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Abdelaziz Rahabi:: Ceux qui appellent à la nécessité d’encadrer le Hirak veulent le récupérer ou faire perdurer la crise

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  • Abdelaziz Rahabi:: Ceux qui appellent à la nécessité d’encadrer le Hirak veulent le récupérer ou faire perdurer la crise

    L’ancien diplomate et ministre, Abdelaziz Rahabi a indiqué mercredi que « les revendications exprimées par le Hirak, sont raisonnables », soulignant qu’il ne voyait pas « nécessaire l’encadrement du mouvement populaire qui se poursuit depuis le 22 février », rapporte l’agence officielle.

    Pour l’ancien ministre de la communication, « il est impossible que les millions de manifestants sortis dans les rues désignent une seule personnes pour les représenter », a-t-il souligné, estimant que « ceux qui appellent à la nécessité d’encadrer le Hirak veulent faire perdurer la crise ou récupérer le Hirak ».

    M.Abdelaziz Rahabi a rappelé, dans ce contexte, sa proposition aux manifestants de s’organiser en tant que force politique à travers la création de partis ou l’adhésion à d’autres formations politiques.

    S’agissant des solutions à la crise politique que traverse l’Algérie, M.Rahabi estime qu’elles doivent êtres issues de l’esprit de la Constitution et non pas de son texte », indique la même source préconisant une lecture « flexible » qui servirait les intérêts du peuple.

    « Nous sommes aujourd’hui otages de cette Constitution incapable de définir une issue à la crise qui sévit en Algérie, ce qui nous interpelle fortement quant à la nécessité de faire une lecture flexible de la Constitution, à même de servir les intérêts du peuple », prône-t-il

    Pour M. Rahabi, « cette impasse politique était prévisible, l’article 102 de la Constitution ayant été évoquée à lui seul et n’ayant pas été accompagnée d’une initiative politique, alors que l’appel à la nécessité d’appliquer les deux articles 7 et 8 avait pour but de stimuler la volonté populaire en raison du désintérêt affiché vis-à-vis de la participation aux élections ».

    L’intervenant estime en outre que la Constitution en Algérie a toujours été sollicitée depuis l’indépendance pour se maintenir au pouvoir, ajoutant que la loi suprême du pays « manque de mécanismes susceptibles de résoudre les problèmes et les crises », ce qui signifie la nécessité d’aller vers une Constitution qui assure l’équilibre des pouvoirs.

    Inter-lignes
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    100% en phase avec mrs rahabi , c'est une reponse au message de gaid qui a demande a ce que le mouvement soit encadrer.

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    • #3
      L’ancien diplomate et ministre, Abdelaziz Rahabi a indiqué mercredi que « les revendications exprimées par le Hirak, sont raisonnables », soulignant qu’ il ne voyait pas « nécessaire l’encadrement du mouvement populaire qui se poursuit depuis le 22 février », rapporte l’agence officielle.

      Pour l’ancien ministre de la communication, « il est impossible que les millions de manifestants sortis dans les rues désignent une seule personnes pour les représenter », a-t-il souligné, estimant que « ceux qui appellent à la nécessité d’encadrer le Hirak veulent faire perdurer la crise ou récupérer le Hirak ».

      M.Abdelaziz Rahabi a rappelé, dans ce contexte, sa proposition aux manifestants de s’organiser en tant que force politique
      à travers la création de partis ou l’adhésion à d’autres formations politiques.

      S’agissant des solutions à la crise politique que traverse l’Algérie, M.Rahabi estime qu’elles doivent êtres issues de l’esprit de la Constitution et non pas de son texte », indique la même source préconisant une lecture « flexible » qui servirait les intérêts du peuple.

      « Nous sommes aujourd’hui otages de cette Constitution incapable de définir une issue à la crise qui sévit en Algérie, ce qui nous interpelle fortement quant à la nécessité de faire une lecture flexible de la Constitution, à même de servir les intérêts du peuple », prône-t-il

      Pour M. Rahabi, « cette impasse politique était prévisible, l’article 102 de la Constitution ayant été évoquée à lui seul et n’ayant pas été accompagnée d’une initiative politique, alors que l’appel à la nécessité d’appliquer les deux articles 7 et 8 avait pour but de stimuler la volonté populaire en raison du désintérêt affiché vis-à-vis de la participation aux élections ».

      L’intervenant estime en outre que la Constitution en Algérie a toujours été sollicitée depuis l’indépendance pour se maintenir au pouvoir, ajoutant que la loi suprême du pays « manque de mécanismes susceptibles de résoudre les problèmes et les crises », ce qui signifie la nécessité d’aller vers une Constitution qui assure l’équilibre des pouvoirs.

      plaine de contradictions et à un certain degré un appele douteux en vu de désamorcer cette dynamique populaire
      L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
      Albert Einstein

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      • #4
        @dentdesagesse

        S'organiser dans des partis politiques, n'a rien á voir avec organiser les manifestations dans la rue et uniformiser les slogans comme suggère Gaid Salah. C'est deux choses différentes.
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #5
          il est impossible que les millions de manifestants sortis dans les rues désignent une seule personnes pour les représenter

          Une seule personne ne peut rien encadrer. A moins de choisir un Boutef, et encore.

          M.Rahabi estime qu’elles doivent êtres issues de l’esprit de la Constitution et non pas de son texte »,

          L'esprit, chacun le comprend à sa manière, il est nécessaire de l'exprimer clairement par les textes, ce qui se fait dans toutes les démocraties.
          Et puis l'esprit qui se dégage de notre constitution est de maintenir le pouvoir en place quoi qu'il arrive. Autant l'oublier.
          En fait, M. Rahabi invite le Hirak à suivre les conseils de Ammi Salah, de se constituer en partis politiques et d'aller en rangs dispersés s'aligner avec les biyaïne qui ont répondu à son appel et proposé leurs candidatures à des élections farouchement rejetées jusque là.

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          • #6
            shadock
            S'organiser dans des partis politiques, n'a rien á voir avec organiser les manifestations dans la rue et uniformiser les slogans comme suggère Gaid Salah. C'est deux choses différentes.


            -je n'ai pas assimilé son appelle à celui que Gaid Salah avait lancé.il confirme qu'il est impossible que le hirak peut engendré un représentant et au même temps il l'appelle à s' organisé dans partie politique une opération du pareil au même s' ils peuvent s'organisé dans un partie politique ils sont donc capable d'élire un représentant vu qu'un partie nécessite un président

            -si le mouvement populaire s' organise en des parties politiques c'est deja un soufflement de tout cette dynamique populaire qui a handicapé tout le système et étouffé tout ses complots durant toute cette période de trois mois des manifs c'est le plus grand cadeau qu'on puisse offrir a un pouvoir qui a tout manigancé pour en arriver a cette version mais sans succès.ils voulaient à tout pris traîné ce rivale invincible (mouvement) dans les champs qu'ils maîtrisaient parfaitement.et voilà que là chance leur tombe de ciel

            -Son appelle à la population a s'associer à d'autres informations politiques qui sont dans le viseur de hirak autant que collabos ou résidus de l'ancien régime fln/rnd est un appelle plus que douteux qui révèle soit les intentions malveillantes de ce ministres soit un manque de perception

            -il dit que nous sommes aujourd’hui otages de cette Constitution incapable de définir un issue à la crise Or tout le monde sait que ce n'est pas la constitution qui a bloqué les issus mais c'est bien le chef de l'état major qu'il n'a pas cité, par son abstention d'accompagné l'article 102 par l'article 07 et 08 qu'il a promis d'adopté comme sortie de crise
            L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
            Albert Einstein

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            • #7
              Abdelaziz Rahabi : l'impasse politique

              dz(0000/1111)dz

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