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En effet, il est forte à craindre que le "Pinochet" algérien ait lancé une sorte de sommation à l'insurrection urbaine algérienne en date du 20 mai écoulé.
- "Gaïd Salah veut-il vraiment accompagner la révolution vers une nouvelle république ou s’emparer du pouvoir d’une manière ou d’une autre ?"
Cette fois, Ahmed Gaïd Salah s’est adressé directement à la rue. « Il est préférable que les marches se caractérisent par un niveau raisonnable et suffisant d’organisation et d’encadrement, pour faire émerger des vrais représentants pour transmettre les revendications légitimes de ces marches, en leur évitant toute forme d’anarchie », a-t-il déclaré, pointant le risque, selon lui, de « tomber dans le piège de l’infiltration par des individus ayant des plans suspects ».
Ces « individus » pourraient utiliser les manifestations comme « une passerelle pour transmettre certaines revendications irrationnelles, telle que l’exigence du départ collectif de tous les cadres de l’État, sous prétexte qu’ils représentent les symboles du système », a-t-il lancé, jugeant cette revendication « dangereuse et malveillante ».
Jeune Afrique (extraits).
- "Gaïd Salah veut-il vraiment accompagner la révolution vers une nouvelle république ou s’emparer du pouvoir d’une manière ou d’une autre ?"
Cette fois, Ahmed Gaïd Salah s’est adressé directement à la rue. « Il est préférable que les marches se caractérisent par un niveau raisonnable et suffisant d’organisation et d’encadrement, pour faire émerger des vrais représentants pour transmettre les revendications légitimes de ces marches, en leur évitant toute forme d’anarchie », a-t-il déclaré, pointant le risque, selon lui, de « tomber dans le piège de l’infiltration par des individus ayant des plans suspects ».
Ces « individus » pourraient utiliser les manifestations comme « une passerelle pour transmettre certaines revendications irrationnelles, telle que l’exigence du départ collectif de tous les cadres de l’État, sous prétexte qu’ils représentent les symboles du système », a-t-il lancé, jugeant cette revendication « dangereuse et malveillante ».
Jeune Afrique (extraits).
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