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La cohésion entre Hirak et institution militaire pour l’émergence d’une Algérie nouvelle

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  • La cohésion entre Hirak et institution militaire pour l’émergence d’une Algérie nouvelle

    Le président du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP), Abderrazak Mokri a déclaré vendredi soir depuis Biskra que "la cohésion entre le Hirak et l’institution militaire est en mesure de permettre l’émergence d’une Algérie nouvelle’’.

    "La cohésion entre la force et la solidité du Hirak, la concrétisation de l’engagement de l'armée dans l’accompagnement vers une transition politique respectant la volonté du peuple, à côté de la cristallisation des solutions et propositions de l'élite, représentée par les organisations et les partis politiques sont en mesure d’assurer la réussite d’une réelle transition vers une Algérie grande et solide ", a affirmé le responsable politique, lors d’une conférence tenue en marge d’une activité sociale, organisée par sa formation politique dans la capitale des Ziban.

    Abordant la justice et les dossiers de corruption, M. Mokri a précisé que "la traduction en justice des corrompus était difficile si ce n’est le poids du Hirak et de l’institution militaire" attestant "qu’afin de garantir la lutte contre la corruption, nous devons assurer l'efficacité, la pérennité de la justice incarnées par les institutions".

    Il a dans ce contexte ajouté que "pour renforcer l'intégrité de la justice et son indépendance il faut libérer le Conseil supérieur de la magistrature du contrôle de l'exécutif ".

    Le responsable politique a également indiqué que son parti estime nécessaire "le respect de la volonté du peuple avec le départ des trois "B", la démission du président du Conseil constitutionnel et la nomination d'un nouveau président pour ce Conseil et la démission du Chef de l’Etat".

    Il a poursuivi en considérant que dans une deuxième étape, "un dialogue devrait être ouvert entre les élites et le nouveau président pour arriver à un compromis sur un gouvernement de consensus, une instance indépendante de surveillance des élections, des modifications fondamentales dans le code électoral et la loi sur les partis et le passage à une période de transition de six à neuf mois maximum".

    Le président du Mouvement de la Société pour la Paix a également souligné que sa formation politique rejette la discrimination fondée sur le régionalisme, l’idéologie ou l’appartenance ethnique mettant en avant l’importance du "respect des composantes du peuple algérien".

    Evoquant l'inculpation de la cheffe du Parti des Travailleurs, le même responsable a indiqué que "la rencontre entre les personnalités et la consultation en soi ne constituent pas un obstacle juridique, mais le thème de ces réunions et les résultats qui en découlent demeurent objet de suivi judiciaire".

    A signaler que le président du mouvement MSP était présent au complexe touristique Sidi Yahia, à l’occasion d’un iftar organisé par le bureau de wilaya du MSP regroupant les cadres et les sympathisants de cette formation politique.

    APS

    18 Mai 2019

  • #2
    Sacré Mokri !!..

    Même ligne que Ibrahimi.. avec un p'tit clin d’œil à qui de droit

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    • #3
      Bonjour,


      Ayant ete temoin de la politique algerienne depuis fort longtemps, je me disais toujours que tant que mmis n Bouadnane, en l occurence Ahmed ouyahia, evolue au niveau haut de la gouvernance algerienne, l Algerie ne changera pas et continuera dans sa deperdition progressive.
      De nos jours, il semble que Ouyahia n est plus a ce niveau la et semble etre tombe' bien bas... cela peut ressembler a une transition fort prometteuse de notre nouvelle Algerie...
      Helas, ce n est pas encore le cas..
      J ai une autre formulation pour la situation politique de l Algerie apres 13 vendredis de revolution pacifique de la part du peuple Algerien que je salue!
      je dirais donc aujourd'hui, que tant qu' Ahmed Gaid Salah demeure le CEM de l armee Algerienne, l Algerie n evoluera pas vers une nouvelle gouvernance democratque tant souhaite'e depui l ete 1962.


      Je souhaite donc que le CEM soit depose' prochainement par une nouvelle equipe au sein de l armee Algerienne qui favorisera l autorite' du politique integre sur le militaire integre.
      Nous avons assez vu de la communion entre la pegre politique et une armee a panse demeusure'e.


      Je vous salue.


      M.
      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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      • #4
        bouss 3inik.. lol
        Ce n'est pas donné de déposer le CEM !
        Le dernier à l'avoir tenté mange ses repas à Blida

        .
        Dernière modification par Absent, 18 mai 2019, 21h35.

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        • #5
          mmis

          Je souhaite donc que le CEM soit depose' prochainement par une nouvelle equipe au sein de l armee Algerienne qui favorisera l autorite' du politique integre sur le militaire integre.
          Et comment tu vas faire pour le déposer toi qui es a des milliers de kilometres d'ici?

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          • #6
            Gallek l'autorité du politique sur le militaire

            L'erreur de Abbas Leghrour qui a déposé naïvement son arme devant les politiques soummamistes en Tunisie pour en finir égorgé comme un mouton ne se reproduira jamais inchallah.

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            • #7
              Je n interviens que pour eclairer.


              Voila ce que wiki dit de Mr Abbas Leghrour.

              Envoyé par wiki
              Il décida en 1955 avec Adjoul-Adjoul l'exécution de Bachir Chihani. Il fut à son tour assassiné en Tunisie où il se replia, refusant l'autorité de Mahmoud Cherif, pour complot en 1957. Actuellement le centre universitaire de Khenchela porte son nom2.
              Selon Mohammed Harbi, Lazhar Cheriet et Abbès Laghrour ont été exécutés sur ordre des représentants du CCE, pour avoir refusé de reconnaître l'autorité de Mahmoud Cherif nommé lors du Congrès de La Soummam comme responsable de la Wilaya I (les Aurès)3.

              Ce fut une guerre entre nos aine's.
              A savoir qui de Bachir Chihani our Abbas Leghrour etait dans le vrai et qui etait dans le tort.
              Le debat est ouvert.
              J ai ma propre opinion la dessus. Assassiner Bachir Chihani n est certainement pas un acte revolutionaire contre l occupation Francaise.


              Envoyé par Lakhdari
              Gallek l'autorité du politique sur le militaire

              L'erreur de Abbas Leghrour qui a déposé naïvement son arme devant les politiques soummamistes en Tunisie pour en finir égorgé comme un mouton ne se reproduira jamais inchallah.
              Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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              • #8
                mmis

                Justement, éclaire nous sur comment tu aurais fait pour déposer Gaid si tu étais sur place?

                Commentaire


                • #9
                  bonjour

                  L'erreur de Abbas Leghrour qui a déposé naïvement son arme devant les politiques soummamistes en Tunisie pour en finir égorgé comme un mouton ne se reproduira jamais inchallah.
                  ils etaient 18 en 57, parmis les plus durs des Aures de l'aveu meme des francais…
                  Aujourd'hui on pleure celui qui a donne l'ordre de les abbatre comme des chiens...et la revolution a change d'annee et de camps, et la Soummam a enterre les Aures...l'histoire s'est repetee en 59

                  mais jeune, je me souviens de la mere a Abbes lorsqu'en 66 on lui devoila sa statue, c'etait la premiere image depuis 56...tres penible
                  oui on parle peu dans les Aures...

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                  • #10
                    @alain-terieur

                    Merci pour le rappel .

                    Commentaire


                    • #11
                      Je ne comprends pas (suis nulle en histoire), vous dites que la primauté du politique sur le militaire était une ruse pour saboter la révolution?

                      Commentaire


                      • #12
                        C'est fou l'affinité des jambonistes avec les cachiristes. Ils en sont obsédés.

                        Commentaire


                        • #13
                          @Vanilla
                          C'était une des conclusions de ga3det soummam. D'ailleurs c'est les soumamistes modernes qui ne cessent de le répeter.
                          Une chose très bizarre dans une révolution qui était a la base une guerre armée contre le colonisateur déclenchée par des gens qui n'était pas des miltaires avant novembre 54.
                          Est-ce que le père de la révolution Benboulaid était un politique ou un militaire?
                          Est-ce que Krim Belkacem etait un politique ou un militaire?
                          Ça n'a pas de sens cette question et personne n'avait le droit d'en décider.
                          C'etait les idées de Abbane Ramdane qu'on a parachuté á la tete de la révolution et on sait pas de quel droit alors qu'il n'a jamais participé a son déclenchement.

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                          • #14
                            en ce moment, y a du bon cachir dans le râtelier....

                            les militaire on eut 57 ans pour changer les choses et les algériens vivent toujours avec ce sentiment d'oppression ..... ils doivent retourner dans leur caserne et faire leur job ... ce n'est pas une faveur .. c 'est un devoir
                            tu tombe je tombe car mane e mane
                            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                            • #15
                              Les masques tombent !!!

                              Après l'épisode Ibrahimi, voilà qu'on vilipende l'idée communément admise par toutes les démocraties que le "politique doit primer sur le militaire".

                              Des coléoptères se prenant pour Pinochet

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