Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Accusée de complot, Louisa Hanoune reste en détention

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Accusée de complot, Louisa Hanoune reste en détention

    Algérie : accusée de complot, Louisa Hanoune reste en détention

    jeuneafrique.com
    21 mai 2019 à 08h11 | Par AFP


    La justice militaire algérienne a refusé lundi de remettre en liberté de la cheffe du Parti des travailleurs (PT, trotskiste), Louisa Hanoune, inculpée pour « complots » contre l'État et l'armée, a annoncé un de ses avocats.


    « La chambre d’accusation a confirmé le mandat de dépôt » délivré le 9 mai par le juge d’instruction du tribunal militaire de Blida, à une quarantaine de km au sud d’Alger, contre Louisa Hanoune, a déclaré Me Mokrane Ait-Larbi, un des avocats de la patronne du PT.

    Les motivations de la décision n’ont pas été communiquées dans l’immédiat à la défense, a précisé Me Ait-Larbi, qui a annoncé qu’une demande de remise en liberté de Louisa Hanoune serait déposée dans un mois. Le tribunal militaire n’a pas communiqué.

  • #2
    Tribunal militaire de Blida: La demande de libération provisoire de Louisa Hanoune rejetée

    Lequotidien d'Oran
    par R. N.


    Le Parti des travailleurs a annoncé sur sa page Facebook que le tribunal militaire de Blida a rejeté la demande de libération provisoire de Louisa Hanoune, la secrétaire générale du parti.

    Selon ses avocats, maîtres Mokrane Aït Larbi et Boudjamaa Ghechir, «la chambre d'accusation a examiné l'appel introduit par la prévenue Louisa Hanoune pour sa libération», ont-ils indiqué, ajoutant que «l'audience s'est déroulée normalement, et après les délibérations, la chambre d'accusation a appuyé la décision du juge d'instruction portant son placement en détention provisoire». Mme Hanoune a été convoquée par le juge d'instruction près le tribunal militaire de Blida le 9 mai dernier pour être entendue dans le cadre de l'enquête ouverte contre Athmane Tartag, Mohamed Mediène (Toufik) et Saïd Bouteflika, poursuivis pour «atteinte à l'autorité de l'Armée et complot contre l'autorité de l'Etat».

    Pour rappel, la SG du PT avait, selon un autre de ses avocats, Me Rachid Khane, également membre dirigeant du parti, avoué, devant le juge d'instruction, avoir rencontré Saïd Bouteflika et le général Toufik le 27 mars dernier. Selon Me Khan, Louisa Hanoune qualifie cette rencontre « d'apport politique». «Il est de ma responsabilité dans les circonstances actuelles de trouver un moyen de sortir de la situation actuelle et je ne peux pas imaginer qu'un acte purement politique puisse être criminalisé. Je n'imaginais pas qu'en 2019, un responsable politique soit humilié à cause d'un apport politique », rapporte son avocat, Rachid Khane. Selon l'avocat, la rencontre, qui a duré «une heure seulement», s'était déroulée à la résidence officielle «Dar El Afia» (Alger). Louisa Hanoune avait donné «son avis sur la situation politique», «et elle pensait que cette rencontre était officielle avec l'accord de la présidence de la République sinon, comment expliquer qu'en l'espace d'une heure, elle aurait pu commettre tous ces actes qui représentent des accusations graves passibles de la peine de mort », poursuit Me Khane.

    Commentaire


    • #3
      Il est de ma responsabilité dans les circonstances actuelles de trouver un moyen de sortir de la situation actuelle et je ne peux pas imaginer qu'un acte purement politique puisse être criminalisé. Je n'imaginais pas qu'en 2019, un responsable politique soit humilié à cause d'un apport politique »
      je n'ai rien contre cette femme présidente d'un partie l'égale , mais on quoi rencontrer 2 hommes qui n'ont aucun statut politique serait une "rencontre politique" ??
      tu tombe je tombe car mane e mane
      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

      Commentaire


      • #4
        @Traks

        Tout de même, l'un des deux avait bien qualité officielle de conseiller à la Présidence de la République et pouvait légalement agir comme émissaire ou comme intermédiaire pour l'institution qui l'employait.

        Franchement, pour un tel cas, seule la teneur de ladite réunion pourrait donner des motifs susceptibles de justifier une telle action à son encontre, autrement ca serait abusé ...
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

        Commentaire


        • #5
          Harrachi78
          pour commencer tant qu'on ne sera pas ce qui c'est réellement dit lors de cette rencontre, on ne peut effectivement pas juger Les tenants et les aboutissants
          maintenant, vue son parcoure en politique algérienne, je suppose qu'elle connait très bien le système et pourvoir en place, tu pense qu'elle croyait vraiment que ces deux personnage aller faire une proposition politique ?? toufik et said bouteflika faire une proposition politique a la sortie de la crise ?? elle aurait était bien naïve, ce si étant dit je ne pense pas n'en plus qu'il lui aurait parler clairement de complot ou de coup d'état a la tête de l'armé
          enfin bref, je n'ai pas plus confiance en la justice militaire qu'on la justice civile dans ce pays
          tu tombe je tombe car mane e mane
          après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

          Commentaire


          • #6
            quoi de plus normal qu'une politicienne se réunisse avec un conseillé officiel du président en fonction ?

            cette affaire tout comme celle du general benhdid qui n'a fait que conseiller et rappeler l'armée sur ces prorogatifs et ses devoirs est une fumisterie et une énieme bavure dictatoriale de la part de commandement de l'armée

            Commentaire


            • #7
              @Traks

              Je peux comprendre tes doutes TRAKS, mais on n'incarcère pas les gens sur des soupçons, aussi forts qu'ils puissent être, surtout qu'il s'agit là d'opinions politiques et non d'une personne qui assumé une responsabilité étatique ...
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

              Commentaire


              • #8
                et .................................
                .................................................. .
                .................................................. ........POURQUOI
                ...................................AUCUN AUTRE
                .......PARTI << POLITIQUE<<
                .................................................. N AVAIT EU CE PRIVILEGE
                .................................................. .......................
                .................................................. .
                .....................................CELUI DE CONSEILLER ....D ETAT ....ET .....
                .............T
                ................................

                .=======================<au fait c est quoi la definition de COMPLOTER ?<<
                Dernière modification par m1111, 22 mai 2019, 13h31.

                Commentaire

                Chargement...
                X