Le 360.ma confond les positions politiques de Monsieur Boudiaf avec celles de l'icône marocaine Medhi Ben Barka, le plus intelligent et célèbre marocain de tous les temps.
Il faut savoir que lors de son accord à un retour en Algérie, M. Boudiaf avait accepté toutes les conditions posées par les décideurs:
"Ces questions renvoient à l’identité de ceux qu’on appelle les « décideurs ». Ce terme fut employé pour la première fois par Mohamed Boudiaf à son retour d’exil, le 16 janvier 1992."
Le pays vivait alors une grave crise politique après la démission, imposée par l’armée, du président Chadli Bendjedid et l’annulation, par le Haut Conseil de sécurité (HCS), des élections législatives, dont le premier tour avait vu la victoire du Front islamique du salut (FIS). « J’ai parlé avec les décideurs et j’ai accepté de répondre à l’appel de l’Algérie », déclara la figure historique du Front de libération nationale (FLN) pour justifier son accession à la tête du Haut Comité d’État (HCE), une instance provisoire destinée à pallier le vide constitutionnel né du départ du président Bendjedid-.
Le Monde diplomatique
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- L’ancien chef d’Etat algérien Mohamed Boudiaf a participé à la récupération des provinces du sud du Maroc. C’est ce qu’affirme un site pro-Kabyle.
Si l’on savait que Mohamed Boudiaf, ancien président algérien assassiné en 1992, a passé une grande partie de son exil dans la ville marocaine de Kénitra, l’on connaissait beaucoup moins ses prises de position favorables à la marocanité du Sahara. Le soutien de Boudiaf à la cause marocaine aurait été tel qu’il a participé, en compagnie des 350 000 marocains, à la Marche verte en 1975. Une information révélée par le site algérien pro-Kabyle ************.
« Mohamed Boudiaf, le vrai père du FLN, reconnaissait la marocanité des régions sud de ce pays frère », affirme le portail, avant de commenter : « il (Boudiaf) savait que c’est grâce au soutien du Maroc que l’Algérie a accédé à son indépendance en 1962 ». Ennemi juré de l’ancien président Houari Boumedienne, Mohamed Boudiaf n’est pas le seul cadre historique du FLN à avoir ouvertement désavoué le soutien officiel de l’Algérie au Polisario.
Le site pro-Kabyle nous apprend ainsi que « les chefs historiques de la guerre de libération algérienne étaient tous contre le régime de Houari Boumedienne et ont affirmé publiquement leur soutien au Maroc sur la question du Polisario ». Ce qui est le cas de l’ancien dirigeant du Front des forces socialistes (FFS), Houcine Aït Ahmed, qui, commente le site, «s’est de tout temps aligné du côté du Maroc qu’il considère aussi comme son pays»-.
le 360.ma le 01/11/2015 à 14h45
Il faut savoir que lors de son accord à un retour en Algérie, M. Boudiaf avait accepté toutes les conditions posées par les décideurs:
"Ces questions renvoient à l’identité de ceux qu’on appelle les « décideurs ». Ce terme fut employé pour la première fois par Mohamed Boudiaf à son retour d’exil, le 16 janvier 1992."
Le pays vivait alors une grave crise politique après la démission, imposée par l’armée, du président Chadli Bendjedid et l’annulation, par le Haut Conseil de sécurité (HCS), des élections législatives, dont le premier tour avait vu la victoire du Front islamique du salut (FIS). « J’ai parlé avec les décideurs et j’ai accepté de répondre à l’appel de l’Algérie », déclara la figure historique du Front de libération nationale (FLN) pour justifier son accession à la tête du Haut Comité d’État (HCE), une instance provisoire destinée à pallier le vide constitutionnel né du départ du président Bendjedid-.
Le Monde diplomatique
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- L’ancien chef d’Etat algérien Mohamed Boudiaf a participé à la récupération des provinces du sud du Maroc. C’est ce qu’affirme un site pro-Kabyle.
Si l’on savait que Mohamed Boudiaf, ancien président algérien assassiné en 1992, a passé une grande partie de son exil dans la ville marocaine de Kénitra, l’on connaissait beaucoup moins ses prises de position favorables à la marocanité du Sahara. Le soutien de Boudiaf à la cause marocaine aurait été tel qu’il a participé, en compagnie des 350 000 marocains, à la Marche verte en 1975. Une information révélée par le site algérien pro-Kabyle ************.
« Mohamed Boudiaf, le vrai père du FLN, reconnaissait la marocanité des régions sud de ce pays frère », affirme le portail, avant de commenter : « il (Boudiaf) savait que c’est grâce au soutien du Maroc que l’Algérie a accédé à son indépendance en 1962 ». Ennemi juré de l’ancien président Houari Boumedienne, Mohamed Boudiaf n’est pas le seul cadre historique du FLN à avoir ouvertement désavoué le soutien officiel de l’Algérie au Polisario.
Le site pro-Kabyle nous apprend ainsi que « les chefs historiques de la guerre de libération algérienne étaient tous contre le régime de Houari Boumedienne et ont affirmé publiquement leur soutien au Maroc sur la question du Polisario ». Ce qui est le cas de l’ancien dirigeant du Front des forces socialistes (FFS), Houcine Aït Ahmed, qui, commente le site, «s’est de tout temps aligné du côté du Maroc qu’il considère aussi comme son pays»-.
le 360.ma le 01/11/2015 à 14h45
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