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Le coup d'État,comme précisement en 1965, était casqué, armé, botté, il a mis des chars et des militaires dans la rue, il a investit des lieux stratégiques du pouvoir: maison de la radio et télévision, universités etc... On voyait du kaki dans la rue, de la tenue de camouflage et des armes à feu, des blindés et des mouvements de troupe. C'était clair si j'ose dire..
Aujourd'hui, avec Gaid Salah, nous sommes dans une autre dimension plus complexe : Le pronunciamiento !
Ce dernier se distingue des autres types d'interventions militaires, en particulier d'un coup d'État (ou putsch) conventionnel, par son caractère très subtil : il consiste en une démonstration de force sans recherche d'affrontement. Il commence par de multiples déclarations publiques, tournée des regions militaires pour s'assurer de leurs alliances et ainsi se différencier des coups d'État classiques et s'exposer aux désaprobations nationales et inernationales . Ensuite, il a éradiqué le régime de Bouteflika et ses intermédiaires. sans qu'il y ait dissolution du Parlement ou suspension de la Constitution.
Maintenant et pour poursuivre le processus, sous le masque de "son pronunciamiento", Gaid Salah feint de ne pas vouloir viser à prendre le pouvoir mais uniquement à provoquer une alternance politique.
Et c'est là où réside toute la subtilité et la complexité de la crise ouverte.
Aujourd'hui, avec Gaid Salah, nous sommes dans une autre dimension plus complexe : Le pronunciamiento !
Ce dernier se distingue des autres types d'interventions militaires, en particulier d'un coup d'État (ou putsch) conventionnel, par son caractère très subtil : il consiste en une démonstration de force sans recherche d'affrontement. Il commence par de multiples déclarations publiques, tournée des regions militaires pour s'assurer de leurs alliances et ainsi se différencier des coups d'État classiques et s'exposer aux désaprobations nationales et inernationales . Ensuite, il a éradiqué le régime de Bouteflika et ses intermédiaires. sans qu'il y ait dissolution du Parlement ou suspension de la Constitution.
Maintenant et pour poursuivre le processus, sous le masque de "son pronunciamiento", Gaid Salah feint de ne pas vouloir viser à prendre le pouvoir mais uniquement à provoquer une alternance politique.
Et c'est là où réside toute la subtilité et la complexité de la crise ouverte.