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Les deux anciens ministres Chakib Khalil et Abdeslam Bouchouareb, dont les noms ont été cités dans plusieurs dossiers de corruption en Algérie, auraient quitté le pays avant l’accélération des actions de la justice ayant visé plusieurs hauts responsables, rapporte le site d’information “TSA”.
Selon la même source, Abdeslam Bouchouareb soupçonné entre autres, de dilapider plus de 7 000 milliards de centimes (1 milliard de dollars), lorsqu’il occupait le poste de ministre de l’industrie, se trouve depuis le début de mois de février en France.
Le média francophone précise également que l’ancien ministre de l’énergie et des mines, Chakib Khalil est reparti aux Etats-Unis vers le 15 février, alors qu’il est cité dans deux enquêtes judiciaires sur « une infraction à la réglementation des changes et des transferts de capitaux vers et depuis l’étranger », et la « signature par Sonatrach de deux contrats en infraction de la loi avec des partenaires étrangers ».
« Avoir confiance en la justice »
Chakib Khelil, qui avait réagi à l’ouverture par la Cour suprême de deux enquêtes judiciaires contre lui, dit avoir confiance en la justice algérienne. Il a déclaré le 25 avril, sur sa page officielle sur Facebook, que pour le moment « tout le monde doit respecter la justice et s’engager à garder le silence ». « Nous sommes à un moment critique et une situation inopportune pour accuser et tenter d’entacher l’honneur des autres. L’insulte n’est pas de la moralité et des vertus. Ceux qui accusent doivent apporter des preuves » a-t-il déclaré.
L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines entre 1999 et 2010 a appelé les Algériens à laisser de côté « ces faux débats » pour se concentrer sur « un dialogue efficace sur la façon de sortir de ce sombre tunnel et de trouver le plutôt possible, les solutions les plus efficaces et les plus fructueuses pour une sortie de crise », a-t-il indiqué.
Par Ahmed Oul 14 mai 2019 à 16:01
© Observ'Algérie -
Selon la même source, Abdeslam Bouchouareb soupçonné entre autres, de dilapider plus de 7 000 milliards de centimes (1 milliard de dollars), lorsqu’il occupait le poste de ministre de l’industrie, se trouve depuis le début de mois de février en France.
Le média francophone précise également que l’ancien ministre de l’énergie et des mines, Chakib Khalil est reparti aux Etats-Unis vers le 15 février, alors qu’il est cité dans deux enquêtes judiciaires sur « une infraction à la réglementation des changes et des transferts de capitaux vers et depuis l’étranger », et la « signature par Sonatrach de deux contrats en infraction de la loi avec des partenaires étrangers ».
« Avoir confiance en la justice »
Chakib Khelil, qui avait réagi à l’ouverture par la Cour suprême de deux enquêtes judiciaires contre lui, dit avoir confiance en la justice algérienne. Il a déclaré le 25 avril, sur sa page officielle sur Facebook, que pour le moment « tout le monde doit respecter la justice et s’engager à garder le silence ». « Nous sommes à un moment critique et une situation inopportune pour accuser et tenter d’entacher l’honneur des autres. L’insulte n’est pas de la moralité et des vertus. Ceux qui accusent doivent apporter des preuves » a-t-il déclaré.
L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines entre 1999 et 2010 a appelé les Algériens à laisser de côté « ces faux débats » pour se concentrer sur « un dialogue efficace sur la façon de sortir de ce sombre tunnel et de trouver le plutôt possible, les solutions les plus efficaces et les plus fructueuses pour une sortie de crise », a-t-il indiqué.
Par Ahmed Oul 14 mai 2019 à 16:01
© Observ'Algérie -
Algérie : Chakib Khelil réagit aux accusations de la justice
Algérie – L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil a réagi, ce mercredi 24 avril, à l’ouverture par la Cour suprême de deux enquêtes judiciaires sur « une infraction à la réglementation des changes et des transferts de capitaux vers et depuis l’étranger », et la « signature par Sonatrach de deux contrats en infraction de la loi avec des partenaires étrangers ».
Chakib Khelil, qui dit avoir confiance en la justice algérienne, estime que pour le moment « tout le monde doit respecter la justice et s’engager à garder le silence ». « Nous sommes à un moment critique et une situation inopportune pour accuser et tenter d’entacher l’honneur des autres. L’insulte n’est pas de la moralité et des vertus. Ceux qui accusent doivent apporter des preuves », a-t-il répondu aux commentaires des internautes sur sa page Facebook officielle.
L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines entre 1999 et 2010 a appelé les Algériens à laisser de côté « ces faux débats » pour se concentrer sur « un dialogue efficace sur la façon de sortir de ce sombre tunnel et de trouver le plutôt possible, les solutions les plus efficaces et les plus fructueuses pour une sortie de crise », a-t-il indiqué.
Pour rappel, la Cour suprême a annoncé hier, avoir enregistré deux dossiers judiciaires sur Chakib Khelil, conformément à l’article 573 du code de procédure pénale qui stipule que : « lorsqu’un membre du Gouvernement, un magistrat de la Cour suprême, un wali, un président de Cour ou un procureur général près une Cour, est susceptible d’être inculpé d’un crime ou d’un délit commis dans l’exercice ou par l’exercice de ses fonctions, le procureur de la République saisi de l’affaire, transmet le dossier, par voie hiérarchique, au procureur général près la Cour suprême qui désigne un membre de la Cour suprême aux fins de procéder à une information ».
Par Ahmed Oul 25 avril 2019 à 14:20
Algérie – L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil a réagi, ce mercredi 24 avril, à l’ouverture par la Cour suprême de deux enquêtes judiciaires sur « une infraction à la réglementation des changes et des transferts de capitaux vers et depuis l’étranger », et la « signature par Sonatrach de deux contrats en infraction de la loi avec des partenaires étrangers ».
Chakib Khelil, qui dit avoir confiance en la justice algérienne, estime que pour le moment « tout le monde doit respecter la justice et s’engager à garder le silence ». « Nous sommes à un moment critique et une situation inopportune pour accuser et tenter d’entacher l’honneur des autres. L’insulte n’est pas de la moralité et des vertus. Ceux qui accusent doivent apporter des preuves », a-t-il répondu aux commentaires des internautes sur sa page Facebook officielle.
L’ancien ministre de l’Énergie et des Mines entre 1999 et 2010 a appelé les Algériens à laisser de côté « ces faux débats » pour se concentrer sur « un dialogue efficace sur la façon de sortir de ce sombre tunnel et de trouver le plutôt possible, les solutions les plus efficaces et les plus fructueuses pour une sortie de crise », a-t-il indiqué.
Pour rappel, la Cour suprême a annoncé hier, avoir enregistré deux dossiers judiciaires sur Chakib Khelil, conformément à l’article 573 du code de procédure pénale qui stipule que : « lorsqu’un membre du Gouvernement, un magistrat de la Cour suprême, un wali, un président de Cour ou un procureur général près une Cour, est susceptible d’être inculpé d’un crime ou d’un délit commis dans l’exercice ou par l’exercice de ses fonctions, le procureur de la République saisi de l’affaire, transmet le dossier, par voie hiérarchique, au procureur général près la Cour suprême qui désigne un membre de la Cour suprême aux fins de procéder à une information ».
Par Ahmed Oul 25 avril 2019 à 14:20