Algérie – La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, par le biais de son directeur de communication Abdelhakim Boulouar, l’ouverture d’une enquête. Celle-ci concerne les dépassements violents de ses éléments lors des rassemblements et manifestations. Notamment, ceux enregistrés lors du sit-in des journalistes mardi passé.
Le directeur de la cellule de communication au sein de la DGSN, Abdelhakim Boulouar, a annoncé au média arabophone en ligne Sabqpress que « la direction a entrepris plusieurs démarches judiciaires et administratives pour définir la vérité sur ces informations diffusées par la presse. Des informations qui prétendent que les éléments de la sûreté nationale auraient eu recours à de la violence physique et verbale lors du sit-in des journalistes ».
La DGSN ne doit pas tolérer ces dépassements
En effet, le syndicat national des journalistes (SNJ) avait réagi au déroulement du 11e sit-in des journalistes, en affirmant que : « des confrères, journalistes, reporters photographes, caméramans et techniciens de plusieurs médias nationaux ont souvent fait l’objet, ces derniers jours, d’agressions physiques et verbales, par des policiers et parfois même par des individus zélés à l’occasion de leur couverture sur le terrain, des marches populaires, notamment à Alger ».
Par ailleurs, d’autres reporters avaient témoigné que « lors des manifestations des étudiants, et des rassemblements de vendredi, les journalistes avaient été empêchés de couvrir cet événement. Les éléments de la sûreté nationale les avaient bousculés, violentés et utiliser des bombes lacrymogènes contre eux ».
Dans ce contexte le directeur de la cellule de communication, Abdelhakim Bouloua a affirmé à Sabqpress « avoir entrepris des démarches judiciaires et disciplinaires administratives. Des enquêtes seraient en cours pour déterminer les conditions de ces agissements et tenter de savoir ce qui s’est produit exactement durant les manifestations des étudiants, et le sit-in des journalistes ».
ObserverAlgérie
Le directeur de la cellule de communication au sein de la DGSN, Abdelhakim Boulouar, a annoncé au média arabophone en ligne Sabqpress que « la direction a entrepris plusieurs démarches judiciaires et administratives pour définir la vérité sur ces informations diffusées par la presse. Des informations qui prétendent que les éléments de la sûreté nationale auraient eu recours à de la violence physique et verbale lors du sit-in des journalistes ».
La DGSN ne doit pas tolérer ces dépassements
En effet, le syndicat national des journalistes (SNJ) avait réagi au déroulement du 11e sit-in des journalistes, en affirmant que : « des confrères, journalistes, reporters photographes, caméramans et techniciens de plusieurs médias nationaux ont souvent fait l’objet, ces derniers jours, d’agressions physiques et verbales, par des policiers et parfois même par des individus zélés à l’occasion de leur couverture sur le terrain, des marches populaires, notamment à Alger ».
Par ailleurs, d’autres reporters avaient témoigné que « lors des manifestations des étudiants, et des rassemblements de vendredi, les journalistes avaient été empêchés de couvrir cet événement. Les éléments de la sûreté nationale les avaient bousculés, violentés et utiliser des bombes lacrymogènes contre eux ».
Dans ce contexte le directeur de la cellule de communication, Abdelhakim Bouloua a affirmé à Sabqpress « avoir entrepris des démarches judiciaires et disciplinaires administratives. Des enquêtes seraient en cours pour déterminer les conditions de ces agissements et tenter de savoir ce qui s’est produit exactement durant les manifestations des étudiants, et le sit-in des journalistes ».
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