Par Pica Ouazi 15 mai 2019
L’islamologue Saïd Djebelkhir a soutenu, dans une émission télévisée, que le jeûne est un choix et non une obligation. Saïd Djebelkhir s’est aussi référé à des textes coraniques pour expliquer que la liberté de culte est garantie par le coran.
En ce qui concerne le jeûne, l’islamologue est catégorique : « le jeûne n’est pas obligatoire, c’est un choix même s’il est préférable de jeûner, vous pouvez nourrir un ou plusieurs pauvres au lieu de jeûner ».
Pour mieux étayer ses arguments, Saïd Djebelkhir fait référence à l’époque du prophète : « du temps du prophète, ses compagnons étaient divisés entre ceux qui font carême et ceux qui ne le font pas ». Il souligne que c’était dans les conditions normales en temps de paix à Médine. Il ajoute que sur le plan religieux, « celui qui peut jeûner et qui ne veut pas le faire a le droit de nourrir un pauvre, chaque journée, est équivalente à deux repas selon les exégètes ».
L’islamologue souligne qu’« à la base à Médine, les musulmans ne faisaient pas tous carême, ceux qui jeûnent et ceux qui ne le faisaient pas vivaient ensemble sans que personne ne criminalise l’autre ».
Saïd Djebelkhir conclut : « en tant qu’islamologue, je pense que l’acte de jeûner est un choix dans l’islam, je parle du ramadan par ce qu’il a commencé ainsi dans le coran et dans la législation islamique ».
Pour rappel Saïd Djebelkhir est journaliste, islamologue et chercheur en soufisme. Il est aussi connu par son militantisme au virtuel et au réel contre les fatwas wahhabites, allant jusqu’à défier les intégristes.
OBSDZ
L’islamologue Saïd Djebelkhir a soutenu, dans une émission télévisée, que le jeûne est un choix et non une obligation. Saïd Djebelkhir s’est aussi référé à des textes coraniques pour expliquer que la liberté de culte est garantie par le coran.
En ce qui concerne le jeûne, l’islamologue est catégorique : « le jeûne n’est pas obligatoire, c’est un choix même s’il est préférable de jeûner, vous pouvez nourrir un ou plusieurs pauvres au lieu de jeûner ».
Pour mieux étayer ses arguments, Saïd Djebelkhir fait référence à l’époque du prophète : « du temps du prophète, ses compagnons étaient divisés entre ceux qui font carême et ceux qui ne le font pas ». Il souligne que c’était dans les conditions normales en temps de paix à Médine. Il ajoute que sur le plan religieux, « celui qui peut jeûner et qui ne veut pas le faire a le droit de nourrir un pauvre, chaque journée, est équivalente à deux repas selon les exégètes ».
L’islamologue souligne qu’« à la base à Médine, les musulmans ne faisaient pas tous carême, ceux qui jeûnent et ceux qui ne le faisaient pas vivaient ensemble sans que personne ne criminalise l’autre ».
Saïd Djebelkhir conclut : « en tant qu’islamologue, je pense que l’acte de jeûner est un choix dans l’islam, je parle du ramadan par ce qu’il a commencé ainsi dans le coran et dans la législation islamique ».
Pour rappel Saïd Djebelkhir est journaliste, islamologue et chercheur en soufisme. Il est aussi connu par son militantisme au virtuel et au réel contre les fatwas wahhabites, allant jusqu’à défier les intégristes.
OBSDZ
Commentaire