'économie, quand, au début des années 90, les experts soviétiques sont venus établir leur rapport. La campagne contre l'exploitation de la bauxite place le gouvernement sur la défensive et le contraint à des ambitions plus modestes.

        Devenu centenaire en 2011, très affaibli physiquement, souvent sous perfusion et hospitalisé, Giap ne s'est pratiquement plus manifesté. Entre-temps, comme tous les Vietnamiens qui ont mené une vie censée être exemplaire, Giap a commencé, de son vivant, à faire l'objet d'un culte. Il est en passe de devenir un génie tutélaire. Pour ne pas être de reste, le gouvernement a décidé, en 2012, de lui consacrer un musée.

        Hô Chi Minh a eu un réflexe de génie. Quand Giap est allé le rejoindre en juin 1940 dans le sud de la Chine, il n'était âgé que de 29 ans et n'avait aucune formation militaire. Comment le révolutionnaire déjà chevronné – l'oncle Hô avait alors la cinquantaine – a-t-il deviné que le jeune militant avait l'étoffe d'un grand capitaine ? Hô lui a confié la formation des forces d'autodéfense puis la fondation de l'armée populaire vietnamienne. Dès 1948, il en a fait un général de corps d'armée, rang que Giap occupait encore le jour de sa mort.

        Jean-Claude Pomonti
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #5
          pourquoi !???
          jette un coup d oeil dans les tiroirs du mossad
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Une autre version voudrait que Giap était a deux doigts d'être fusillé car accusé par le PC Vietnamien d'être un agent aux soldes des soviétiques,ses allés retours vers Moscou ont renforcé cette idée alors qu'il n'était chez les soviétiques que pour concrétiser les énormes aides économiques et militaires données par eux .
            En tout cas il restera dans l'histoire comme un fin stratège malgré les grandes pertes subies par ses troupes.

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            • #7
              jette un coup d oeil dans les tiroirs du mossad
              T'as pas pu t'empêcher de revenir au bercail de naissance,
              Explique la relation entre le Mossad et Giap a le spécialiste.

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              • #8
                C toi l agent de la hasbora a nous l expliquer
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  C'est toi qui montre des talents de barbouze soviétique en introduisant le Mossad dans ton topic, considèrant ceci je pense que t'es bien tuyauté pour nous informer,
                  Ne crains rien ça doit être déclassifiée cette affaire,pas de risque d'être atomisé par le fsb

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                  • #10
                    @ANZOUL

                    Le peuple vietnamien avait écrit une page glorieuse de son histoire .
                    Elle reste indélébile dans l histoire contemporaine
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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