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Ferhat Ait Ali ▬ Et si tout le monde jouait carte sur table ? Ce ne serait pas mieux ?

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  • Ferhat Ait Ali ▬ Et si tout le monde jouait carte sur table ? Ce ne serait pas mieux ?

    Nous vivons depuis quelques années une situation kafkaïenne ou en plus du droit, même la dignité a été ravalée au rang de luxe idéologique porteur des germes de la division, au point ou se prévaloir d’un quasi prostitution au maître des lieux, était une source de fierté pour le gros des tenants d’un pouvoir erratique.

    - Une fois la situation devenue intenable, et le peuple sorti dans la rue sous l’effet de la peur de lendemains incertains sous la houlette d’une bande de malfaiteurs ayant intronisé une fausse idole comme tête de proue de la bande.

    - Les retournements, et les vocations à chevaucher le bon peuple sont apparues de toutes part, y compris chez les chevilles ouvrière de l’ancien système, à la recherche d’une continuation de leur position à l’abri de n’importe quelle autre supercherie et au risque de n’importe quelle autre aventure.

    - Il est évident qu’en bon tacticiens de terrain, les tenants du pouvoir de fait après le départ de l’idole, savaient qu’ils ne pouvaient s’encombrer de toute la faune qui a accompagné la précédente divinité à sa fin fatale, ni encore moins se passer des coquilles vides qu’ils ont laissé derrière eux comme partis, organisations et structures de mobilisation, mises en veilleuse le temps de voir venir.

    - De l’autre côté, nous assistons à une sarabande de volontés non affichées clairement de prendre en otage une population, qui dans la rue représente un levier de pression mais dans l’urne un risque majeur de ne retrouver que ses rares électeurs parmi cette foule.

    - Et manifestement la qualité la plus partagée par toute la classe politique structurée du pays, est cette défiance du peuple appréhendé comme entité politique, et sa propension à le chevaucher comme une bête en furie en ne lui laissant aucun répit pour réfléchir à son destin.

    - Et comme chacun semble être certain qu’à un moment donné, aucune foule, ni aucun peuple ne petit rester dans une impasse à tourner en rond, chacun veut l’exploiter à sa manière.

    - Une partie en position de faiblesse criante devant le système tel que structuré, veut arracher le maximum de concessions non pas démocratiques mais politiques et même politiciennes au pouvoir de fait, avant la dispersion de ce peuple, que personne n’a jamais pu convaincre de représenter une alternative crédible au pouvoir en place.

    - De l’autre côté, certains pressés initialement de le disperser pour vaquer à leurs plans préétablis dans la précipitation de relancer une nouvelle variante du même pouvoir, ne semblent pas aussi pressés qu’avant, surtout après que certaines tentatives de diviser la rue, ont failli diviser le pays tout court si elles avaient pris dans la société.

    - Et ne passent pas une semaine sans annoncer soit une mesure populiste, soit un complot dans un régime formaté au complot depuis sa genèse, soit un recul vers une concession à première vue impossible à mettre en pratique.

    - Et comme tout un chacun semble avoir un plan précis sur lequel il ne veut pas déroger sur quoi que ce soit, mais qu’il ne peut annoncer clairement sous peine de prendre sur lui, la responsabilité de la suite des événements.
    - Chacun attend l’usure de l’autre, et calcule les rapports de force dans la société, les institutions et à l’international avant d’abattre son faux joker au mauvais moment qu’il croit être le bon.

    - En attendant nous assistons à une querelle de légitimité qui navigue entre la rue pour les uns, sans donner aucun aperçu plus clair de leurs plans, dans la pratique, en dehors des habituels poncifs sur les suspicions de fraude, et la nécessité d’assainir tout le champ politique et institutionnel avant le retour à des élections, selon des mécanismes que personne ne veut développer ni une composante ou personne ne veut s’afficher comme tête de file ou participant direct.

    - Et la Constitution pour les autres, mais selon une lecture étriquée d’une constitution elle-même étriquée et portant en elle les germes de toutes les contestations et de tous les dérapages passés, présents et à venir.

    - Ainsi, au nom du respect de la constitution, on refuse d’évincer des personnages falots ou impliqués dans des fraudes massives dans un passé récent, mais on fait quand même intrusion dans leurs prérogatives et leurs pouvoirs chaque jour que dieu fait, sans qu’aucun article ne les en dessaisisse au profit de qui que ce soit.

    - Au nom du respect de la constitution, on maintient le flou sur la date et les personnels appelés à gérer ces élections, tout en proposant la création d’instances non prévues par la constitution elle-même.

    - Au nom de la constitution, on affirme que la présidence était entre les mains de forces extra constitutionnelles, avant le 2 avril, mais que c’est le président qui a nommé les quidams qui sont au gouvernement, et qui a démissionné en toute connaissance de cause.

    - Et au nom d’une guerre entre la constitution et le peuple sous-entendu la rue, toutes les parties s’accrochent à leurs ambitions plus qu’à la survie du pays déjà bien mal en point et malmené par de faux projets antinomiques mais dangereux, érigés en passages obligés par toutes les parties antagonistes.

    - Si les uns reconnaissaient clairement qu’ils veulent une période de transition aussi longue que possible, pour peser sur le destin du pays, et le leur surtout, sans aucune élection immédiate dans laquelle ils savent n’avoir strictement aucune chance de passer, ayant tous été nourris à la mamelle du quota fluctuant au gré des allégeances et des capacités de nuisance, les choses seraient plus clair du coté de notre opposition supposée.

    - Et si les autres reconnaissaient que tous leurs agissements, propositions et projections, ainsi que leur refus de reculer même de quelques mois des élections qu’ils savent ne pas se tenir dans les délais initiaux, en se couvrant d’un constitutionnalisme de façade, pour énoncer leurs vrais projets pour l’après 04 juillet, le pays se porterait encore mieux.

    - Nous allons vers ce vide constitutionnel, et nous y sommes déjà si on s’en tient à l’esprit et non la lettre de la constitution, et ce avec la participation active de toutes les parties, chacune pour ses projections et planifications, qu’elles mettront sur la table le jour venu, en pensant chacune que l’impasse les sert et dessert l’autre partie.

    - Sinon comment expliquer pour le chef d’état-major, la concession de taille sur la création d’une instance d’organisation et de supervision des élections, alors qu’aucun texte constitutionnel ne la prévoit, ni ne l’habilité lui à en faire état ou la demande, sous le silence assourdissant du pensionnaire d’El Mouradia passée de mouroir à maison de vieillesse temporaire.

    - Et en même temps, demander à encadrer la rue, ou plus exactement les rues, ce qui n’est pas sans poser des questions sur ses projets en la matière, qui risquent d’accélérer les choses, si une fois décryptées en jargon civil, cela passe par un encadrement imposé par des forces choisies par lui et ses pairs.

    - Pour les constitutionnalistes, dont la formation et la vocation est de dire le droit au bon moment et à la bonne partie, j’espère qu’ils ne sont pas impliqués dans la rédaction de l’actuelle constitution qui est un chef d’œuvre de textes inapplicables, jamais appliqués pour les volets garantissant les droits des citoyens, et surtout relevant de la forfaiture pour les pouvoirs du monarque en place.

    - Auquel cas, ils seraient eux même accusés de coup d’état par légitimation de la dictature à l’état brut.

    - Mais qu’ils s’invitent à faire des lectures alambiquées, dans lesquelles on navigue entre le non mais et le oui mais, et ou jamais les tenants du pouvoir ne sont égratignés, la rue prise en porte à faux, on ne sait jamais de quoi sera fait demain.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    - Je trouve qu’ils se parlent à eux même, ou enfument leur entourage de théories fumeuses, sans prise sur la réalité et justifient l’injustifiable en faisant des lectures ésotériques de ce qui est clairement un texte de légitimation des forts et de la force sur le droit depuis des décennies.

    - Mais en oubliant en même temps de chevaucher la rue en la radicalisant, et de se couvrir d’un constitutionnalisme sans objet, il y a moyen d’arriver à une sortie qui garantisse au pays, la stabilité effective, la tenue d’élections dans les meilleurs délais et sous les meilleures garanties.

    - En faisant une lecture de la constitution dans son esprit théorique du moins en matière de garantie des équilibres et des institutions de pouvoir.

    - Pour le départ des trois B dont il ne reste que deux, il est apparaît comme impératif et pas de constitution qui tienne, de même que le président du conseil constitutionnel.

    - Leur remplacement ainsi que le gouvernement, par des personnalités non pas consensuelles mais représentatives des différents choix de la rue, et du minimum de garanties pour la stabilité de l’état, est une garantie de passage à autre chose que l’impasse.

    - La désignation d’un gouvernement dont la tâche principale sera de garantir la pérennité de l’action de l’état, et surtout la neutralité lors des prochaines élections est tout aussi impérative.

    - La révision de loi électorale suite à une convention nationale de trois jours, permettant à toutes les parties impliquées dans l’impasse actuelle, d’y apporter leur contribution avant de la passer à l’assemblée nationale même fantoche actuelle pour la promulguer, sans la discuter en détail ni l’amender, permettrait de prévoir et de créer la fameuse instance d’organisation des élections.

    - Dans cette loi, et à titre temporaire un article qui sera amendé plus tard, devrait éliminer toute signature d’élus au profit des signatures de citoyens portées à 90.000 au lieu de 60.000.

    - Du fait que les partis actuellement en présence dans les instances élues sont en majorité ceux de la bande en place, dont les chefs de bandes sont présumés être en train d’être jugés.

    - De même que les signature de citoyens devront se faire devant un service dédié à cette opération, au greffes des tribunaux et des cours, en présence de membres de la commission d’organisation des élections, et immédiatement saisies et envoyées au niveau central pour éviter les signatures multiples, et les faux en écriture.

    - Dans une seconde phase, la constitution de cette instance qui aura des appendices dans toutes les communes du pays, et composées à parité de juges, d’avocats et de personnalités politiques non impliquées dans les élections, en prévoyant des postes de plein droit à toute candidature qui viendrait à être déclarée au départ et ensuite validée par la commission électorale nationale avant le conseil constitutionnel qui ne fera qu’entériner cette validation.

    - La révision de tous les fichiers électoraux, non pas par les maires et chefs de daïra, mais par les commissions communales, avec la coopération entière des maires, par confrontation avec les fichiers d’état civils mis à jour, en terme de naissances de décès et de certificats de résidence, pour consolidation dans un fichier national définitif, ou apparaîtront aussi bien les omissions que les doublons.

    - L’annonce des candidatures, et surtout leur confirmation par le conseil constitutionnel, devraient être faites par les présidents de la commission nationale d’organisation et de suivi des élections, et non par le conseil constitutionnel.

    - Immédiatement après, la campagne doit commencer et s’étendre plus que dans les délais habituels, à un mois entier pour expliquer leurs projections, leurs programmes et leurs capacités à les mettre en pratique.

    - Pour une circonstance exceptionnelle, point de formalisme, et les candidatures devront être dès le départ déposé au siège du ministère de l’intérieur, qui fera en sorte de nous dispenser des distributions de formulaires à des candidats fantaisistes,
    - Mais de fournir les services chargés de la collecte des signatures au niveau des tribunaux, en formulaires en quantité suffisante pour répondre à toutes les demandes, pour saisir eux même les données des signataires sous le nom de chaque candidat sur masque préétabli, et tirer l’imprimé à signer en deux exemplaires, l’un remis au signataire et l’autre gardé au tribunal.

    - Les médias devront être prévus dans la loi électorale, quant à leur rôle impartial dans la campagne médiatique de tous les candidats et surtout dans les effets négatifs de toute folklorisassions de cette élection sur leur devenir en tant que média.

    - La même loi électorale, devrait définir aussi bien ce qui est considéré comme un dépassement de toute partie, que les peines et sanctions encourues en citation directe en cas de plainte prouvée sur toute partie impliquée.

    - Et le reste relève aussi bien des candidats que des électeurs, qui non confiants en l’impartialité de tout le dispositif, peuvent toujours en plus d’être électeurs, se faire observateur sur site du déroulement du dépouillement, et même avoir accès auprès des candidats à tous les PV contresignés par toutes les parties,
    - Qui se chargeront elles même de l’évacuation des urnes vers les APC pour consolidation, et pas de passage par la daïra, mais par le tribunal, ou elles resteront scellées pour toute contestation éventuelle dans les délais impartis par la loi.

    - Et à partir de là, il ne reste que les programmes et les personnalités des candidats pour faire la différence, et au peuple d’assumer son destin.
    - Pour mettre fin aussi bien aux plans de ceux qui veulent un semblant d’élection pour pérenniser une mainmise factice sur le pouvoir qu’ils croient acquise par ordre d’arrivée en haut, qu’aux ambitions farfelues de ceux qui pensent avoir une république à leurs goûts avant même les élections, ce qui les rend caduques.

    - Toute autre contestation ou aspiration, se fera par un vote assumé, ou sera adressée au futur président élus dans le cadre d’une lutte permanente pour ce qu’on croit être sa vision du monde, et qu’il faut convaincre les autres d’accepter et pas les y contraindre.
    - En se rappelant que les élections ne sont qu’une étape, et que rien n’est définitivement acquis, ni définitivement compromis pour aucune partie, sauf le pays si une logique de confrontation stérile perdure entre de faux projets ou des projets antagonistes qui veulent passer coûte que coûte.

    - Et enfin, que personne n’oublie, que nous ne sommes pas dans une île isolée du monde, mais dans un pays bien et mal situé en même temps.
    - Et qu’à défaut d’une solution interne que personne ne conteste de plein droit et à juste titre, d’autres solutions ou problèmes, sont à l'affût, non pas sous forme de complots car personne ne complote contre les faibles et les débiles, mais de plans divers prêts à être mis en œuvre en temps réel, mais dont aucun ne converge avec aucune des Algérie que chacun imagine dans sa tête tout seul.

    - De même qu’existent probablement des plans, ou il n y a même plus d’Algérie, au sens où nous la connaissons jusque-là.
    - Et je vous dispense des professions de foi et des serments de fidélité et autre cris de victoire à l’avance, car une fois face à la réalité, beaucoup de cris ne vaudront pas plus que les serments de fidélités fait à Bouteflika, ou même actuellement à l’Armée.

    - Voici ma manière de voir les choses, elle vaut ce qu’elle vaut, mais j’y tiens et je suis prêt à toute autre suite, y compris les plus mal inspirées.
    ▬ PS :
    Pour ce qui est de l’Armée, moins il s’impliquera publiquement dans le débat politique une fois une instance présidentielle ou un président provisoire installé, mieux elle sera l’abri des réactions négatives, et moins elle sera critiquée et moins elle sera obligée de riposter, et moins elle ripostera dans le champ politique, et plus elle se protégera et protégera le pays, de toute aventure interne ou externe.

    - Une Armée qui sort de ses cantonnements politiques, et juridiques et une armée condamnée à sortir de ses cantonnements physiques, et toute armée hors de ses retranchements est en danger permanent et elle-même présentée comme un danger permanent.

    - Diverses parties, internes et externes, n’attendent que les chars dans la rue, pour faire le reste du travail, et l’implication directe en politique entraîne un jour ou l’autre cette sortie dans la rue.

    - Les lignes rouges porteuses de tous les dangers pour toutes les parties, sont dans l’ordre le maintien de l’impasse et du statu quo, la tentative de la dépasser par un coup de force militaire, et la tentative de faire de fausses élections sans légitimité.

    - De ce fait pas de transition ayant un autre but que des élections rapides et propres, et pas d’élections ayant pour but d’introniser un personnage coopté ou acquis par la force. Nous avons assez joué avec ce pays, gouvernants comme gouvernés. ✍ Ferhat Ait Ali / 22 Mai 2019
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Je suis à, peu près d'accord avec Ferhat Ait Ali sur sa feuille de route exprimée à partir de la 2ème page (ou 2ème post)

      Elle est suffisamment explicite pour donner des billes sur comment organiser la phase de transition dans les moindres détails, tout en tenant compte du fait, qu'il faut mettre à l'écart les élus actuels à tous les niveaux (Daira, Wilaya, communes...) pour organiser les futurs élections.
      Dernière modification par Pomaria, 22 mai 2019, 22h43.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        Et au nom d’une guerre entre la constitution et le peuple sous-entendu la rue, toutes les parties s’accrochent à leurs ambitions plus qu’à la survie du pays déjà bien mal en point et malmené par de faux projets antinomiques mais dangereux, érigés en passages obligés par toutes les parties antagonistes.
        On comprends ici que lui, il a déjà son candidat et son poulain Ali GHEDIRI, et qu'il ne veut pas attendre que les autres structurent pour lui enlever sa vedette....

        ha ha ha !

        - Et en même temps, demander à encadrer la rue, ou plus exactement les rues, ce qui n’est pas sans poser des questions sur ses projets en la matière, qui risquent d’accélérer les choses, si une fois décryptées en jargon civil, cela passe par un encadrement imposé par des forces choisies par lui et ses pairs.
        Ca sous entend que la gendarmerie ou l'armée, vont devoir diriger les troupeaux de manifestants à direction voulue, ou à la belle prison.

        c'est çà ??!


        J'espère pas. Car sinon il risque d'y avoir de grosses grabuges dans les prochaines manifs, s'ils s'amusent à faire ça.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          - Pour les constitutionnalistes, dont la formation et la vocation est de dire le droit au bon moment et à la bonne partie, j’espère qu’ils ne sont pas impliqués dans la rédaction de l’actuelle constitution qui est un chef d’œuvre de textes inapplicables, jamais appliqués pour les volets garantissant les droits des citoyens, et surtout relevant de la forfaiture pour les pouvoirs du monarque en place.
          D'ailleurs, je me demande comment et pourquoi le conseil constitutionnel vient de recruter un nouveau venu parmi ses rangs?

          Bensalah a-t-il le droit de le faire ?

          Et pourquoi renfocer l'équipe du CC ?

          Est ce pour rédiger de nouveaux textes qui leur sied le mieux dans la nouvelle constitution du nouveau SISSI ?
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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          • #6
            22 Mai 2019 - 16h15.

            Un nouveau membre du Conseil constitutionnel prête serment devant Bensalah. Le chef de l’État a présidé, mercredi au siège de la Présidence de la République, la cérémonie de prestation de serment du nouveau membre du Conseil constitutionnel, Aomar Bouraoui, rapporte l’agence officielle.
            Bensalah a-t-il le droit de nommer un nouveau membre dans le CC ?

            D'ailleurs, avait-il le droit de nommer Kamel Feniche à la tête du CC en remplacement de Tayeb Balaiz ?


            Et surtout que prépare-t- il avec ces changements au CC ?
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #7
              TROP TARD

              Le tampis pour ceux qui ont raté le train classique..........................
              ( ou mieux ceux qui pensait ne jamais avoir besoin de monter populaire )

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              • #8
                On comprends ici que lui, il a déjà son candidat et son poulain Ali GHEDIRI, et qu'il ne veut pas attendre que les autres structurent pour lui enlever sa vedette....

                ha ha ha !
                ET C TOI QUI DIT CA DU FAMEUX OPPOSANT DE LA CAFETTE DU MDN

                DEPUIS QU IL ACHANGE DE DIRECTEUR DE COMPAGNE

                L OPTION GHEDIRI EST LA MIEUX INDIQUEE POUR SORTIR DE L IMPASSE STEP BY STEP

                QUOIQUE JE VOIS BIEN AIT FERHAT COMME PRESIDENT
                LE BURNOUS VA SUER
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  Nacer
                  ET C TOI QUI DIT CA DU FAMEUX OPPOSANT DE LA CAFETTE DU MDN
                  T'énerve pas Nacer. Je ne lui porte aucune critique pour l'instant.

                  J'aime bien la logique du discours de Ferhat, et sa capacité d'aller dans les détails et/ou à étayer ses dires et à soulever facilement les contradictions des autres.

                  Mais avec son langage vif, je ne le voyais jamais comme un politicien. Mais plutot comme un économiste et financier chevronné qui connais très bien les rouages et les travers de fonctionnement des finances en Algérie.

                  D'ailleurs, je suivis ses posts et ses billets sur sa page facbook depuis fort longtemps. Sache que par ses écrits que j'ai commencé à m'interesser à GHEDIRI et à sa candidature, au moment ou on avait strictment rien en vue, que fakahmatsou le cadre et les larbins.

                  Pour moi, il n'y a que le contenu détaillé du programme du candidat et surtout sa capacité à convaincre et à gérer la chose qui fera la différence. Et rien d'autres. Pour le moment , on n'en est pas encore là.

                  D'ailleurs, toute information non factuelle et non avéré, toutes les intox qu'on peut dire sur n'importe quel candidat ne m’empêcheront pas de changer d'avis.

                  J'espère avoir été claire.
                  Dernière modification par Pomaria, 22 mai 2019, 23h17.
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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