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Mais alors pourquoi les FARces n'ont jamais tenté de libérer les deux présides ibériques à l'inverse de l'îlot à chèvres de Persil en 2002?
- La contrebande de marchandises avec les deux villes de Melilla et Sebta a un coût économique énorme, en plus, bien entendu, de son coût humain. Un rapport diffusé par des médias espagnols met à nu le phénomène.
La contrebande avec les deux présides occupés de Melilla et de Sebta porte un coup dur à l’économie marocaine et porte préjudice à sa politique sociale, tout en souillant son image.
Selon le quotidien Al Ahdath Al Maghribia, qui se penche sur ce sujet dans son édition de ce jeudi 16 mai, cette contrebande fait perdre au Maroc environ trois milliards de dirhams par an. Ces chiffres ont été dévoilés par un rapport rendu public par des médias espagnols, fait remarquer le quotidien qui précise qu’un haut responsable marocain à la Douane avait déjà mis à nu les dégâts occasionnés par ce phénomène. Et de souligner que le Maroc, conscient de l’ampleur des dégâts, a décidé de combattre le fléau à la racine.
C’est ainsi qu’un plan a été mis en place pour d'abord freiner le mal, le circonscrire, avant de le neutraliser définitivement. La lutte s’effectuera par étape, fait remarquer le journal.
Le préside occupé de Sebta sera le plus touché par la fin de la contrebande, étant donné que son produit intérieur brut est alimenté à hauteur de 25% des recettes de la contrebande. Sur l’axe du nord, cette contrebande fait perdre au Maroc entre deux et trois milliards de dirhams par an, révèlent les mêmes sources. Face aux pertes, il y a aussi des emplois et une source de revenus pour plusieurs familles.
Chose que des sources espagnoles mettent en avant pour souligner que le Maroc ne se hasardera pas à fermer définitivement les circuits de cette contrebande. Par contre, ajoute le quotidien, des sources du côté marocain affirment que les jours de cette contrebande sont comptés, puisque le mal est beaucoup plus important que les bénéfices qu’elle pourrait rapporter-.
Le 360.ma
- La contrebande de marchandises avec les deux villes de Melilla et Sebta a un coût économique énorme, en plus, bien entendu, de son coût humain. Un rapport diffusé par des médias espagnols met à nu le phénomène.
La contrebande avec les deux présides occupés de Melilla et de Sebta porte un coup dur à l’économie marocaine et porte préjudice à sa politique sociale, tout en souillant son image.
Selon le quotidien Al Ahdath Al Maghribia, qui se penche sur ce sujet dans son édition de ce jeudi 16 mai, cette contrebande fait perdre au Maroc environ trois milliards de dirhams par an. Ces chiffres ont été dévoilés par un rapport rendu public par des médias espagnols, fait remarquer le quotidien qui précise qu’un haut responsable marocain à la Douane avait déjà mis à nu les dégâts occasionnés par ce phénomène. Et de souligner que le Maroc, conscient de l’ampleur des dégâts, a décidé de combattre le fléau à la racine.
C’est ainsi qu’un plan a été mis en place pour d'abord freiner le mal, le circonscrire, avant de le neutraliser définitivement. La lutte s’effectuera par étape, fait remarquer le journal.
Le préside occupé de Sebta sera le plus touché par la fin de la contrebande, étant donné que son produit intérieur brut est alimenté à hauteur de 25% des recettes de la contrebande. Sur l’axe du nord, cette contrebande fait perdre au Maroc entre deux et trois milliards de dirhams par an, révèlent les mêmes sources. Face aux pertes, il y a aussi des emplois et une source de revenus pour plusieurs familles.
Chose que des sources espagnoles mettent en avant pour souligner que le Maroc ne se hasardera pas à fermer définitivement les circuits de cette contrebande. Par contre, ajoute le quotidien, des sources du côté marocain affirment que les jours de cette contrebande sont comptés, puisque le mal est beaucoup plus important que les bénéfices qu’elle pourrait rapporter-.
Le 360.ma