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La présidente du Salon mondial du tourisme (SMT), Mme Anette Masson, a souligné hier que «l’Algérie est désormais une destination à part entière». «L’Algérie est un pays magnifique sous toutes les latitudes» et son choix pour un «tourisme authentique», particulièrement culturel, fait d’elle «désormais une destination à part entière», a déclaré à l’APS Mme Anette Masson, présidente du SMT qui s’est clôturé hier à Paris.
Mme Masson dirige l’Association pour le SMT qui est un réseau de 4 organismes, l’Association des Offices nationaux étrangers de tourisme (ADONET), la Fédération française des techniciens et scientifiques du tourisme (FFTST), le Syndicat français des agences de voyages (SNAV) et Exposium (filiale du groupe Unibail, premier propriétaire français d’immobilier commercial). Membre fondatrice d’ADONET, Mme Masson a souhaité «rester en contact permanent avec un organisme algérien représentatif du tourisme algérien». «Cela permettrait une synergie, en termes de communication et d’entraide», a-t-elle estimé.
Sur ce point, le représentant du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, M. Ahmed Bouchdjira, a évoqué le projet d’une représentation permanente de l’Office national du tourisme (ONT) sur les «marchés les plus importants», notamment en France vue comme «le premier pôle émetteur de touristes vers l’Algérie». Par ailleurs, Mme Masson a indiqué que cette 32ème édition du SMT, forum grand public, a accueilli plus de 100 000 visiteurs et quelque 700 professionnels.
A ce SMT, l’Algérie aura marqué sa présence comme «nouvelle destination de choix», dans un contexte où les tendances du tourisme mondial virent au culturel, même si «elles obéissent toujours à des effets de mode» où le balnéaire, la montagne, l’exotisme cristallisent tour à tour la demande.
«En fait, nous assistons à un nouveau type de demande, multiforme, le client voulant tout faire à la fois, mais le culturel reste la valeur constante», a évalué Mme Masson. La tendance globale est à la hausse des flux touristiques, selon l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), dont l’Algérie est membre depuis 1976, qui a enregistré quelque 842 millions de touristes internationaux à travers les cinq continents, relevant «la bonne santé générale d’un tourisme qui aura augmenté de 20% sur les trois dernières années».
Selon les opérateurs algériens présents au SMT, dont l’ONT, l’ONAT, la SGP Gestour, et des entreprises de gestion touristique (EGT), la Méditerranée, qui est la première destination touristique au monde avec 260 millions de visiteurs actuellement, 400 millions à l’horizon 2025, est à leurs yeux «une priorité». La France garde sa place de première destination touristique mondiale, avec une augmentation des arrivées de touristes internationaux de près de 2,5% en 2006.
La France estime qu’elle a accueilli 78 millions de touristes en 2006. D’autre part, selon les dernières estimations du Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC), les recettes touristiques internationales qui étaient de 34 milliards d’euros en 2005 ont progressé l’an dernier de 2,5%. Les dépenses mondiales pour le tourisme et les voyages devraient croître de 3,9% cette année pour atteindre quelque 5 400 milliards d’euros. Dans les dix prochaines années, les dépenses devraient progresser en moyenne de 4,3% par an pour atteindre plus de 9 900 milliards d’euros en 2017, selon le WTTC.
source : la tribune
Mme Masson dirige l’Association pour le SMT qui est un réseau de 4 organismes, l’Association des Offices nationaux étrangers de tourisme (ADONET), la Fédération française des techniciens et scientifiques du tourisme (FFTST), le Syndicat français des agences de voyages (SNAV) et Exposium (filiale du groupe Unibail, premier propriétaire français d’immobilier commercial). Membre fondatrice d’ADONET, Mme Masson a souhaité «rester en contact permanent avec un organisme algérien représentatif du tourisme algérien». «Cela permettrait une synergie, en termes de communication et d’entraide», a-t-elle estimé.
Sur ce point, le représentant du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, M. Ahmed Bouchdjira, a évoqué le projet d’une représentation permanente de l’Office national du tourisme (ONT) sur les «marchés les plus importants», notamment en France vue comme «le premier pôle émetteur de touristes vers l’Algérie». Par ailleurs, Mme Masson a indiqué que cette 32ème édition du SMT, forum grand public, a accueilli plus de 100 000 visiteurs et quelque 700 professionnels.
A ce SMT, l’Algérie aura marqué sa présence comme «nouvelle destination de choix», dans un contexte où les tendances du tourisme mondial virent au culturel, même si «elles obéissent toujours à des effets de mode» où le balnéaire, la montagne, l’exotisme cristallisent tour à tour la demande.
«En fait, nous assistons à un nouveau type de demande, multiforme, le client voulant tout faire à la fois, mais le culturel reste la valeur constante», a évalué Mme Masson. La tendance globale est à la hausse des flux touristiques, selon l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), dont l’Algérie est membre depuis 1976, qui a enregistré quelque 842 millions de touristes internationaux à travers les cinq continents, relevant «la bonne santé générale d’un tourisme qui aura augmenté de 20% sur les trois dernières années».
Selon les opérateurs algériens présents au SMT, dont l’ONT, l’ONAT, la SGP Gestour, et des entreprises de gestion touristique (EGT), la Méditerranée, qui est la première destination touristique au monde avec 260 millions de visiteurs actuellement, 400 millions à l’horizon 2025, est à leurs yeux «une priorité». La France garde sa place de première destination touristique mondiale, avec une augmentation des arrivées de touristes internationaux de près de 2,5% en 2006.
La France estime qu’elle a accueilli 78 millions de touristes en 2006. D’autre part, selon les dernières estimations du Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC), les recettes touristiques internationales qui étaient de 34 milliards d’euros en 2005 ont progressé l’an dernier de 2,5%. Les dépenses mondiales pour le tourisme et les voyages devraient croître de 3,9% cette année pour atteindre quelque 5 400 milliards d’euros. Dans les dix prochaines années, les dépenses devraient progresser en moyenne de 4,3% par an pour atteindre plus de 9 900 milliards d’euros en 2017, selon le WTTC.
source : la tribune